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Date de création : 16.05.2009
Dernière mise à jour : 12.08.2012
10 articles


La Rançon de la LOI

Publié le 12/08/2012 à 09:19 par labibleparolededieu
La rançon de la loi

Après le péché d’Adam, Dieu a institué un processus de réparation qui consiste en une loi de sacrifice, une rançon en quelque sorte, tout péché doit être expié par un sacrifice.
C'est pourquoi Dieu a dit:
Hébreux 9:22 D’ailleurs, selon la loi, presque tout est purifié avec du sang, et sans effusion de sang il n’y a pas de pardon.

Car cette loi dit: la rançon du péché, c'est la mort!
Romains 6:23 Car le salaire du péché, c’est la mort; mais le don gratuit de Dieu, c’est la vie éternelle en Jésus-Christ notre Seigneur.
Marc 10:45 Car le Fils de l’homme est venu, non pour être servi, mais pour servir et donner sa vie comme la rançon de plusieurs.
1 Timothée 2:6 qui s’est donné lui-même en rançon pour tous. C’est là le témoignage rendu en son propre temps,

C'est pourquoi il y eu la loi de Moïse et les sacrificateurs
Lévitique 3:7-8 S’il offre en sacrifice un agneau, il le présentera devant l’Eternel.Il posera sa main sur la tête de la victime, qu’il égorgera devant la tente d’assignation; et les fils d’Aaron en répandront le sang sur l’autel tout autour.
Hébreux 9:9-10 C’est une figure pour le temps actuel, où l’on présente des offrandes et des sacrifices qui ne peuvent rendre parfait sous le rapport de la conscience celui qui rend ce culte, et qui, avec les aliments, les boissons et les diverses ablutions, étaient des ordonnances charnelles imposées seulement jusqu’à une époque de réformation.
Hébreux 9:13 Car si le sang des taureaux et des boucs, et la cendre d’une vache, répandue sur ceux qui sont souillés, sanctifient et procurent la pureté de la chair,

A quoi sert un sacrificateur?
Hébreux 5:1 En effet, tout souverain sacrificateur pris du milieu des hommes est établi pour les hommes dans le service de Dieu, afin de présenter des offrandes et des sacrifices pour les péchés.
Hébreux 5:3 Et c’est à cause de cette faiblesse qu’il doit offrir des sacrifices pour ses propres péchés, comme pour ceux du peuple.

La loi de Moïse avec ses sacrifices a été un pédagogue pour nous conduire à Christ le véritable sacrificateur
Galates 3:24 Ainsi la loi a été comme un pédagogue pour nous conduire à Christ, afin que nous fussions justifiés par la foi.

Christ est le véritable sacrificateur
Hébreux 9:12 il est entré une fois pour toutes dans le sanctuaire, non pas avec du sang de boucs ou de taurillons, mais avec son propre sang. C’est ainsi qu’il a obtenu une rédemption éternelle.
Hébreux 6:20 là où Jésus est entré pour nous comme précurseur, ayant été fait souverain sacrificateur pour toujours, selon l’ordre de Melchisédech.

Car le Christ a mis fin à la loi des sacrifices, étant devenu lui-même sacrifice pour nous en rançon de nos péchés.
Romains 10:4 Car le Christ a mis fin au régime de la Loi pour que tous ceux qui croient soient déclarés justes.
Hébreux 9:14 combien plus le sang de Christ, qui, par un esprit éternel, s’est offert lui-même sans tache à Dieu, purifiera-t-il votre conscience des œuvres mortes, afin que vous serviez le Dieu vivant!

La foi consiste donc à croire que Jésus est notre véritable sacrificateur et c'est grace au sang qu'il a versé à notre place, que Jésus a payé la rançon de la loi qui exigeait la mort du pécheur
Hébreux 9:11 Mais Christ est venu comme souverain sacrificateur des biens à venir; il a traversé le tabernacle plus grand et plus parfait, qui n’est pas construit de main d’homme, c’est-à-dire, qui n’est pas de cette création;

Nous pouvons donc nous approcher de Dieu avec confiance sachant que Jésus nous a racheté de la mort par son sacrifice parfait
Ephésiens 3:11-12 selon le dessein éternel qu’il a réalisé par le Christ–Jésus notre Seigneur, en qui nous avons, par la foi en lui, la liberté de nous approcher de Dieu avec confiance.
1 Corinthiens 6:20 Car vous avez été rachetés à un grand prix. Glorifiez donc Dieu dans votre corps et dans votre esprit, qui appartiennent à Dieu.
1 Corinthiens 7:23 Vous avez été rachetés à un grand prix; ne devenez pas esclaves des hommes.
Tite 2:14 qui s’est donné lui-même pour nous, afin de nous racheter de toute iniquité, et de se faire un peuple qui lui appartienne, purifié par lui et zélé pour les bonnes œuvres.
Apocalypse 5:9 Et ils chantaient un cantique nouveau, en disant: Tu es digne de prendre le livre, et d’en ouvrir les sceaux; car tu as été immolé, et tu as racheté pour Dieu par ton sang des hommes de toute tribu, de toute langue, de tout peuple, et de toute nation;

Dieu le grand législateur, le créateur de toutes les lois physiques a aussi créer les lois spirituelles en l'occurrence la loi du péché qui entraine la mort. Contrairement à ce qu'on pourrait croire cette loi nous protège de la souffrance, du mal et de l'auto destruction mais pour être satisfaite, il faut qu'une vie soit donnée en rançon du péché! C’est ce que Jésus-Christ a fait.
Philippiens 2:5-11 Ayez en vous les mêmes sentiments que Jésus–Christ, Lequel étant en forme de Dieu, n’a point regardé comme une proie à saisir d’être égal à Dieu ; Mais il s’est dépouillé lui–même, ayant pris la forme de serviteur, devenant semblable aux hommes ; Et, revêtu de la figure d’homme, il s’est abaissé lui–même, en se rendant obéissant jusqu’à la mort, même jusqu’à la mort de la croix. C’est pourquoi aussi, Dieu l’a souverainement élevé, et lui a donné un nom qui est au–dessus de tout nom ; Afin qu’au nom de Jésus, tout ce qui est dans les cieux, et sur la terre, et sous la terre, fléchisse le genou, Et que toute langue confesse que Jésus–Christ est le Seigneur, à la gloire de Dieu le Père.

Grâce au sacrifice du Christ, Dieu nous promet la résurrection et la vie éternelle
Romains 6:23 Car le salaire du péché, c’est la mort; mais le don gratuit de Dieu, c’est la vie éternelle en Jésus-Christ notre Seigneur.

Le Christ associe tous les hommes à sa résurrection
1 Corinthiens 15:16-22 Car si les morts ne ressuscitent pas, Christ non plus n’est pas ressuscité. Et si Christ n’est pas ressuscité, votre foi est vaine, vous êtes encore dans vos péchés et ceux qui sont morts en Christ sont perdus. Si c’est dans cette vie seulement que nous espérons en Christ, nous sommes les plus malheureux de tous les hommes. Mais maintenant, Christ est ressuscité d’entre les morts, il est les prémices de ceux qui sont décédés. Car, puisque la mort est venue par un homme, c’est aussi par un homme qu’est venue la résurrection des morts. Et comme tous meurent en Adam, de même aussi tous revivront en Christ,

Par sa vie donnée en sacrifice, Jésus permet à tous les hommes de ressusciter et s'ils le veulent hériter la vie éternelle Que toute la gloire en reviennent à Dieu le Père et à Jésus-Christ son fils bien aimé.
Écrivez-moi pour me soumettre vos objections : baert.c@gmail.com
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La LOI ou La FOI

Publié le 12/08/2012 à 09:12 par labibleparolededieu
La loi ou la foi?
Nous avons tendance à opposé la loi et la foi, mais est-ce biblique? voici quelques versets importants
Avec la première alliance, Dieu a donné à Israel une loi incluant des commandements et des sacrifices d'animaux qui ne pouvaient pas justifier les pécheurs. C'est pourquoi il fallait une meilleure alliance avec un sacrifice parfait et le don du St Esprit pour être rendu juste devant Dieu

Sous l'ancienne alliance, il était commandé d'offrir des sacrifices pour ses propres péchés
Hébreux 9:22 Et presque tout, d’après la loi, est purifié avec du sang, et sans effusion de sang il n’y a pas de pardon.
Galates 3:10-13 Car tous ceux qui s’attachent aux œuvres de la loi sont sous la malédiction; car il est écrit: Maudit est quiconque n’observe pas tout ce qui est écrit dans le livre de la loi, et ne le met pas en pratique. Et que nul ne soit justifié devant Dieu par la loi, cela est évident, puisqu’il est dit: Le juste vivra par la foi. Or, la loi ne procède pas de la foi; mais elle dit: Celui qui mettra ces choses en pratique vivra par elles. Christ nous a rachetés de la malédiction de la loi, étant devenu malédiction pour nous-car il est écrit: Maudit est quiconque est pendu au bois,
La malédiction de la loi c'est la mort et non pas la loi elle-même!

Les oeuvres de la loi ici sont les sacrifices que les hommes devaient offrir pour leurs péchés
Hébreux 10:1 En effet, la loi, qui possède une ombre des biens à venir, et non l’exacte représentation des choses, ne peut jamais, par les mêmes sacrifices qu’on offre perpétuellement chaque année, amener les assistants à la perfection.
Galates 2:16 Néanmoins, sachant que ce n’est pas par les œuvres de la loi que l’homme est justifié, mais par la foi en Jésus-Christ, nous aussi nous avons cru en Jésus-Christ, afin d’être justifiés par la foi en Christ et non par les œuvres de la loi, parce que nulle chair ne sera justifiée par les œuvres de la loi.
La loi dont parle ici Paul est la loi des sacrifices d'animaux pour obtenir le pardon
Hébreux 9:22 Et presque tout, d’après la loi, est purifié avec du sang, et sans effusion de sang il n’y a pas de pardon.
Hébreux 10:1 En effet, la loi, qui possède une ombre des biens à venir, et non l’exacte représentation des choses, ne peut jamais, par les mêmes sacrifices qu’on offre perpétuellement chaque année, amener les assistants à la perfection.

Jésus est devenu l'agneau sacrifié pour les croyants et par son sacrifice, il a aboli la loi des ordonnances sacrificielles
Jean 1:29 Le lendemain, il voit Jésus venant à lui, et il dit, Voilà l’agneau de Dieu qui ôte le péché du monde !
Ephésiens 2:15 l’inimitié, ayant anéanti par sa chair la loi des ordonnances dans ses prescriptions, afin de créer en lui-même avec les deux un seul homme nouveau, en établissant la paix,
Romains 10:4 car Christ est la fin de la loi, pour la justification de tous ceux qui croient.

La loi détient le pouvoir de la mort, mais nous en sommes libérés, Christ étant mort à notre place!
Romains 7:6-7 Mais maintenant, nous avons été dégagés de la loi, étant morts à cette loi sous laquelle nous étions retenus, de sorte que nous servons dans un esprit nouveau, et non selon la lettre qui a vieilli. Que dirons-nous donc? La loi est-elle péché? Loin de là! Mais je n’ai connu le péché que par la loi. Car je n’aurais pas connu la convoitise, si la loi n’eût dit: Tu ne convoiteras point.
Le terme la loi englobe donc plusieurs parties, dont une qui est la loi des sacrifices
Hébreux 10:8 Après avoir dit d’abord: Tu n’as voulu et tu n’as agréé ni sacrifices ni offrandes, Ni holocaustes ni sacrifices pour le péché ce qu’on offre selon la loi,
L'homme pouvait vivre par la loi car ses péchés étaient transmis sur l'animal sacrifié, Christ a aboli cette loi par son sacrifice plus grand et plus parfait
Romains 10:4 car Christ est la fin de la loi, pour la justification de tous ceux qui croient.
Romains 10:5 En effet, Moïse définit ainsi la justice qui vient de la loi: L’homme qui mettra ces choses en pratique vivra par elles.
L'homme est-il justifié par le sang du Christ ou par ses bonnes œuvres et son obéissance?
Romains 3:28 Car nous pensons que l’homme est justifié par la foi, sans les œuvres de la loi.
Galates 5:4 Vous êtes séparés de Christ, vous tous qui cherchez la justification dans la loi;
Maintenant que l'homme est justifié par Christ, il garde la loi de Dieu comme quelque chose de précieux par amour pour son sauveur et non dans le but de se justifier lui-même
Romains 2:13 Ce ne sont pas, en effet, ceux qui écoutent la loi qui sont justes devant Dieu, mais ce sont ceux qui la mettent en pratique qui seront justifiés.
La foi et la grâce sont une alliance de vie alors que la loi est une règle de vie
Romains 6:14 Car le péché n’aura point de pouvoir sur vous, puisque vous êtes, non sous la loi, mais sous la grâce.
Romains 6:15 Quoi donc! Pécherions-nous, parce que nous sommes, non sous la loi, mais sous la grâce? Loin de là!
Ne savez-vous pas qu’en vous livrant à quelqu’un comme esclaves pour lui obéir, vous êtes esclaves de celui à qui vous obéissez, soit du péché qui conduit à la mort, soit de l’obéissance qui conduit à la justice?
Le péché qui est la transgression de la loi conduit toujours à la mort, mais l'obéissance aux commandements de Dieu conduit à la justice
La loi et la foi ne sont donc pas opposés mais au contraire intimement liés
Romains 3:31 Anéantissons-nous donc la loi par la foi? Loin de là! Au contraire, nous confirmons la loi.
Paul et Jacques sont d'accord, la loi est bonne
Jacques 1:25 Mais celui qui aura plongé les regards dans la loi parfaite, la loi de la liberté, et qui aura persévéré, n’étant pas un auditeur oublieux, mais se mettant à l’œuvre, celui-là sera heureux dans son activité.
Romains 7:12 La loi donc est sainte, et le commandement est saint, juste et bon.

