IDEL infirmière libérale : un nouvel acte infirmier dans la NGAP

Un nouvel acte infirmier est paru aujourd'hui dans le Journal Officiel : la séance à domicile de surveillance clinique et de prévention à la suite d'une hospitalisation pour épisode de décompensation d’une insuffisance cardiaque ou d’exacerbation d’une broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO). 

IDEL infirmière libérale : Un nouvel acte infirmier dans la NGAP

Ce nouvel acte, soumis à prescription médicale, comprend l’éducation du patient et/ou de son entourage, la vérification de l’observance, le contrôle des constantes cliniques et la participation au dépistage des complications.

La séance, dont le tarif s'élève à 18,27 € (5,8 AMI)  concernera également les programmes PRADO insuffisance cardiaque et BPCO. "Les interventions infirmières dans ce cadre étaient rémunérées AMI4 à titre expérimental, elles passeront à AMI 5,8...Vous pourrez dès demain facturer une séance de surveillance clinique et de prévention auprès des patients en retour d’hospitalisation après décompensation d’une insuffisance cardiaque ou d’une exacerbation de BPCO (Broncho-pneumopathie chronique obstructive)", explique Philippe Tisserand, président de la FNI (Fédération Nationale des Infirmiers), sur son site. 

"C’est une reconnaissance des compétences infirmières qui se traduit sur le plan financier puisque le tarif de 5,8 AMI pour un acte seul est le plus élevé jamais connu dans l’histoire de la nomenclature", ajoute-t-il. 

Le 19 octobre 2016, le directeur général de l’Assurance maladie, Nicolas Revel et les syndicats représentatifs avaient officialisé la création de ce nouvel acte à la NGAP nomenclature générale des actes professionnels

Rédaction ActuSoins (source : FNI)

Pour en savoir plus : texte du 27 Juin 2017, paru au J.O

Pour aller plus loin :

Formation NGAP Nomenclature générale des actes professionnels infirmiers
Formation – Nomenclature et BSI bilan de soins infirmiers
Formation NGAP nomenclature des actes professionnels infirmiers

Formation DPC Prado insuffisance cardiaque et BPCO (2019)
Formation DPC Le patient atteint d’insuffisance cardiaque et/ou BPCO : coordonner son retour à domicile

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Réactions

181 réponses pour “IDEL infirmière libérale : un nouvel acte infirmier dans la NGAP”

  1. NSanchez dit :

    Bonjour,
    enfin on reconnait, à demi-mot, aux infirmiers français la compétence de la surveillance clinique. Jusqu’alors elle était méprisée alors même qu’elle fait partie intégrante de la première compétence des infirmiers (référentiel de formation).
    Reste que cette compétence fait bien partie de notre rôle propre et que malheureusement elle est aujourd’hui soumise à prescription médicale… C’est une nouvelle aberration.
    Cordialement

  2. Yannick DF, je travaille pour le PRADO! je risque d’appeler Delphine si elle a des patients concernés. On pourra la solliciter pour du prado orthopédie aussi. sinon pour l’insuffisance cardiaque, pour l’instant c’est remboursé sur la base del’AMI4(RAD). Bisous

  3. Loïc Mercier dit :

    Carlito Del Bonzin Marion Papo

  4. Pierrick c’est drole on a reçu un papier de la secu qui stipule que c’est AMI 4…

  5. Corinne Lag dit :

    A peu pres la valeur de 2 ais3…. une seance qui va durer 1 h…. pfff… on va s enrichir ! Mais il est vrai que faire deplacer un medecin qui ferait la même chose couterait le double

  6. À quand l’augmentation de la valeur de l’AMI ???? Bientôt 5 ans que cela n’a pas était reçu à la hausse !!!!

  7. Sandrine ce la te concerne bises

  8. Lise Durlot dit :

    Quelle augmentation lol avant c etait ami 4 …. ln passe a 5.8 … waoh on va devir riche yeah

  9. Maryon Amt dit :

    Charlotte Champenois

  10. Alex Andra Far Héritier Celine Laurent Planchard

  11. Amandine Pons Nicolas Turbiez Eric Drapier Delphine Capdeville Marie Cran

  12. Lydie Prds dit :

    C’est ami 4 en facture papier (vive le progrès. Lol)

  13. On augmente une cotation pour un acte que l on fait une fois par an. Ils se foutent de nous. Qu ils nous paient pour notre travail de prévention. D observance des ttt chez ts nos personnes âgées pour éviter les erreurs et les hospitalisations qui coutent un fric monstrueux a la sécu.

  14. Faudra m’expliquer l’intérêt du bordel ?!???!!

  15. Sandrine Mestre Mauret Elizabeth Florian Perot Riviere Corinne Vialleix

  16. David Clerc dit :

    Moi, j’attends avec impatience que l’on puisse coter les préparations de piluliers et surveillance prise de Ttt sans devoir faire 1 tonne de paperasse..
    Parce que nos chers médecins savent très bien que ce sont des soins difficilement cotables mais ils se tranquillisent, tant pis si on galère …
    Idem bandes de contention, collyres, pommades…

  17. Je crois que ce n’est pas facturable avec la carte vitale ?

  18. Philippe Vogt dit :

    Cedric Peter pour leslie

  19. Amélie Girod dit :

    Elisa Perret Charlotte Dorey

  20. Coralie Deschepper Flevotte Flevotte

  21. Khrys EmMa dit :

    La sécu me réclame un indu pour un Prado bpco qu’ elle m a elle même confié. … merci hein

  22. Bon à savoir…!
    Solenne Langlois

  23. Marine Tropin et Denys Christmann

  24. Marielle Coz dit :

    Et alors c’est nul , franchement on en suis combien des bpco ? 5 par an ! c’est le reste qu’il faut réévaluer !