Les dix commandements font partie de la loi parfaite
Jacques 2:10-11 Car quiconque observe toute la loi, mais pèche contre un seul commandement, devient coupable de tous. En effet, celui qui a dit: Tu ne commettras point d’adultère, a dit aussi: Tu ne tueras point. Or, si tu ne commets point d’adultère, mais que tu commettes un meurtre, tu deviens transgresseur de la loi.

Le péché est la transgression de la loi
1 Jean 3:4 Quiconque pèche transgresse la loi, et le péché est la transgression de la loi.
Romains 3:20 Car nul ne sera justifié devant lui par les oeuvres de la loi, puisque c’est par la loi que vient la connaissance du péché.

Conclusion:
Dieu est le législateur parfait, sans loi aucune société n'est viable c'est pourquoi Dieu veut que les hommes gardent ses lois.
Mais le salut ne peut venir en aucun cas de l'obéissance à ces lois car tous les hommes ont été rendus pécheurs par Adam mais ils seront aussi tous rendus juste grâce au Christ à condition de croire à la justification du sang de Christ.
Romains 5:19 Car, comme par la désobéissance d’un seul homme beaucoup ont été rendus pécheurs, de même par l’obéissance d’un seul beaucoup seront rendus justes.
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Ceux qui méprise la Loi

Publié le 12/08/2012 à 08:59 par labibleparolededieu Tags : bonne vie moi monde homme heureux femme dieu société ange anges

 

Identifions l’homme qui méprise la loi

“Sera révélé celui qui méprise la loi, lui que le Seigneur Jésus supprimera.” 2 Thessaloniciens 2:8

Nous vivons une époque où règne le mépris de la loi. C’est un phénomène universel. Partout dans le monde, on ressent cette crainte qu’inspirent des individus sans scrupules, véritables menaces pour notre personne et nos biens. Pourtant, il existe quelqu’un dont le mépris de la loi est bien plus dangereux qu’il n’y paraît et qui est à l’œuvre depuis des siècles. La Bible l’appelle “l’homme qui méprise la loi”.

Il nous faut absolument savoir qui est cet homme qui méprise la loi. Pourquoi cela? Parce qu’il est décidé à ruiner nos bonnes relations avec Dieu et notre espérance de vie éternelle. Comment s’y prend-il? Il cherche à nous faire abandonner la vérité au profit de mensonges, afin que nous n’adorions plus Dieu “avec l’esprit et la vérité”. (Jean 4:23) Les actions de cet homme qui méprise la loi montrent à l’évidence qu’il s’oppose à Dieu, à ses desseins, et à son peuple.

En 2 Thessaloniciens 2:3, la Bible nous parle de cet homme qui méprise la loi. Inspiré par l’esprit de Dieu, l’apôtre Paul écrit: “Que personne ne vous séduise d’aucune manière, car [le jour de YeHoWaH ou YaHWeH, jour où il détruira le système de choses,] ne viendra pas à moins que d’abord ne vienne l’apostasie et que ne se révèle l’homme qui méprise la loi.” Paul prédisait ici qu’avant la fin du système de choses l’apostasie prendrait naissance et que surviendrait un homme qui mépriserait la loi. En outre, Paul déclare au verset 7: “Le mystère de ce mépris de la loi est déjà à l’œuvre.” Par conséquent, au 1er siècle de notre ère, cet homme qui méprise la loi avait commencé de se manifester.

Origine de l’homme qui méprise la loi

Qui est à l’origine de l’homme qui méprise la loi, et qui le soutient? Paul répond: “La présence de celui qui méprise la loi est selon l’opération de Satan, avec toutes les œuvres de puissance, et avec des signes et des présages mensongers, et avec toutes les tromperies de l’injustice pour ceux qui périssent, ce qui leur advient en châtiment, pour n’avoir pas accepté l’amour de la vérité afin d’être sauvés.” (2 Thessaloniciens 2:9, 10). C’est donc Satan qui est le père et le soutien de l’homme qui méprise la loi. En outre, qu’il en ait ou non conscience, l’homme qui méprise la loi est, comme Satan, opposé à YeHoWaH, à ses desseins et à son peuple.

Ceux qui font cause commune avec cet homme qui méprise la loi partageront son sort, la destruction. Paul écrit: “Sera révélé celui qui méprise la loi, lui que le Seigneur Jésus supprimera (...) et réduira à néant par la manifestation de sa présence.” (2 Thessaloniciens 2:8). Pour l’homme qui méprise la loi et pour ses partisans (“ceux qui périssent”), l’heure de la destruction va bientôt sonner, “lors de la révélation du Seigneur Jésus, du ciel, avec ses anges puissants, dans un feu flamboyant, quand il fera venir la vengeance sur ceux qui ne connaissent pas Dieu et sur ceux qui n’obéissent pas à la bonne nouvelle au sujet de notre Seigneur Jésus. Ceux-là subiront le châtiment judiciaire de la destruction éternelle”.  2 Thessaloniciens 1:6-9.

Un peu plus loin, Paul dit de cet homme qui méprise la loi: “Il se dresse en adversaire et s’élève au-dessus de quiconque est appelé ‘dieu’ ou est objet de vénération, si bien qu’il s’assoit dans le temple du Dieu, s’exhibant lui-même en public comme dieu.” (2 Thessaloniciens 2:4). Paul avertissait donc que Satan susciterait quelqu’un qui mépriserait la loi, qui serait l’objet d’une vénération usurpée, et qui se placerait même au-dessus de la loi de Dieu.

Comment identifier l’homme qui méprise la loi

Paul parle-t-il d’une seule personne? Non, car il dit que cet “homme” est manifeste à son époque et qu’il demeurera jusqu’à ce que YeHoWaH le détruise à la fin de cette société ou monde. Cet homme existe donc depuis des siècles. Évidemment, aucun homme, au sens littéral du terme, n’a jamais vécu aussi longtemps. Par conséquent, l’expression “homme qui méprise la loi” doit représenter une classe de personnes.

De qui s’agit-il? Les faits prouvent qu’il s’agit du clergé fier et ambitieux de la chrétienté qui, au cours des siècles, s’est élevé en faisant sa propre loi. C’est ce que démontre l’existence dans la chrétienté de milliers de mouvements religieux, chacun ayant son clergé, et chaque clergé étant en conflit avec les autres sur quelque point de doctrine ou de pratique. Cette division est une preuve que ces hommes ne suivent pas la loi de Dieu. Ils ne peuvent venir de Dieu. (Voir Michée 2:12; Marc 3:24; Romains 16:17; 1 Corinthiens 1:10) Tout ce que ces religions ont en commun, c’est qu’elles ne restent pas attachées à l’enseignement biblique. Elles ont, en effet, violé cette règle: “N’allez pas au-delà de ce qui est écrit.”  1 Corinthiens 4:6; voir Matthieu 15:3, 9, 14.

Par conséquent, cet homme qui méprise la loi est un ensemble de personnes: le clergé de la chrétienté. Tous ses membres, qu’il s’agisse des papes, des prêtres, des patriarches ou des prédicateurs protestants, ont une responsabilité dans les péchés commis par la chrétienté. Ils ont échangé les vérités de Dieu contre des mensonges païens en enseignant des doctrines contraires aux Écritures, telles que l’immortalité de l’âme humaine, l’enfer de feu, le purgatoire et la Trinité. Ils ressemblent aux chefs religieux auxquels Jésus a dit: “Vous venez, vous, de votre père, le Diable, et vous voulez accomplir les désirs de votre père. (...) il est menteur et le père du mensonge.” (Jean 8:44). Leurs pratiques montrent également qu’ils méprisent la loi, car ils prennent part à des activités qui violent les lois de Dieu. À ceux-ci Jésus dit: “Éloignez-vous de moi, vous qui agissez en hommes qui méprisent la loi.” Matthieu 7:21-23.

Ils s’élèvent au-dessus d’autrui

L’Histoire montre que cette classe de l’homme qui méprise la loi a fait preuve d’un orgueil et d’une arrogance tels qu’elle en est venue à dicter ses volontés aux chefs du monde. Prenant pour prétexte le principe de ‘la royauté de droit divin’, le clergé s’est présenté comme l’intermédiaire essentiel entre Dieu et les rois. Capable de soulever les masses contre ceux qui les gouvernaient ou de les gagner à leur cause, il a couronné et détrôné rois et empereurs. Pour tout dire, ce clergé a repris à son compte les paroles prononcées par les prêtres en chef des Juifs, qui avaient rejeté Jésus: “Nous n’avons de roi que César.” (Jean 19:15). Pourtant, l’enseignement de Jésus est clair: “Mon royaume ne fait pas partie de ce monde”, a-t-il dit. Jean 18:36.

Afin de s’élever davantage au-dessus du peuple, cette classe qui méprise la loi a adopté un vêtement différent, le plus souvent noir. En outre, ses membres se sont parés de toutes sortes d’ornements imposants, portant des couronnes, des croix et des mitres. (Voir Matthieu 23:5, 6) Jésus et ses disciples, quant à eux, n’avaient pas de vêtements semblables; ils étaient habillés comme tout le monde. Les membres du clergé ont également pris des titres comme “Père”, “Saint-Père”, “Révérend”, “Révérendissime”, “Son Excellence” et “Son Éminence”, titres par lesquels ils se sont ‘élevés au-dessus de tous’. Pourtant, en ce qui concerne les titres religieux, Jésus avait donné l’enseignement suivant: “N’appelez personne votre père sur la terre.” (Matthieu 23:9). Pareillement Élihu, lorsqu’il a repris les prétendus consolateurs de Job, a dit: “S’il vous plaît, que je ne montre point de partialité envers un homme! Et je ne donnerai pas de titre à un homme tiré du sol.” Job 32:21.

Lorsqu’à son époque, Paul a déclaré que l’homme qui méprise la loi était déjà à l’œuvre, il a précisé concernant ceux qui reflètent l’attitude infidèle de cet “homme”: “De tels hommes, en effet, sont de faux apôtres, des ouvriers trompeurs, qui se transforment en apôtres de Christ. Et rien d’étonnant à cela, car Satan lui-même se transforme continuellement en ange de lumière. Ce n’est donc pas extraordinaire si ses ministres aussi se transforment continuellement en ministres de justice. Mais leur fin sera selon leurs œuvres.” 2 Corinthiens 11:13-15.

Rébellion contre le culte pur

Paul a dit que cet homme qui méprise la loi se développerait en corrélation avec l’apostasie. La première indication que donne Paul pour nous permettre d’identifier cette classe impie est que “le jour de YeHoWaH [où il détruira le système de choses méchant] (...) ne viendra pas à moins que d’abord ne vienne l’apostasie”. (2 Thessaloniciens 2:2, 3) Qu’entend-on par “apostasie”? Dans le contexte, ce mot ne signifie pas simplement que, par faiblesse spirituelle, on s’écarte de la vérité ou qu’on l’abandonne. Le terme grec traduit ici par “apostasie” a entre autres sens celui de “défection” ou de “révolte”. Plusieurs traductions le rendent par “rébellion”. C’est ainsi qu’on peut lire dans Parole vivante (transcription de Kuen): “Cela n’arrivera pas avant la grande rébellion.” La Bible en français courant emploie l’expression de “révolte finale”. Par conséquent, le contexte montre que par “apostasie” Paul désigne ici une révolte contre le culte véritable.

Comment cette apostasie, cette rébellion, s’est-elle formée? En 2 Thessaloniciens 2:6, Paul parle de ce qui, à son époque, “fait obstacle” à l’homme qui méprise la loi. De quoi s’agit-il? De la force restrictive exercée par les apôtres. Leur présence ainsi que les dons de puissance qui leur sont accordés par l’esprit saint empêchent, à cette époque, l’apostasie de s’étendre (Actes 2:1-4; 1 Corinthiens 12:28). Cependant, à la fin du 1er siècle, les apôtres seront morts, et cette force restrictive aura disparu.

La classe du clergé prend naissance

La congrégation que Jésus avait formée s’est développée au cours du Ier siècle sous la direction des anciens (surveillants) et des serviteurs ministériels (Matthieu 20:25-27; 1 Timothée 3:1-13; Tite 1:5-9). Ces hommes, choisis dans la congrégation, étaient des hommes spirituels et compétents, mais qui, pas plus que Jésus, n’avaient reçu d’instruction théologique. De fait, les adversaires de Jésus s’étaient demandés: “Comment cet homme sait-il les lettres, lui qui n’a pas fait d’études dans les écoles?” (Jean 7:15). Les chefs religieux avaient émis la même observation à propos des apôtres. On lit en Actes 4:13: “Or, quand ils virent le franc-parler de Pierre et de Jean et qu’ils se rendirent compte que c’étaient des hommes non lettrés et des gens ordinaires, ils s’étonnèrent. Et ils reconnaissaient en eux ceux qui étaient avec Jésus.”

Toutefois, l’apostasie introduisit des concepts empruntés au clergé juif et, par la suite, au système religieux de la Rome païenne. Avec le temps, la foi véritable fut abandonnée et, contrairement à l’esprit des Écritures, la classe du clergé vit le jour. Un pape couronné commença à diriger un collège de cardinaux, lesquels étaient choisis parmi des centaines d’évêques et d’archevêques, eux-mêmes issus des rangs des prêtres formés dans les séminaires. Donc, peu après le 1er siècle, un clergé mystique s’imposa à la chrétienté. Cette classe ne suivait pas le modèle des anciens et des serviteurs ministériels du 1er siècle, car elle s’inspirait de ce qui se faisait dans les religions païennes.

Dès le IIIe siècle, on trouve la masse des croyants relégués au rang subalterne de laïcs. L’homme qui méprise la loi, l’apostat, prend peu à peu les rênes du pouvoir. Ce pouvoir, il l’affermira durant le règne de l’empereur romain Constantin, surtout après le concile de Nicée, en 325. À cette époque, l’Église et l’État s’unissent étroitement. C’est ainsi que l’homme qui méprise la loi, le clergé de la chrétienté, va constituer au fil des siècles une lignée d’apostats qui se révolteront contre le vrai Dieu, YeHoWaH. Les lois et dispositions que suivront jusqu’à nos jours ces apostats ne seront pas celles de Dieu, mais les leurs.

Des enseignements païens

Avec le temps, l’homme qui méprise la loi va également emprunter des enseignements au paganisme. Par exemple, un mystérieux, un incompréhensible dieu en trois personnes sera substitué à Celui qui dit: “Je suis YeHoWaH. C’est là mon nom; et je ne donnerai ma gloire à nul autre.” “Je suis YeHoWaH, et il n’y en a pas d’autre. Moi excepté, il n’y a pas de Dieu.” (Ésaïe 42:8; 45:5). Les concepts humains, pour tout dire païens, qui seront adoptés au détriment des vérités bibliques vont conduire à un autre blasphème: la vénération de Marie. Celle que la Bible nous dépeint sous les traits d’une humble femme deviendra pour la chrétienté la “Mère de Dieu”. Ainsi, le clergé, promoteur de ces faux enseignements, sera la plus envahissante des ‘mauvaises herbes’ que Satan a semées pour tenter d’étouffer l’excellente semence semée par le Christ. Matthieu 13:36-39.

Puis viendront les désaccords et les schismes, à la suite desquels la chrétienté se trouvera fragmentée en des centaines de mouvements religieux. À quelques exceptions près, toutes ces religions conserveront la distinction entre clergé et laïcs. Voilà comment la classe de l’homme qui méprise la loi s’est perpétuée jusqu’à nos jours, où elle continue de s’élever au-dessus du peuple en arborant des vêtements qui la distinguent et des titres ronflants. Paul n’exagérait donc pas lorsqu’il a dit que la classe de l’homme qui méprise la loi se glorifierait et s’élèverait à une position divine.

La papauté

On trouve dans la papauté un exemple frappant de cette glorification. Selon le dictionnaire ecclésiastique de Ferraris, publié en Italie, le pape est “d’une dignité et d’une grandeur telles, qu’il n’est pas simplement homme, mais comme Dieu, et le Vicaire de Dieu”. Il possède une triple couronne, celle de “roi du ciel, de la terre et de l’enfer”. Cet ouvrage poursuit ainsi: “Le pape est comme Dieu sur terre, le seul prince des fidèles du Christ, le plus grand roi de tous les rois.” Il ajoute: “Le pape peut parfois contrecarrer la loi divine.” Qui plus est, le Nouveau Dictionnaire catholique dit à son sujet: “Ses ambassadeurs ont la préséance sur les autres membres du corps diplomatique.”

Contrairement aux disciples de Jésus, le pape porte souvent des vêtements très recherchés et ne dédaigne pas d’être adulé par les humains. Il leur permet de s’agenouiller devant lui, de baiser son anneau et de le transporter sur leurs épaules à l’aide d’un siège spécialement conçu. De quelle vanité les papes ont fait preuve tout au cours des siècles! Voilà qui contraste avec l’humble simplicité de Pierre disant à Corneille, l’officier romain qui s’agenouillait à ses pieds pour lui rendre hommage: “Relève-toi. Je ne suis qu’un homme, moi aussi.” (Actes 10:25, 26, Traduction "La Bible de Jérusalem" éd.1988). Quel contraste également avec l’ange qui donna la Révélation à Jean! L’apôtre se prosternait devant cet ange pour l’adorer, mais ce dernier lui dit: “Attention! Ne fais pas cela! Je ne suis rien d’autre que ton compagnon d’esclavage et celui de tes frères qui sont prophètes, et de ceux qui observent les paroles de ce rouleau. Adore Dieu.” Apocalypse  22:8, 9.

La classe du clergé vous paraît-elle être jugée trop sévèrement? Nous pouvons le déterminer en appliquant la règle que Jésus a donnée pour identifier les faux prophètes: “À leurs fruits vous les reconnaîtrez.” (Matthieu 7:15, 16). Quels fruits le clergé a-t-il portés au cours de l’Histoire, et cela jusqu’au XXIe siècle? Quel sera le sort de l’homme qui méprise la loi, et qui partagera ce sort? Concernant cet homme qui méprise la loi, de quelle responsabilité ceux qui craignent vraiment Dieu sont-ils investis?

Si vous désirez en savoir plus, écrivez-moi et soumettez-moi vos objections, je serais très heureux de vous répondre : Voici mon adresse : baert.c@gmail.com

Devons-nous vouer un culte à la Vierge Marie

Publié le 13/09/2011 à 11:26 par labibleparolededieu
Devons-nous vouer un culte à la Vierge Marie

Le Culte de la Vierge Marie

S’il est vrai que le concile Vatican II (1962-1965) a réaffirmé le dogme traditionnel sur Marie, on reconnaît généralement qu’il a marqué le déclin du culte de Marie chez les catholiques dans de nombreux pays. Déjà, en 1974, Paul VI avait jugé nécessaire de publier une longue “exhortation apostolique” intitulée Le culte de Marie (lat.) dans laquelle il réclamait davantage de dévotion pour la “Vierge Marie”.

Les ouvrages catholiques reconnaissent sans problème que le culte de Marie ne remonte pas au temps des Apôtres. C’est ainsi qu’on lit dans l’Encyclopédie catholique ce qui suit:

“En dernière analyse, il faut regarder le culte de Notre-Dame comme une application pratique de la doctrine de la Communion des Saints. Du fait que cette doctrine n’apparaît pas, du moins sous une forme explicite, dans les versions primitives du Credo des Apôtres, il n’y a vraisemblablement aucune raison d’être surpris de ne pas rencontrer de trace claire du culte de la Sainte Vierge aux premiers siècles de notre ère.”
Le Credo de Nicée (325) ne mentionne pas la “Vierge Marie”. Il fallut attendre le concile d’Éphèse, en 431, pour voir défini le dogme catholique selon lequel Marie “est la mère de Dieu” (Théotokos, en grec). D’ailleurs, ce dogme apparut plus pour des raisons trinitaires (pour combattre les Nestoriens, qui niaient que Jésus eût été engendré Homme-Dieu) que pour promouvoir le culte de Marie proprement dit. Pourquoi en faisait-on si peu de cas?
C’est que cette pratique repose non sur la Bible, mais sur des écrits apocryphes, tels que le prétendu “protévangile de Jacques” et les Oracles sibyllins. À en croire l’encyclopédie précitée, ce n’est qu’à la fin du Moyen Âge, après l’an 1000, “que le profond sentiment d’amour et de confiance dans la Sainte Vierge, qui jusque-là s’était exprimé sous une forme vague et conforme à la spontanéité de la piété individuelle, se mit à prendre une forme organisée, à travers quantité de pratiques religieuses”. C’est à partir de cette époque que nombre de cathédrales gothiques furent construites dans toute la France et dédiées à Notre-Dame.

Quant à la “Salutation angélique” (Ave Maria ou “Je vous salue Marie”), Un dictionnaire catholique nous informe que “les deux premières parties de cette prière semblent avoir eu cours en tant que formules religieuses vers la fin du XIIe siècle; (...) le reste de la formule n’est entré en usage qu’au milieu du XVe siècle”. Cela fait tout de même bien tard...

La doctrine de “l’Immaculée Conception”, qui prétend que Marie était exempte du péché originel au moment de sa conception, ne devint un article de foi catholique qu’en 1854. Pourquoi un tel délai? Comme le révèle le dictionnaire catholique précité, c’est qu’une controverse sur cette doctrine faisait rage au sein de l’Église catholique depuis le XIIe siècle, et que certains “évêques particulièrement éminents” soutenaient que ce dogme manquait de bases suffisantes dans “l’Écriture ou la Tradition pour devenir un article de foi”.

Le culte de Marie reçut un nouvel élan en 1950, lorsque Pie XII définit “l’Assomption corporelle de la Sainte Vierge” comme un article de foi, autrement dit la croyance obligatoire pour tout catholique que le corps de Marie n’était pas tombé en poussière à sa mort, mais avait été enlevé au ciel. N’est-il pas curieux que les dogmes fondamentaux sur le culte de Marie soient apparus aussi tard, si cette adoration correspondait à la volonté de Dieu?
Aucun chrétien respectueux de la Bible n’a de doutes sur la virginité de Marie au moment de la conception et de la naissance de Jésus (Matthieu 1:18-23; Luc 1:34, 35). Mais le dogme qui sépare les catholiques du monde protestant, et qui divise aujourd’hui les catholiques entre eux, est celui de la virginité perpétuelle de Marie. Deux ouvrages publiés récemment, tous les deux par des auteurs catholiques, jettent une nouvelle lumière sur cette question du culte rendu à Marie.

Le premier de ces ouvrages, écrit en anglais par un comité d’exégètes catholiques, luthériens, réformés et anglicans, est intitulé “Marie dans le Nouveau Testament”. Expliquant ce qui l’avait poussé à écrire ce livre, l’un des auteurs, Joseph Fitzmyer, de l’université catholique d’Amérique, a déclaré:
“Les catholiques modernes tendent à penser que tout, dans notre pratique religieuse du vingtième siècle, provient du Nouveau Testament; or, bien souvent, nos habitudes ne découlent pas de ce que les rédacteurs de la Bible avaient présent à l’esprit, mais plutôt de réflexions de croyants au fil des siècles qui ont suivi.”
Rendant compte de ce livre dans la chronique religieuse qu’il tient dans le Star de Toronto, T. Harpur écrivit:
Le comité était divisé sur la question de savoir si les faits indiquaient que Marie avait eu ou non d’autres enfants après Jésus. (...)

“Le livre note toutefois qu’un commentaire exprimé en 1976 par un exégète catholique allemand, Rudolph Pesch, énonçait sans ambages que les fameux ‘parents’ de Jésus étaient en réalité ses frères naturels.
“Quant aux deux doctrines adoptées par la suite, à savoir que Marie aurait été conçue immaculée, sans péché, et qu’ensuite son corps aurait été enlevé aux cieux, les exégètes n’avaient pas grand-chose à en dire, du fait que rien dans le Nouveau Testament ne fait allusion à l’une ou l’autre de ces doctrines.”
Quant au second livre, écrit en français par un auteur catholique, Jean Gilles, il est intitulé Les “frères et sœurs” de Jésus. Sa publication a soulevé maintes controverses dans le monde catholique. Rien d’étonnant à cela, car l’auteur aboutit à la conclusion que voici:

“De façon condensée et en termes mesurés par fidélité à l’Église, sans doute pouvons-nous résumer comme suit notre enquête. (...) Sur la foi et la base des Évangiles existent, à travers les QUATRE CANONIQUES, un faisceau et une convergence d’indices qui laisseraient penser ou permettent de supposer que Jésus avait des frères et sœurs véritables dans sa famille. (...) En présence de ces données qui forment bloc cohérent, sans fissure, la position traditionnelle [de l’Église] paraît vulnérable, fragile à soutenir.”
Cet article n’a nullement pour objet de blesser nos lecteurs catholiques sincères, particulièrement certaines fidèles qui voient dans Marie une médiatrice tendre et affectueuse, quelqu’un qui comprend les souffrances de la femme. La Bible nous autorise à respecter et même à aimer Marie en tant que fidèle disciple de Jésus (Actes 1:14). Les Écritures montrent à l’évidence que Marie, qui était une chrétienne ointe, allait être ‘relevée corps spirituel’ pour “hériter du Royaume de Dieu”, en compagne des douze Apôtres et de bien d’autres chrétiens fidèles du premier siècle. 1Corinthiens 15:42-54; 1Thessaloniciens 4:13-16.

Cependant, nulle part la Bible ne nous autorise à adorer Marie ou à prier par son intercession. Les prières doivent être adressées à Dieu par l’entremise du Christ (Jean 14:6, 13; Actes 4:12). Les catholiques ne devraient pas penser qu’ils trouveront moins de compréhension en Dieu s’ils le prient au nom du Christ que s’ils s’adressaient à Marie.

La Bible présente Dieu ainsi: “Comme un père fait miséricorde à ses fils, Yahvé fait miséricorde à ceux qui le craignent; car il sait, lui, de quoi nous sommes formés, il se souvient que nous sommes poussière.” (Psaume 103:13, 14). Quant au Christ, il est dit de lui: “Nous n’avons pas un grand prêtre incapable de compatir à nos faiblesses, lui qui a été éprouvé en tout d’une manière semblable, hormis le péché.” Hébreux 4:15; voir aussi Philippiens 4:6, 7.

Nous invitons donc nos lecteurs catholiques sincères qui avaient l’habitude d’ouvrir leur cœur à Marie à apprendre dans la Bible comment l’on peut prier Dieu par l’entremise du Christ avec la même grandiosité et chaude intimité.
Baert.c@gmail.com

AYONS LA VÉRITABLE FOI !

Publié le 05/11/2009 à 10:59 par labibleparolededieu
AYONS LA VÉRITABLE FOI !

Exerçons la foi fondée sur la vérité

“Sans la foi il est impossible de lui plaire, car celui qui s’approche de Dieu doit croire qu’il est et qu’il se fait le rémunérateur de ceux qui le cherchent réellement.”(HÉBREUX 11:6).

AVOIR la foi, ce n’est pas seulement croire à l’existence de Dieu. Le premier homme, Adam, ne doutait aucunement de l’existence de Dieu. YaHWeH ou YeHoWaH avait communiqué avec lui, très probablement par l’intermédiaire de Son Fils, la Parole (Jean 1:1-3; Colossiens 1:15-17). Pourtant, Adam a perdu la vie éternelle parce qu’il a désobéi à YaHWeH et qu’il n’a pas exercé la foi en lui.

Lorsque Ève eut désobéi à YaHWeH, le bonheur futur d’Adam sembla compromis. À la seule pensée de perdre sa femme, le premier homme était bouleversé et sa foi mise à l’épreuve! Dieu pourrait-il dénouer la situation de telle manière qu’Adam continue à vivre heureux et dans l’abondance? En suivant Ève dans la transgression, Adam a montré qu’apparemment il ne le pensait pas. Il a essayé de résoudre le problème à sa manière, au lieu de rechercher ardemment la direction divine. Parce qu’il n’a pas exercé la foi en YaHWeH, Adam a été responsable de sa propre mort et de celle de tous ses descendants. (Romains 5:12).

Un dictionnaire définit la foi comme étant une “ferme croyance en quelque chose pour lequel il n’y a pas de preuves”. Cependant, loin d’aller dans ce sens, la Bible dit exactement l’inverse. La foi se fonde sur des faits, sur des réalités, sur la vérité. On lit dans les Écritures: “La foi est la ferme attente de choses qu’on espère, la claire démonstration de réalités que pourtant l’on ne voit pas.” (Hébreux 11:1). Celui qui a la foi possède la garantie que tout ce que Dieu promet est, pour ainsi dire, accompli. Les réalités invisibles s’imposent à l’esprit de façon si convaincante qu’on dit de la foi qu’elle a valeur de preuve.

Dans certaine Traductions de la Bible, il arrive que la forme causative du verbe hébreu ´aman soit rendue par “exercer la foi”. Selon un ouvrage (Theological Wordbook of the Old Testament), “la signification profonde de cette racine est l’idée de certitude (...) qui s’oppose aux concepts modernes de la foi présentée comme quelque chose de possible, que l’on espère vrai, mais qui n’est pas certain”. Cet ouvrage ajoute: “Le dérivé ´āmēn, ‘vraiment’, se retrouve dans le Nouveau Testament sous la forme du mot amēn, qui a donné le mot (...) ‘amen’. À plusieurs reprises, Jésus a utilisé ce mot (Matthieu 5:18, 26, etc.) pour indiquer une certitude.” Le mot rendu par “foi” dans les Écritures grecques chrétiennes a, lui aussi, le sens de croyance solidement fondée sur la réalité et sur la vérité.
Le terme grec (hupostasis) traduit par “ferme attente” en Hébreux 11:1 était fréquemment employé dans d’anciens documents commerciaux sur papyrus pour rendre l’idée de quelque chose qui garantit une possession future. Les biblistes Moulton et Milligan proposent la traduction suivante: “La foi est le titre de propriété de choses qu’on espère.” (Vocabulary of the Greek Testament). De toute évidence, si quelqu’un possède un titre de propriété, il est dans la “ferme attente” qu’un jour son espérance d’entrer en possession de ce bien sera réalisée.

En Hébreux 11:1, le mot grec traduit par “claire démonstration” (élégkhos) contient l’idée de présenter des preuves claires permettant de démontrer quelque chose, surtout quelque chose de contraire à l’apparence. Ces preuves positives ou concrètes éclaircissent ce qui auparavant n’était pas discerné, et, par là même, réfutent ce qui n’était qu’apparence. Il ressort donc des Écritures hébraïques comme des Écritures grecques que la foi est loin d’être une “ferme croyance en quelque chose pour lequel il n’y a pas de preuves”. Au contraire, la foi est fondée sur la vérité.
L’apôtre Paul a énoncé une vérité fondamentale lorsqu’il a écrit que les “qualités invisibles [du Créateur] se voient distinctement depuis la création du monde, car elles sont perçues par l’intelligence grâce aux choses qui ont été faites, oui, sa puissance éternelle et sa divinité, de sorte [que ceux qui n’y croient pas] sont inexcusables”. (Romains 1:20)

En effet, “les cieux proclament la gloire de Dieu” et “la terre est pleine de [ses] productions”. (Psaumes 19:1; 104:24) Mais que faire si une personne ne veut pas examiner les preuves? Le psalmiste David a dit à ce propos: “Le méchant, selon son air dédaigneux [“l’impie, arrogant”, Jérusalem], ne cherche pas; toutes ses idées sont: ‘Il n’y a pas de Dieu.’” (Psaumes 10:4; 14:1). La foi s’appuie notamment sur cette vérité fondamentale: Dieu existe.

Cependant, YaHWeH ne fait pas qu’exister; il est aussi un Dieu qui est digne de confiance, et nous pouvons avoir foi en ses promesses. Il a dit: “Oui, comme j’ai pensé, ainsi cela devra arriver; et comme j’ai conseillé, voilà ce qui se réalisera.” (Ésaïe 14:24; 46:9, 10). Ce ne sont pas là paroles en l’air. Il existe des preuves attestant avec clarté que des centaines de prophéties consignées dans la Parole de Dieu se sont réalisées. Cette lumière ainsi jetée sur les prophéties bibliques donne également à ceux qui exercent la foi le discernement nécessaire pour comprendre que beaucoup d’autres prophéties sont en train de s’accomplir (Éphésiens 1:18). Ils voient, par exemple, l’accomplissement du “signe” indiquant la présence de Jésus; l’accélération de la prédication du Royaume établi et l’expansion du culte pur étant des éléments de ce signe (Matthieu 24:3-14; Ésaïe 2:2-4; 60:8, 22). Ils savent que les nations vont bientôt pousser le cri “Paix et sécurité!”, et que peu après Dieu ‘saccagera ceux qui saccagent la terre’. (1Thessaloniciens 5:3; Apocalypse 11:18)

Qu’il est bon d’avoir une foi fondée sur des vérités prophétiques!
La vérité sur laquelle la foi est fondée se trouve dans la Bible, qui a été rédigée grâce à l’esprit saint de Dieu (2 Samuel 23:2; Zacharie 7:12; Marc 12:36). Logiquement, donc, sans l’action de l’esprit- saint, la foi ne peut pas exister. Voilà pourquoi Paul a pu écrire: “Le fruit de l’esprit, c’est [entre autres] (...) la foi.” (Galates 5:22). Cependant, nombre de personnes rejettent la vérité divine, et souillent leur vie par des désirs et des conceptions charnels qui peinent l’esprit de Dieu. Ainsi, “tous ne possèdent pas la foi” parce qu’ils n’ont aucun fondement sur lequel ils pourraient édifier cette foi. (2Thessaloniciens 3:2; Galates 5:16-21; Éphésiens 4:30).

Néanmoins, certains des descendants d’Adam ont exercé la foi. Hébreux chapitre 11 cite des humains qui “ont reçu témoignage grâce à leur foi”: Abel, Hénoch, Noé, Abraham, Sara, Isaac, Jacob, Joseph, Moïse, Rahab, Gédéon, Barak, Samson, Jephté, David et Samuel, sans parler de nombreux autres serviteurs de YaHWeH dont les noms ne sont pas mentionnés. Remarquez ce qui fut fait “par la foi”. C’est par la foi qu’Abel “offrit à Dieu un sacrifice” et que Noé “construisit une arche”. Par la foi, Abraham “obéit et sortit pour se rendre en un lieu qu’il était destiné à recevoir en héritage”. Enfin, c’est par la foi que Moïse “quitta l’Égypte”. (Hébreux 11:4, 7, 8, 27, 29, 39).

À l’évidence, tous ces serviteurs de YaHWeH ont fait plus que croire à l’existence de Dieu. Ils ont exercé la foi et ont mis leur confiance dans Celui qui se fait le “rémunérateur de ceux qui le cherchent réellement”. (Hébreux 11:6) Ils faisaient ce que l’esprit de Dieu les poussait à faire, agissant selon la connaissance exacte de la vérité qu’on avait à l’époque, quoiqu’elle fût limitée. Quelle différence avec la conduite d’Adam! Celui-ci n’a pas agi avec une foi fondée sur la vérité ni en accord avec la direction de l’esprit saint. Dieu ne donne son esprit qu’à ceux qui lui obéissent. (Actes 5:32).

Contrairement à son père, Adam, le pieux Abel avait la foi. Il a eu connaissance, vraisemblablement par ses parents, de la première prophétie: “Je [c’est YaHWeH Dieu qui parle] mettrai une inimitié entre toi et la femme, et entre ta postérité et sa postérité. Il te meurtrira à la tête et tu le meurtriras au talon.” (Genèse 3:15). Par là, Dieu promettait ainsi d’ôter le mal et de restaurer la justice. Abel ne savait pas comment cette promesse se réaliserait. Mais, grâce à sa foi, il avait la conviction que Dieu se fait le Rémunérateur de ceux qui le cherchent réellement, et cela l’a poussé à lui offrir un sacrifice. Il avait sans doute beaucoup réfléchi à cette prophétie et en avait conclu qu’une effusion de sang était nécessaire pour que la promesse s’accomplisse et pour que l’humanité soit élevée à la perfection. Voilà pourquoi le sacrifice d’Abel, qui consistait en un animal, était approprié. Cependant, bien qu’ils aient eu la foi, Abel et les autres témoins préchrétiens de YaHWeH “n’ont (...) pas obtenu l’accomplissement de la promesse”. (Hébreux 11:39).

Au cours des siècles, Dieu a périodiquement donné des compléments d’information sur la façon dont la promesse relative à ‘la postérité de la femme’ se réaliserait. Un ange a dit à Abraham: “Grâce à ta postérité se béniront assurément toutes les nations de la terre.” (Genèse 22:18). Plus tard, David a été informé que la Postérité promise viendrait dans sa lignée royale.

En l’an 29, cette Postérité est apparue en la personne de Jésus Christ (Psaume 89:3, 4; Matthieu 1:1; 3:16,17). Contrairement à l’infidèle Adam, Jésus Christ, “le dernier Adam”, a fait preuve d’une foi exemplaire (1Corinthiens 15:45). Il a mené une vie vouée au service de YaHWeH et a accompli les nombreuses prophéties qui annonçaient le Messie. Jésus a donc rendu plus claire la vérité relative à la Postérité promise et a permis que les choses dont la Loi mosaïque était une ombre deviennent réalité (Colossiens 2:16, 17). Ainsi peut-on dire que ‘la vérité est apparue par l’entremise de Jésus Christ’. (Jean 1:17).

Maintenant que la vérité était apparue par l’entremise de Jésus Christ, le fondement sur lequel la foi dans la “promesse” pouvait s’appuyer s’en trouvait élargi. La foi avait été rendue plus solide et avait acquis, pour ainsi dire, de nouvelles dimensions. Sur ce point, Paul a dit aux chrétiens qui étaient, comme lui, oints de l’esprit: “L’Écriture a tout mis sous le péché, dans une même captivité, pour que la promesse provenant de la foi envers Jésus Christ soit donnée à ceux qui exercent la foi. Mais avant que vienne la foi, nous étions gardés sous la loi, mis en captivité, dans l’attente de la foi qui était destinée à être révélée. Ainsi donc, la Loi est devenue notre tuteur menant à Christ, afin que nous soyons déclarés justes en raison de la foi. Mais maintenant que la foi est venue, nous ne sommes plus sous un tuteur. Oui, vous êtes tous fils de Dieu par votre foi en Christ Jésus.” (Galates 3:22-26).

Les Israélites avaient exercé la foi dans les manières d’agir de Dieu à leur égard par le moyen de l’alliance de la Loi. Maintenant, cependant, il leur fallait acquérir une foi plus grande. Comment? En exerçant la foi en Jésus, qui était oint de l’esprit et à qui la Loi devait les conduire. C’était le seul moyen pour que la foi préchrétienne soit menée à la perfection. Il était, pour cela, essentiel que les premiers chrétiens ‘fixent du regard Jésus, le principal Instrument de leur foi, celui qui la mène à la perfection’. (Hébreux 12:2) En vérité, c’est ce que doivent faire tous les chrétiens.

Étant donné que la connaissance de la vérité divine avait augmenté et que, en conséquence, la foi était menée à la perfection, pouvait-on s’attendre à ce que l’esprit saint, quant à lui, soit accordé de façon plus abondante? Oui. À la Pentecôte de l’an 33, l’esprit de Dieu, l’assistant que Jésus avait promis, a été répandu sur les disciples (Jean 14:26; Actes 2:1-4). L’esprit saint a commencé à agir sur eux d’une manière entièrement nouvelle, car ils étaient devenus des frères oints du Christ. Leur foi, ce fruit de l’esprit saint, était fortifiée. Ils étaient ainsi préparés pour l’œuvre immense de prédication qui les attendait. (Matthieu 28:19, 20).

La foi est apparue lorsque, il y a plus de 19 siècles, Jésus s’est présenté comme le Roi choisi par Dieu. Mais maintenant qu’il règne dans les cieux, le fondement de notre foi, c’est-à-dire la vérité révélée, s’est considérablement élargi, ce qui permet à notre foi d’être menée à la perfection.

Peu après que les Israélites eurent été libérés de l’esclavage en Égypte, 12 hommes ont été envoyés pour espionner le pays de Canaan. Cependant, dix d’entre eux ont manqué de foi et ont douté que YaHWeH puisse tenir la promesse qu’il avait faite de donner le pays à Israël. Ils se sont laissés guider par la vue, par les choses physiques. Des 12, seuls Josué et Caleb ont montré qu’ils marchaient par la foi, et non par la vue (voir 2Corinthiens 5:7). Parce qu’ils avaient exercé la foi, eux seuls parmi ces hommes sont restés en vie et sont entrés en Terre promise.(Nombres 13:1-33;14:35-38).

Nous nous trouvons aujourd’hui aux abords du monde de justice promis par Dieu. Pour entrer dans ce monde nouveau, la foi est essentielle. Heureusement, le fondement de vérité sur lequel s’appuie cette foi n’a jamais été aussi profond. Nous possédons la Parole de Dieu dans son entier, l’exemple de Jésus Christ et de ses disciples oints, l’aide de millions de frères et de sœurs spirituels, et le soutien de l’esprit saint de Dieu comme jamais auparavant. Néanmoins, il n’est pas inutile que nous analysions notre foi et prenions des dispositions pour la fortifier pendant qu’il en est temps.

‘Oh! Je crois que c’est la vérité!’ direz-vous peut-être.

Mais quelle force a votre foi? Demandez-vous: ‘Le Royaume céleste de YaHWeH a-t-il pour moi autant de réalité qu’un gouvernement humain? Est-ce que je vois, avec les yeux de la foi, la manœuvre par laquelle les nations sont amenées à une situation finale en vue de l’arrivée de ce Royaume? Ma foi a-t-elle quelque chose à envier à celle de la “grande nuée de témoins” dont il est question en Hébreux chapitre 11?’(Hébreux 12:1;Apocalypse 16:14-16).

Ceux qui possèdent une foi fondée sur la vérité sont poussés à l’action. Comme jadis le sacrifice d’Abel, leurs sacrifices de louange sont agréables à Dieu (Hébreux 13:15, 16). À l’imitation de Noé, prédicateur de justice qui obéissait à Dieu, ils mènent une vie droite en prêchant le Royaume (Hébreux 11:7; 2 Pierre 2:5). À l’image d’Abraham, ceux dont la foi est fondée sur la vérité obéissent à YaHWeH, même si cela les dérange, ou dans les circonstances les plus éprouvantes (Hébreux 11:17-19). De même que les fidèles serviteurs de YaHWeH des temps anciens, ceux qui ont la foi sont abondamment bénis par leur Père céleste, qui les aime et qui prend soin d’eux.(Matthieu 6:25-34; 1Timothée 6:6-10).

Vous êtes serviteur de DIEU, mais vous sentez que votre foi a certaines faiblesses et vous vous demandez comment y remédier. Alors, fortifiez votre foi en étudiant assidûment la Parole de Dieu et en faisant jaillir de votre bouche les eaux de vérité qui remplissent votre cœur (Proverbes 18:4).

Si notre foi n’est pas régulièrement fortifiée, elle peut s’affaiblir et sombrer dans l’inactivité, voire dans la mort (1Timothée 1:19; Jacques 2:20, 26).

Soyons déterminés à ce que notre foi ne connaisse jamais un tel sort. Supplions YaHWeH Notre DIEU, de nous y aider et disons-lui: “Viens à mon secours là où j’ai besoin de foi!” (Marc 9:24).

JESUS EST-IL DIEU ,

Publié le 05/11/2009 à 10:30 par labibleparolededieu
JÉSUS EST-IL DIEU ?

Une confusion extrême règne encore en général concernant la personnalité de JESUS, Ses rapports avec DIEU, ainsi que sur la nature et le rôle de l’Esprit saint.

Cette confusion disparaît si l’on se souvient :

• qu’il y a un DIEU unique, le Père, (le mot père signifie donateur de vie), à l’origine de toutes choses.

• que JÉSUS est Son Fils unique (le mot fils signifie celui qui reçoit la vie). Il est la seule création directe de Dieu.

• que l’Esprit saint est une disposition, une puissance émanant de Dieu, à ne pas confondre avec des êtres spirituels.

Seul, DIEU (l’Éternel, le Père, Le Seigneur, Jéhovah, Jah, YeHoWaH, Yahweh sont quelques-unes de Ses appellations) n’a pas eu de commencement.
“D’éternité en éternité... tu es Dieu” (Psaume 90:2).
“Moi, je suis l’Éternel, et il n’y en a point d’autre” (Ésaïe 45 : 5, 6, 22).

QUE DIT JÉSUS ?

Que le Père lui-même L’a envoyé (Évangile de Jean 13 : 20 5 :23,24) etc. S’Il était lui-même [Le] DIEU ou une partie de [Le] DIEU, comment Jésus aurait-Il pu s’exprimer ainsi ? Aurait-il pu S’envoyer lui-même ?
Au moment de réveiller Lazare, Jésus prie “Père, je te rends grâces de ce que tu m’as entendu” (Évangile de Jean 11:41).

S’Il avait été lui-même le Père, [Dieu], ceci n’aurait-il pas été une véritable supercherie et une insulte pour les témoins de ce miracle et les croyants à travers les siècles ?

Sur la croix, au moment de mourir, Jésus ressent une telle sensation d’isolement qu’Il s’écrie “Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ? ” (Évangile de Matthieu 27:46).

S’Il avait été [Le] DIEU, aurait-Il pu s’exprimer d’une telle façon ?

JÉSUS N’EST DONC PAS ho theos [Le] DIEU

JÉSUS FUT-IL UN HOMME-DIEU ?

NON : Jésus eut certes une existence antérieure à Son existence humaine, mais Il posséda successivement ces deux natures distinctes à des périodes et pour des activités nettement différentes ; il n’y eut jamais en Lui deux natures différentes en même temps.

Jésus, au commencement de l’activité créatrice, était le Logos ou Verbe [La Parole]. Il était theos, [un] dieu, c’est-à-dire, un puissant, dans le sens où nous employons ce terme de nos jours, exemple un dieu du stade, de la politique etc. “À un commencement, était la Parole et la Parole était avec (ou auprès de) ho theos [Le] Dieu et la Parole était theos [un] dieu” (Jean 1:1,2).

“Il est le commencement de la création de Dieu” (Apocalypse 3:14). “Il est le premier-né de toute la création” (Colossiens 1:15-16).

Durant cette existence préhumaine, donc spirituelle, mais non divine, la Parole, Jésus, fut l’agent principal de toute la création animée et inanimée : “J’étais à côté de lui son artisan (voir note Darby) Proverbes 8:30” ; “Toutes choses furent faites par elle, et sans elle pas une seule chose ne fut faite de ce qui a été fait." (Jean 1: 3) ; “Car par lui ont été créées toutes choses…” (Colossiens chap. 1 : 16).

La relation entre DIEU et Jésus est clairement mise en évidence par l’Apôtre Paul dans la 1iere épître aux Corinthiens chap. 8:6 “Pour nous, il y a un seul Dieu, le Père, duquel sont toutes choses, et nous pour lui, et un seul Seigneur, Jésus-Christ, par lequel sont toutes choses, et nous par lui ".

Ces quelques versets et d’autres très nombreux prouvent une existence spirituelle antérieure et créatrice de Jésus, mais JÉSUS NE FUT JAMAIS UN HOMME-DIEU.

JESUS FUT FAIT HOMME.

Cependant, pour permettre au Plan de salut de Dieu en faveur de l’humanité de s’accomplir, Jésus accepta volontairement de quitter la position qu’Il avait auprès de Son Père, et de Se donner en rançon ou prix correspondant pour Adam, rachetant en même temps toute la race dans ses reins. “L’homme Christ Jésus, qui s’est donné lui-même en rançon pour tous” (1Timothée 2 : 6) Pour cela, Il fut fait chair.

“Et la Parole devint chair, et habita au milieu de nous” (Jean 1:14) ; “Mais il s’est dépouillé en prenant la forme d’un serviteur devenant semblable aux hommes ; et, étant trouvé en figure comme un homme, il s’est abaissé lui-même, étant devenu obéissant jusqu’à la mort, et à la mort de la croix” (Philippiens 2:7, 8) “Jésus qui a été fait un peu moindre que les anges à cause de la passion de la mort (Hébreux 2:9).

Nulle part, il n’est question de l’incarnation de DIEU, de mélange de deux natures, ceci étant contraire à la loi de la création divine. Il y eut “carnation”, Jésus DEVINT chair (point !). C’est le même principe (ou étincelle) de vie qui fut transféré d’un plan supérieur à un plan inférieur, tout en conservant toutes les caractéristiques de la personnalité du Logos. Jésus DEVINT un HOMME parfait et mourut comme tel pour racheter Adam parfait. (1Corinthiens 15 :47,50)

JESUS A BIEN ÉTÉ UN HOMME PENDANT UN TEMPS LIMITÉ

JÉSUS RESSUSCITÉ N’EST PAS DIEU

Nous rappelons que Jésus accepta volontairement un abaissement de nature pour donner à Adam et à toute l’humanité, après les avoir ramenés hors de la tombe, une occasion d’obtenir la vie éternelle. Ce réveil des morts est à présent très proche.

Sa résurrection est la preuve qu’Il a accompli parfaitement la mission qu’Il avait acceptée. Nous lisons qu’au début de Son ministère “Jésus aussi étant baptisé et priant, le ciel s’ouvrit.., et il y eut une voix qui venait du ciel : Tu es mon Fils bien-aimé : en toi j’ai trouvé mon plaisir". En recevant une compréhension des choses célestes les plus élevées, les choses divines, les facultés de Jésus expérimentaient, sous la puissance de DIEU, un troisième engendrement ; celui-ci amena Jésus à la droite du Père, au terme de Son développement au sein des souffrances multiples durant trois ans et demi (Marc 16:19; Luc 22:69). La droite, ici, représente la position de faveur la plus élevée auprès du Père.

Longtemps, il fut difficile de comprendre comment de tels changements de nature pouvaient avoir eu lieu, ce qui accroissait le scepticisme et l’incrédulité. Mais, sans parler de la parthénogenèse, les progrès dans la connaissance en obstétrique, ceux aboutissant à la fécondation artificielle, quelle que soit l’appréciation que l’on en ait du point de vue moral, mettent en évidence pensée du Psaume 94:9 “Celui qui a planté l’oreille n’entendra-t-il point ? Celui qui a formé l’oeil ne verra-t-il point ? ” .

Nous comprenons que Celui qui permet à l’homme d’utiliser certaines lois a pu, pour un dessein grandiose, utiliser ces mêmes lois à des fins plus élevées, et sans les violer. C’est ce qu’Il a fait en transférant le principe [ou étincelle] de vie du LOGOS ou PAROLE dans le sein de Marie, puis dans l’autre sens, par des moyens que nous ne pouvons analyser ici, en amenant Son Fils à la nature divine réservée à un nombre limité de fidèles.

JESUS N’EST PAS [LE] DIEU TOUT- PUISSANT MAIS IL EST ET DEMEURERA À JAMAIS LE FILS DE DIEU.
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ALPHA et OMEGA

Publié le 05/07/2009 à 17:04 par labibleparolededieu
Qui est “l’Alpha et l’Oméga”?

LES plus anciens manuscrits grecs du livre de l'Apocalypse portent en trois endroits l’expression “l’Alpha et l’Oméga”. Cette formule s’applique-t-elle à la fois à YaHWeH Dieu et à son Fils Jésus Christ, comme beaucoup le pensent? D’autre part, quelle est sa signification?

“Alpha” est le nom de la première lettre de l’alphabet grec, “Oméga” celui de la dernière. Le titre “Alpha et Oméga” évoque donc une idée de commencement et de fin, ou encore de plénitude. En somme, la personne qui porte un tel titre devrait être à l’origine de certaines choses et les mener avec succès jusqu’à leur terme.

De la lecture des Écritures hébraïques il ressort que le titre d’“Alpha et Oméga” irait parfaitement à YaHWeH ou YeHoWaH Dieu. Ne lit-on pas par exemple ceci, en Ésaïe 55:10, 11: “Comme la pluie et la neige descendent des cieux, et n'y retournent pas sans avoir arrosé, fécondé la terre, et fait germer les plantes, sans avoir donné de la semence au semeur et du pain à celui qui mange, ainsi en est-il de ma parole, qui sort de ma bouche: Elle ne retourne point à moi sans effet, sans avoir exécuté ma volonté
et accompli mes desseins.”

Ce texte montre parfaitement que tout ce que YaHWeH ou YeHoWaH Dieu annonce, il le mène à bonne fin. L’eau tombée sous forme de pluie ou de neige finit par pénétrer dans le sol et se combiner à diverses substances pour donner aux plantes ce dont elles ont besoin pour pousser. Le grain récolté fournira la semence pour les semailles à venir et surtout, une fois moulu, la farine pour le pain. Ainsi, la pluie aura pleinement rempli sa fonction essentielle qui est de donner du pain à celui qui mange et du grain au semeur. De cet exemple il ressort que tout ce que commence YaHWeH ou YeHoWaH Dieu, Cause première, il le mène toujours à bonne fin.

Le titre “Alpha et Oméga” ne s’applique-t-il pour autant qu’à YeHoWaH Dieu seul? Avant de répondre à cette question, arrêtons-nous sur le contexte des passages où apparaît cette expression.

Commençons par Apocalypse 1:8: “Je suis l’Alpha et l’Oméga, dit le Seigneur Dieu, celui qui est, qui était et qui vient, le Tout-Puissant.” (Segond révisée). Visiblement ce texte parle de YaHWeH Dieu, le Très-Haut.

Certes, le verset précédent déclare que Jésus Christ “vient avec les nuées”, mais le texte lui-même ainsi que les versets du contexte montrent que Jésus ne pouvait être “l’Alpha et l’Oméga”. Dans la Bible, seul le Père du Seigneur Jésus Christ est appelé “le Seigneur Dieu” et le “Tout-Puissant”.

Même Jésus Christ appela son Père “mon Dieu”. (Jean 20:17; Apocalypse 3:12.) Le premier verset du livre de la Révélation nous apprend que Jésus Christ reçut de Dieu cette prophétie (Lire Apocalypse 1:1). On peut donc s’attendre à retrouver des paroles du Dieu Tout-Puissant dans le texte.

Or, c’est manifestement le cas dans la première référence à “l’Alpha et l’Oméga”, surtout que l’apôtre Jean ajoute au verset suivant: “Moi Jean, votre frère, et qui ai part avec vous à la tribulation et au royaume et à la persévérance en Jésus, j'étais dans l'île appelée Patmos, à cause de la parole de Dieu et du témoignage de Jésus.” (Apocalypse 1:9). Cette phrase confirme que pour Jean, Dieu YaHWeH était le Père du Seigneur Jésus Christ.

Mais en quel sens YaHWeH est-il “celui qui est, qui était et qui vient”? Dieu éternel, YaHWeH a toujours été le Tout-Puissant (Psaume. 90:2). Depuis des temps immémoriaux il était donc le Très-Haut. Aujourd’hui, il demeure le Dieu Tout-Puissant et il le sera encore lorsqu’il viendra exécuter son jugement, à l’heure où il manifestera sa toute puissance, conformément à d’autres passages de la Révélation, et où quiconque s’opposera à sa domination sera détruit par son Fils. Apocalypse 16:14; 19:13-16.

Le second passage où apparaît le titre d’“Alpha et Oméga” se trouve en Apocalypse 21:6. Or, au verset suivant, celui à qui s’applique ce titre déclare: “Celui qui vaincra héritera ces choses; je serai son Dieu, et il sera mon fils.” Puisque Jésus Christ se considère comme le “frère” de ces vainqueurs, c’est donc le Père du Seigneur Jésus Christ qui se fait appeler ici “Alpha et Oméga”. Comparez avec Matthieu 25:40 et Hébreux 2:10-12.

Citons enfin le troisième et dernier texte, celui de Apocalypse 22:12, 13: “Voici, je viens bientôt, et ma rétribution est avec moi, pour rendre à chacun selon ce qu'est son œuvre. Je suis l'alpha et l'oméga, le premier et le dernier, le commencement et la fin.” Ce passage figure au milieu d’autres déclarations attribuées tantôt à un ange, tantôt à Jésus Christ. L’extrait cité plus haut est précédé d’une déclaration provenant de l’ange qui avait transmis la Révélation à l’apôtre Jean (Apocalypse 22:8, 9).

Ensuite, il y a cette citation qui commence au verset 12 pour se terminer au verset 15 et qui est suivie d’une troisième intervention formulée en ces termes: “Moi, Jésus, j'ai envoyé mon ange pour vous attester ces choses.” (Apocalypse 22:16). Rien dans le contexte n’indique qu’il faut attribuer soit à l’ange, soit à Jésus la déclaration des versets 12 et 13. Elle peut donc très bien émaner d’une tierce personne. Pour demeurer logique avec le reste du livre de l'Apocalypse ou Révélation, “l’Alpha et l’Oméga” ne peut être que le Dieu Tout-Puissant celui-là même qui vient en tant que juge pour récompenser ou châtier les gens d’après leurs œuvres.

On trouve le pendant de Apocalypse 22:12 dans ce texte de l’apôtre Paul: “Mais, par ton endurcissement et par ton cœur impénitent, tu t'amasses un trésor de colère pour le jour de la colère et de la manifestation du juste jugement de Dieu, qui rendra à chacun selon ses œuvres; réservant la vie éternelle à ceux qui, par la persévérance à bien faire, cherchent l'honneur, la gloire et l'immortalité; mais l'irritation et la colère à ceux qui, par esprit de dispute, sont rebelles à la vérité et obéissent à l'injustice. Tribulation et angoisse sur toute âme d'homme qui fait le mal, sur le Juif premièrement, puis sur le Grec! Gloire, honneur et paix pour quiconque fait le bien, pour le Juif premièrement, puis pour le Grec!” (Romains 2:5-10).

Il est bien évident que YaHWeH Dieu exprimera son jugement par l’entremise de son Fils, car l’apôtre ajoute: “C'est ce qui paraîtra au jour où, selon mon Évangile, Dieu jugera par Jésus-Christ les actions secrètes des hommes.” Romains 2:16.

Ainsi, le fait que YaHWeH Dieu se présente comme “l’Alpha et l’Oméga” nous fournit l’assurance que la réalisation de ses desseins se terminera par un triomphe.

Cela devrait nous inciter à faire tout notre possible pour gagner l’approbation de Dieu, attitude qu’il ne manquera pas de récompenser, puisque sa Parole déclare: “Dieu n'est pas injuste, pour oublier votre travail et l'amour que vous avez montré pour son nom, ayant rendu et rendant encore des services aux saints.” Hébreux . 6:10.
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Le Sabbat doit-il être observé par le chrétien

Publié le 18/05/2009 à 10:12 par labibleparolededieu
Le Sabbat doit-il être observé par le chrétien
LE SABBAT

Jour réservé par Dieu au repos par rapport à des travaux habituels ; le sabbat fut donné par YaHWeH comme signe entre lui et les fils d’Israël (Exode 31:16, 17).

L’expression hébraïque yôm hashshabbath dérive du verbe shavath, qui signifie “ se reposer, cesser ”. (Genèse 2:2 ; 8:22) En grec, hê hêméra tou sabbatou signifie “ le jour du sabbat ”.

L’histoire de l’observance d’un sabbat hebdomadaire de 24 heures commença avec la nation d’Israël dans le désert, le deuxième mois après sa sortie d’Égypte en 1513 av. n. è. (Exode 16:1) YaHWeH avait dit à Moïse qu’il y aurait une double récolte de la manne miraculeuse le sixième jour.

Cela se réalisa, et les chefs de l’assemblée le rapportèrent à Moïse, puis les dispositions relatives au sabbat hebdomadaire furent annoncées (Exode 16:22, 23). Les paroles de YaHWeH en Exode 16:28, 29 indiquent qu’à partir de ce moment les Israélites furent dans l’obligation d’observer le sabbat.

Le sabbat hebdomadaire devint partie intégrante d’un système de sabbats lorsque l’alliance de la Loi fut inaugurée officiellement peu de temps plus tard au mont Sinaï (Exode 19:1; 20:8-10; 24:5-8).

Ce système sabbatique comprenait de nombreuses sortes de sabbats : le 7e jour, la 7e année, la 50e année (année jubilaire), le 14 Nisan (Pâque), le 15 Nisan, le 21 Nisan, le 6 Sivân (Pentecôte), le 1er Éthanim, le 10 Éthanim (jour des Propitiations), le 15 Éthanim et le 22 Éthanim.

Selon le témoignage de Deutéronome 5:2, 3 et d’Exode 31:16, 17, manifestement aucun serviteur de Dieu n’avait été tenu d’observer le sabbat avant la fin de l’Exode : “ Ce n’est pas avec nos ancêtres que YaHWeH a conclu cette alliance, mais avec nous. ” “

Les fils d’Israël devront garder le sabbat [...] dans le cours de leurs générations. [...] Entre moi et les fils d’Israël, c’est un signe pour des temps indéfinis. ” Si les Israélites avaient déjà observé le sabbat auparavant, il n’aurait pas pu servir à leur rappeler que YaHWeH les avait libérés d’Égypte, comme l’exprime Deutéronome 5:15

Le fait que quelques-uns des Israélites sortirent pour ramasser de la manne le septième jour, alors qu’ils avaient eu l’instruction précise de ne pas le faire, indique que l’observance du sabbat était quelque chose de nouveau (Exode 16:11-30). L’incertitude sur la manière de traiter le premier cas raconté de violation du sabbat après la transmission de la Loi au Sinaï montre pareillement que le sabbat venait à peine d’être institué (Nombres 15:32-36).

Tant qu’ils étaient en Égypte, les Israélites, esclaves, n’auraient pas pu observer le sabbat, même s’ils avaient été soumis à une telle loi à l’époque. Pharaon s’était plaint que Moïse perturbait leur travail même quand celui-ci avait demandé trois jours pour aller sacrifier à Dieu ; combien plus l’aurait-il fait si les Israélites avaient essayé de se reposer un jour sur sept (Exode 5:1-5) !

S’il est vrai qu’apparemment les patriarches mesuraient le temps avec des semaines de sept jours, rien n’indique qu’ils aient distingué le septième jour des autres. Le chiffre sept avait toutefois de l’importance, car souvent il servait à exprimer l’état de ce qui est complet (Genèse 4:15,23,24; 21:28-32). Le mot hébreu “ jurer ” (shava`) est manifestement de la même racine que le mot signifiant “ sept ”.

Le sabbat était célébré comme un jour sacré (Deutéronome 5:12), un jour de repos et de réjouissance pour tous — Israélites, serviteurs, résidents étrangers et animaux —, car on cessait tout travail (Isaïe 58:13,14; Osée 2:11; Exode 20:10; 34:21; Deutéronome 5:12-15 ; Jérémie 17:21,24).

On présentait un holocauste spécial, ainsi qu’une offrande de grain et une libation, en plus de “ l’holocauste constant ” habituel offert quotidiennement (Nombres 28:9,10). On renouvelait le pain de proposition dans le sanctuaire et une nouvelle division de prêtres prenait son service (Lévitique 24:5-9; 1Chroniques 9:32; 2Chroniques 23:4).

Le service des prêtres n’était pas réduit pendant le sabbat (Matthieu 12:5) ; on circoncisait même les petits garçons le jour du sabbat s’il correspondait à leur huitième jour de vie.

Plus tard, les Juifs formulèrent cette maxime : “ Il n’y a pas de sabbat dans le sanctuaire ”, ce qui signifiait que le service des prêtres se poursuivait invariablement. Jean 7:22; Lévitique 12:2,3; The Temple, par A. Edersheim, 1874, p. 152.

Selon des sources rabbiniques, du temps où Jésus était sur la terre, on annonçait l’approche du jour du sabbat le vendredi après-midi par trois sonneries de trompette vers la neuvième heure, c’est-à-dire 15 heures.

Sur ce, tout travail et toutes affaires devaient cesser, on allumait la lampe du sabbat et on revêtait les habits de fête. Puis trois autres sonneries indiquaient que le sabbat avait effectivement commencé.

La division de prêtres sortante offrait le sacrifice du matin du sabbat et la division entrante offrait le sacrifice du soir, les deux divisions passant le sabbat dans le sanctuaire.

Chaque division remettait au grand prêtre la moitié de sa portion du pain. Il était consommé durant le sabbat, dans le temple même, par les prêtres qui étaient en état de pureté.

Les chefs des familles des divisions entrantes déterminaient par le sort quelle famille servirait chaque jour particulier de leur semaine de ministère, et qui s’acquitterait des fonctions sacerdotales le sabbat. Lévitique 24:8,9; Marc 2:26,27; The Temple, p. 151, 152, 156-158.

En ce qui concerne les exigences du sabbat, on distinguait le sabbat hebdomadaire ordinaire des sabbats ou “ saintes assemblées ” liés aux fêtes (Lévitique 23:2).

D’une manière générale, le sabbat hebdomadaire était le plus contraignant ; aucune sorte de travail, pénible ou non, n’était permise (sauf dans le sanctuaire).

Il était même interdit de ramasser du bois ou d’allumer un feu (Nombres 15:32-36; Exode 35:3). Il était interdit de voyager, apparemment en vertu d’Exode 16:29.

Le jour des Propitiations, pareillement, on se reposait de toute sorte de travail (Lévitique 16:29-31; 23:28-31).

Cependant, les jours de sainte assemblée lors des fêtes, l’interdiction concernait les travaux pénibles, le commerce ou les affaires, mais pas la cuisine, les préparatifs de la fête, etc. Exode 12:16; Lévitique 23:7,8,21,35,36.

Parfois deux sabbats prescrits par la Loi tombaient la même période de 24 heures, et on appelait cela un “ grand ” sabbat, par exemple quand le 15 Nisan (un jour de sabbat) coïncidait avec le sabbat hebdomadaire. Jean 19:31.

Bienfaits et importance du sabbat:

La cessation de tout travail et le respect des autres exigences divines relatives au sabbat non seulement permettaient de se reposer physiquement, mais donnaient surtout l’occasion à chacun de démontrer personnellement sa foi et son obéissance par l’observance du sabbat.

Les parents pouvaient en profiter pour imprimer les lois et les commandements de Dieu dans l’esprit et le cœur de leurs enfants (Deutéronome 6:4-9).

On avait coutume de consacrer le sabbat à acquérir la connaissance de Dieu et à s’occuper de ses besoins spirituels, ce qu’indique la réponse du mari de la Sunamite lorsqu’elle lui demanda l’autorisation d’aller voir Élisha, l’homme de Dieu. Il lui dit : “ Pourquoi vas-tu vers lui aujourd’hui ? Ce n’est pas une nouvelle lune ni un sabbat. ” (2Rois 4:22,23).

Par ailleurs, les Lévites qui étaient dispersés dans le pays profitaient sans aucun doute du sabbat pour enseigner la Loi au peuple d’Israël. Deutéronome 33:8,10; Lévitique 10:11.

Il importait que chaque Israélite veille personnellement à garder le sabbat, car sa violation était considérée comme une rébellion contre YaHWeH et punie de mort (Exode 31:14,15; Nombres 15:32-36).

Le même principe s’appliquait à la nation. Elle devait observer volontiers le système sabbatique dans son ensemble, jours et années, ce qui était une condition essentielle pour sa survie en tant que nation dans son pays donné par Dieu.

Le non-respect des lois sabbatiques contribua dans une large mesure à l’effondrement de la nation et à la désolation du pays de Juda pendant 70 ans pour compenser les sabbats violés. Lévitique 26:31-35; 2Chroniques 36:20,21.

Restrictions rabbiniques relatives au sabbat :

À l’origine, le sabbat devait être un moment de joie et d’encouragement spirituel.

Mais, dans leur souci de se distinguer autant que possible des Gentils, les chefs religieux juifs le rendirent avec le temps très pesant, surtout après le retour de l’exil à Babylone, en augmentant considérablement le nombre des restrictions sabbatiques, qui s’élevèrent à 39, sans compter d’innombrables autres restrictions moindres.

Compilées, celles-ci remplissaient deux grands volumes.

C'est ainsi, qu'il était interdit d’attraper une puce, geste assimilé à la chasse. On ne pouvait pas soulager quelqu’un qui souffrait, sauf s’il risquait de mourir. Il était défendu de remettre un os en place ou de bander une foulure.

La raison d’être même du sabbat était rendue vaine par ces chefs religieux juifs, car ils rendaient le peuple esclave de la tradition, au lieu de faire que le sabbat serve les hommes pour l’honneur de Dieu (Matthieu 15:3,6;23:2-4; Marc 2:27).

Un jour que les disciples de Jésus arrachèrent des épis et les frottèrent dans leurs mains pour les manger, selon toute évidence on les accusa de deux méfaits, celui d’avoir moissonné et celui d’avoir battu un jour de sabbat (Luc 6:1,2). Les rabbins avaient coutume de dire : “ Quiconque, fût-il un idolâtre, observe strictement toutes les lois relatives au sabbat a ses péchés pardonnés. ”

Le sabbat est–il une exigence chrétienne ?

Jésus, Juif soumis à la Loi, observait le sabbat selon ce qu’ordonnait la Parole de Dieu (et non les Pharisiens). Il savait qu’il était permis, le sabbat, de faire quelque chose de beau (Matthieu 12:12).

Toutefois, les écrits chrétiens divinement inspirés déclarent que “ Christ est la fin de la Loi ” (Romains 10:4), ce qui signifie que les chrétiens sont “ libérés de la Loi ”. (Romains 7:6)

Ni Jésus ni ses disciples ne firent de distinction entre les prétendues lois morales et celles dites rituelles. Ils citèrent autant les autres parties de la Loi que les Dix Commandements et considérèrent l’ensemble comme également impératif pour ceux qui étaient soumis à la Loi (Matthieu 5:21-48; 22:37-40; Romains 13:8-10; Jacques 2:10,11).

Les Écritures disent en termes clairs que le sacrifice de Christ “ a accompli [...] la Loi des commandements consistant en décrets ” et que Dieu “ a effacé le document manuscrit qui était contre nous, document qui consistait en décrets [...] ; et Il l’a fait disparaître en le clouant à la croix ”.

C’est la Loi mosaïque tout entière qui a été ‘ abolie ’, a été ‘ effacée ’, et a ‘ disparu ’. (Ephésiens 2:13-15; Colossiens 2:13,14)

Par conséquent, c’est au système sabbatique dans son entier, les jours et les années, qu’il a été mis fin par le sacrifice de Christ Jésus, en même temps qu’au reste de la Loi.

Cela explique pourquoi les chrétiens peuvent estimer “ qu’un jour [sabbat ou n’importe quel jour] est pareil à tous les autres ”, sans craindre que quelqu’un les juge (Romains 14:4-6; Colossiens 2:16).

À propos de ceux qui observaient scrupuleusement “ les jours, les mois, les époques et les années ”, Paul écrivit : “ Vous observez les jours, les mois, les temps et les années ! Je crains d'avoir inutilement travaillé pour vous. ” Galates 4:10,11.

Après la mort de Jésus, à aucun moment ses apôtres n’ordonnèrent l’observance du sabbat. Le sabbat ne figure pas parmi les exigences chrétiennes stipulées en Actes 15:28,29 ni postérieurement.

Ils n’instituèrent pas non plus un nouveau sabbat, un “ jour du Seigneur ”.

Bien que Jésus ait été ressuscité le jour aujourd’hui appelé dimanche, la Bible n’indique nulle part que le jour de sa résurrection doive être commémoré comme un “ nouveau ” sabbat ou de quelqu’autre façon.

Certains se sont appuyés sur 1Corinthiens 16:2 et Actes 20:7 pour affirmer que le dimanche doit être observé comme un sabbat.

Toutefois, le premier texte indique seulement que Paul demandait aux chrétiens de mettre une certaine somme d’argent de côté, chez eux, chaque premier jour de la semaine, pour leurs frères indigents de Jérusalem. Ils ne devaient pas apporter cet argent à leur lieu de réunion, mais le conserver jusqu’à l’arrivée de Paul.

Au sujet du deuxième texte,(Actes 20:17) il était tout à fait compréhensible que Paul se réunisse avec les frères de Troas le premier jour de la semaine, puisqu’il repartait le lendemain même.

Il ressort de ce qui précède que l’observance littérale des jours et des années sabbatiques n’était pas un aspect du christianisme du Ier siècle.

Ce n’est pas avant l’an 321 de n. è. que Constantin décréta que le dimanche (à l’origine dies Solis [jour du soleil en latin] : titre ancien associé à l’astrologie et au culte du soleil, et non Sabbatum [sabbat]) serait un jour de repos pour tous, à l’exception des cultivateurs. En français, dies Domini (jour du Seigneur), d’où “ dimanche ”, se substitua plus tard à dies Solis.

L’entrée dans le repos de Dieu.

Selon Genèse 2:2,3, après le sixième jour, ou période, de création, Dieu “ s’est mis à se reposer le septième jour ”, cessant toute activité créatrice en rapport avec la terre, comme le raconte Genèse chapitre 1.

En Hébreux chapitres 3 et 4, l’apôtre Paul montre que les Juifs dans le désert n’avaient pas pu entrer dans le repos, ou sabbat, de Dieu en raison de leur désobéissance et de leur manque de foi (Hébreux 3:18,19; Psaumes 95:7-11; Nombres 14:28-35).

Ceux qui purent entrer en Terre promise sous la conduite de Josué connurent un repos, mais ce n’était pas le repos total qu’on connaîtrait sous le Messie.

Ce n’était qu’un type, une ombre de la réalité (Josué 21:44; Hébreux 4:8;10:1).

Toutefois, explique Paul, il reste “ un repos de sabbat pour le peuple de Dieu ”. (Hébreux 4:9)

Ceux qui se montrent obéissants et qui exercent la foi en Christ goûtent de ce fait un “ repos de sabbat ” où ils se reposent de ‘ leurs œuvres ’, œuvres par le moyen desquelles ils essayaient autrefois de paraître justes (voir Romains 10:3).

Paul montre par là que le sabbat, ou repos, de Dieu se poursuivait à son époque et que des chrétiens y entraient, ce qui indique que le jour de repos de Dieu dure des milliers d’années. Hébreux 4:3,6,10.

“ Seigneur du sabbat. ”

Tandis qu’il était sur la terre, Jésus Christ se qualifia de “ Seigneur du sabbat ”. (Matthieu 12:8)

Le sabbat littéral, dont le but était de reposer les Israélites de leurs travaux, était “ une ombre des choses à venir, mais la réalité relève du Christ ”. (Colossiens 2:16,17)

En rapport avec ces “ choses à venir ”, il existe un sabbat dont Jésus doit devenir le Seigneur. En qualité de Seigneur des seigneurs, Christ dominera toute la terre pendant mille ans (Apocalypse 19:16; 20:6).

Au cours de son ministère terrestre, Jésus accomplit certaines de ses plus remarquables œuvres miraculeuses le sabbat (Luc 13:10-13; Jean 5:5-9; 9:1-14).

Cela indique manifestement le genre de soulagement qu’il procurera quand il élèvera l’humanité à la perfection spirituelle et physique durant son Règne millénaire à venir, qui sera ainsi comme une période de repos sabbatique pour la terre et le genre humain. Apocalypse 21:1-4
Je viens ici rectifier une pensée souvent émise, "Jésus n'a pas aboli la Loi" Jésus a accompli la Loi et lui-même l'a dit en Évangile de Matthieu 5:17 " Ne croyez pas que je sois venu anéantir la Loi ou les prophètes; Je ne suis pas venu les anéantir, mais les accomplir." (Traduction David Martin (1855).

Ecrivez-moi, et soumettez moi vos observations à l'adresse suivante : baert.c@gmail.com
Je vous répondrez au mieux, mais selon la Bible, La Parole de Dieu, et non selon moi.

Que YaHWeH Dieu vous bénisse et au nom de son Fils Christ-Jésus.

Qui je suis ?

Publié le 17/05/2009 à 09:34 par labibleparolededieu
Qui je suis ?
Bonjour,

Oui, j'essaie d'être chrétien, mais sans appartenir à une religion ou secte, je n'ai aucune étiquette, à l'exemple de Christ et des apôtres qui ne soutenaient que la réhabilitation du Nom de Dieu à leurs contemporains (Matthieu 6:9,10)

Je lis la Bible depuis plus de 50 ans et je partage ma connaissance avec mon prochain dans le seul but que chacun de nous affermisse sa propre foi.

Si tous les croyants soutenaient le Royaume de Dieu, je pense que nous ne serions pas dans le marasme planétaire dans lequel nous baignons en ce moment.

Les uns pensent comme leurs gourous, d'autre soutiennent plus leurs institutions ou organisations religieuses ou d'autres ne voient qu'à travers leurs dogmes, aussi plus personne ne sait en qui et en quoi il faut croire, et surtout comment il faut croire ?.
Demandez à quelqu'un :
Qui est Dieu ?
Qui est Jésus ?
En quoi consiste la volonté de Dieu ?
Et alors vous allez avoir des réponses aussi variées qu'il y a d'interrogés.

Comment pouvons nous identifier la véritable Foi?

1°) Sur quoi ses enseignements sont-ils fondés ? (2Timothée 3:16; Marc 7:7)
2°) Voyez si elle fait connaître le Nom de Dieu. (Jean 17:6; Matthieu 4:10)
3°) Les membres exercent-ils vraiment la Foi en Jésus-Christ ? (Jean 3:36; Psaume 2:6-8)
4°) Est-elle essentiellement formaliste ou constitue-t-elle un mode de vie? (Ésaïe 1:15-17; 1Corinthiens 5:9-13; Éphésiens 5:3-5)
5°) Les membres qui professent la véritable foi s'aiment-ils vraiment les uns les autres? (Jean 13:35)

Voilà quelques questions que nous devons nous poser pour savoir si nous sommes sur le bon chemin. Voilà je pense un moyen de faire le bilan pour soi-même et pour les autres et ainsi savoir si nous sommes sur la "VOIE" de DIEU !

Voulez-vous en savoir plus ?

Je suis un monsieur de 71 ans (bientôt 72) marié, ayant eu des enfants d’où j’ai hérité des petits enfants et même arrière petits enfants. Je demeure avec mon épouse dans une région de la France qui se nomme le Médoc, oui, là où l’on trouve du bon vin de Bordeaux en France.

Si maintenant vous avez d’autres questions, surtout ne vous gênez pas, je vous y répondrais avec le plus de précisions possibles.
Alors posez moi toutes vos questions, et je me ferais un plaisir de vous dire ce que La Bible, La Parole de Dieu dit! (Pas moi !) Car là est mon premier but !

Voici l'adresse à laquelle vous pouvez me contacter : baert.c@gmail.com

Je ne prétends pas posséder toute la Vérité, mais j'offre à toutes celles et à tous ceux qui le désirent, acquérir la connaissance sur la "Foi" en Dieu le Père et en son Fils Christ-Jésus.

Je vous salue et en attendant de vous lire prochainement, je vous adresse toute mon amitié et mes chaleureuses salutations.

PS. : Surtout ne pensez pas que je fais cela pour soutenir un clocher, je n’en ai pas moi-même, et d’autre part, ne pensez pas que je suis un témoin de JeHoVaH ou un défenseur des Mormons, il n’en est rien, je ne suis ni l’un, ni l’autre, je le répète, je ne soutien aucune cause, sauf celle de notre DIEU et celle de son Fils Jésus–Christ, c’est–à–dire le Royaume de DIEU.

Jean 17:3


Lisez la BIBLE !

Adorons Dieu comme IL le veut

Publié le 16/05/2009 à 10:38 par labibleparolededieu
Adorons Dieu comme IL le veut
Adorons-nous Dieu comme il le veut !

JÉSUS a prié DIEU en ces termes: “Ceci signifie la vie éternelle: qu’ils apprennent à te connaître, toi, le seul vrai DIEU, et celui que tu as envoyé, Jésus Christ.” (Jean 17:3).

De quelle connaissance était-il question? Selon les propos de Paul, “DIEU (...) veut que toutes sortes d’hommes soient sauvés et parviennent à la connaissance exacte de la vérité”. (1Timothée 2:4.) La version Parole vivante rend ainsi la fin de ce passage: “et parviennent à une parfaite connaissance de la vérité [divine].”

Ainsi, Dieu veut que nous ayons une connaissance exacte de sa personne et de ses desseins, une connaissance conforme à la vérité divine. La Parole de DIEU, la Sainte Bible, est la source de cette vérité (Jean 17:17; 2Timothée 3:16,17).

Celui qui, grâce à la Bible, apprend à connaître DIEU avec exactitude se garde désormais de ressembler aux personnes dont parle Romains 10:2,3, qui avaient “du zèle pour DIEU, mais non selon la connaissance exacte”; ou aux Samaritains, auxquels Jésus a dit: “Vous adorez, vous, ce que vous ne connaissez pas.” Jean 4:22.

Par conséquent, si nous recherchons l’approbation de DIEU, nous devons nous poser les questions suivantes: Que dit DIEU de lui-même?

Comment, Lui, YaHWeH DIEU veut-il être adoré?

Quels sont ses desseins à lui, et comment peut-on s’y conformer? Si nous possédons une connaissance exacte de la vérité, nous pourrons répondre à ces questions. Alors nous serons en mesure d’adorer DIEU comme il le veut.

“CEUX qui m’honorent, je les honorerai”, dit DIEU (1Samuel 2:30).

Celui qui déclare que DIEU a un égal honore-t-il DIEU ?

Honore-t-il DIEU, celui qui, comme le fait la Nouvelle Encyclopédie catholique, appelle Marie “la mère de Dieu”, la “Médiatrice (...) entre le Créateur et Ses créatures”?

Non, car ces déclarations insultent DIEU !.

Personne n’égale DIEU; et il n’a pas eu de mère, et Jésus n’est pas DIEU. Ce dernier est d'essence divine, OUI ! Comme nous dit la Bible en 1Jean 2:22 "Qui est menteur, sinon celui qui nie que Jésus est le Christ (l'envoyé de DIEU, l'Agneau de DIEU). Celui-là est l'antéchrist, qui nie le Père ET le Fils.

En outre, il n’y a pas de “Médiatrice”, car DIEU a désigné un “seul médiateur entre DIEU et les hommes”, Jésus. 1Timothée 2:5; 1Jean 2:1,2.

Il ne fait pas de doute que la doctrine de la Trinité égare les gens quant à la véritable position de DIEU. Elle les empêche d’avoir une connaissance exacte du Souverain de l’univers, YaHVé DIEU, et de l’adorer comme il le veut.

Or, ainsi que l’a fait observer le théologien Hans Küng, “pourquoi vouloir ajouter quoi que ce soit à l’unité et [à] l’unicité [de Dieu], ce qui ne peut que diluer ou infirmer le concept de l’unité et de l’unicité”?
C’est pourtant ce qu’a fait la doctrine de la Trinité.

Ceux qui croient à la Trinité “n’ont pas jugé bon de garder DIEU dans la connaissance exacte”. (Romains 1:28.) Paul ajoute dans ce verset: “DIEU les a livrés à une mentalité désapprouvée, pour faire ce qui ne convient pas.”

Les versets 29 à 31 énumèrent quelques-unes de ces choses qui ‘ne conviennent pas’: ‘le meurtre, la querelle, l’infidélité aux engagements pris, le manque d’affection naturelle, l’absence de pitié.’ Ces choses sont pratiquées par les religions qui acceptent la Trinité.

Par exemple, les partisans de la Trinité ont souvent persécuté et sont allés jusqu’à tuer ceux qui refusaient de croire à cette doctrine. Plus grave encore: ils ont même tué, au cours des guerres, d’autres trinitaires.

Voilà vraiment une chose qui “ne convient pas”: que des catholiques tuent d’autres catholiques, des orthodoxes d’autres orthodoxes, des protestants d’autres protestants, et tout cela au nom du même Dieu trinitaire!

Pourtant, le message de Jésus est clair: “À ceci tous reconnaîtront que vous êtes mes disciples: si vous avez de l’amour entre vous.” (Jean 13:35).

Les Écritures disent également: “Les enfants de Dieu et les enfants du Diable sont manifestes en ceci: quiconque ne pratique pas la justice n’est pas issu de Dieu, ni celui qui n’aime pas son frère.”

La Bible assimile ceux qui tuent leurs frères dans la foi à “Caïn qui était issu du méchant [Satan] et qui égorgea son frère”. 1Jean 3:10-12.

Ainsi, l’enseignement de doctrines confuses au sujet de DIEU est à l’origine d’actions qui violent ses lois. Oui, ce qui est arrivé au sein de la chrétienté tout entière correspond à l’analyse du théologien danois Søren Kierkegaard: “La chrétienté a mis fin au christianisme sans vraiment s’en rendre compte.”

La condition spirituelle des membres de la chrétienté est conforme à ce qu’a dit l’apôtre Paul: “Ils font profession de connaître Dieu, mais ils le renient par leurs oeuvres, étant abominables, rebelles, et incapables d'aucune bonne oeuvre. ” Tite 1:16.

Bientôt, DIEU va mettre fin à l’actuelle société ou monde méchant et il va demander des comptes à la chrétienté trinitaire. Elle sera jugée coupable, car elle déshonore DIEU par les actions qu’elle commet et les doctrines qu’elle enseigne. (Matthieu 24:14,34; 25:31-34,41,46; Apocalypse.17:1-6,16; 18:1-8,20,24; 19:17-21).

IL N’EST pas possible de transiger avec les vérités divines. Par conséquent, pour adorer DIEU comme il le veut, il faut rejeter la Trinité, le Sabbat, les Dogmes, et toutes les traditions qui sont d’origines humaines mais pas biblique !.

Ces enseignements sont en effet contraires à la Foi et à la doctrine des prophètes, de Jésus, des apôtres et des premiers chrétiens.

Elle est contraire à ce que DIEU dit de lui-même dans sa Parole: “Je suis Dieu, il n’y en a pas d’autre, Dieu, et personne n’est semblable à moi.” Ésaïe 46:9, La Sainte Bible (École Biblique de Jérusalem.1958).

Cela ne sert pas DIEU que de le présenter de façon confuse et mystérieuse. Au contraire, plus la personne et les desseins de DIEU sont flous dans l’esprit des gens, plus l’adversaire de DIEU, Satan le Diable, le ‘dieu de ce monde’, y trouve son intérêt. C’est lui qui est à l’origine des fausses doctrines qui ‘aveuglent l’esprit des incrédules’. (2Corinthiens 4:4.)

Quant aux responsables religieux de la chrétienté, qui veulent maintenir leur emprise sur les foules, trouvent eux aussi leur avantage dans le dogme de la Trinité, car ils font croire aux hommes que seuls les théologiens peuvent le comprendre. Jean 8:44.

La connaissance exacte de DIEU est d’un grand réconfort. Elle nous libère des enseignements qui sont en contradiction avec la Parole de DIEU, et des religions apostates. Aussi le Fils de DIEU, Jésus, a dit: “Vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous libérera.” Jean 8:32.

Si nous honorons en DIEU l’Être suprême qui a un nom YaHWeH, et que nous l’adorions comme il le veut, nous pouvons éviter le jugement qu’il va bientôt faire exécuter sur la chrétienté apostate et espérer bénéficier de sa faveur lorsque cette société ou ce monde disparaîtra:

“Le monde passe et son désir aussi, mais celui qui fait la volonté de Dieu demeure pour toujours.” 1Jean 2:17.

baert.c@gmail.com
Écrivez-moi ! Je suis à votre écoute..et je répondrais à vos questions.
N'hésitez surtout pas !

Et que DIEU, YaHWeH vous bénisse au nom de son Fils Christ-Jésus, dans vos recherches pour LUI plaire et l'adorer comme IL le veut.