  25. Aurelie Debove, Dorothée Laurent

  26. Enfin !!! Et espérons que les autres pathologies suivent !

  27. Malek Beno dit :

    Oui c vrai qu’ il faut une formation pr la cardio mais pas pr les bpco….
    Et du coup c ami 4 par semn.. ..ensuite ts les 15jr
    Facturation papier a envoyé. …

  28. Amélie Robert Marie-Gabrielle Piraud

  29. Alban Bou dit :

    Stéphane Hellinga

  30. Marie Justine dit :

    Matheus Capoeira Equilibrio

  31. Clem Blanchard Yohann Augusto

  32. Boubouille PJ dit :

    Quelle formation doit on avoir fait pr effectuer cette surveillance ?? Merci

  33. Super . C’est suite à une hospitalisation : Dans le cas d’une patiente avec 2 passages quotidiens , je facture 2 fois ami 5.8 ?

  34. Sandra Giraud dit :

    Isabelle Giraud. Marianne Cuoq

  35. Coco Amrm dit :

    Terry Alfredo Emmanuel Verderame Tatiana Freytag

  36. Karine Germon dit :

    Magali Karoll Emmanuelle

  37. Laurent Raidi dit :

    Il n’y a plus de formation obligatoire !!!

  38. Tiennou Pit dit :

    Marion MRot Benjamin Laville

  39. Vanessa Franceschetti Bernard

  40. Julien Caplier Corinne Ghesquiere Audrey Debove Olivier Vasseur si Ca vous intéresse

  41. Maxime Ferrer dit :

    Portes Maé Sandrine Clavé Hélène Darrimajou Joie

  42. Il est déjà difficile d’avoir la mention « ide à domicile » sur les ordonnances de soins classiques alors « programme d’éducation et de surveillance en post hospitalisation par un infirmer à domicile  » …
    Mais il faut souligner l’effort et la valorisation de notre pratique par ce nouvel acte.
    Du coup Il devient étonnant de ne pas revendiquer la cotation des milliers d’autres actes de préventions et de surveillance liés à d’innombrables autres situations de soins.
    À quand une étude qui prouverait l’efficacité de nos interventions en évaluant la non hospitalisation des patients suivis et sauvés par notre art ? Et donc les économies factuelles que nous faisons à la cpam …

    • Fifi Nagra dit :

      C’est simplement une question de coût : si on faisait « open bar » sur tout ce que l’on fait et sait faire, alors on coûterai bien plus à la collectivité que les 7 milliards d’euros annuels actuels.

      C’est bien dommage, c’est vrai, mais c’est le propre d’un système comme le notre qui « offre » les soins, donc il doit les « rationner »… sinon, impossible d’avoir 120 000 IDEL à financer. Ou alors on reviens a un système de salariat ou de quotas…pour lesquels d’autres problèmes bien plus ennuyeux arrivent.

    • Je ne suis pas d’accord, je défend l’idée d’une rétribution juste, pragmatique, adaptée. Le mérite se mesure au respect, ala reconnaissance et à la rétribution. On en est loin. Je ne demande pas plus mais mieux !
      Votre vision est sectaire et dévalorisante. La même logique de rétribution doit été appliquée aux soignants quelque soit sa qualification.
      Pourquoi le médecin doit être payé à la consultation quand nous devrions accepter l’idée d’un forfait ?
      C’est bien la valorisation de notre qualification qu’il faut rémunéré et non le nombre de piqures à la chaîne …
      Cela passe par l’évaluation de la plus value effective de notre travail, une véritable étude d’impact doit être réalisée.
      C’est la qualité qu’il faut rémunérée pas la quantité !
      Cela change toute notre démanche de travail et notre philosophie de soins ce qui poussera notre pratique quotidienne à être encore plus efficace pour la population.
      De plus Si nous laissons le curseur de rémunération à la valeur quantitative alors il est très facile pour la cpam de nous couper les vivres et de nous remplacer.
      Il faut voir nos interventions comme un traitement à part entière, en tant que tels il contribue au soin et mérite un minimum de reconnaissance. Bien moins chers que les traitements médicamenteux qui coûtent des milliards d’euros chaque année.
      Nous n’avons pas le lobbying des labo alors organisons nous et donnons au ministère des études concrètes et scientifiques pour prouver l’intérêt financier de nos interventions.
      Puisqu’ils ne parlent que chiffre, apprenons à parler comme l’administration plutôt que de s’enfermer dans nos arguments et notre langage de soignants qui leur est totalement étranger.
      Rationner un soin c’est être pragmatique, c’est prendre le meilleur rapport qualité / prix… à nous de prouver que nous sommes bien meilleurs et plus rentable en préventif que les pilules curatives et les hospitalisations trop souvent évitables !

    • Tony Druard dit :

      Fifi…on est bien d accord que si l industrie du médicament et des dispositifs médicaux étaient bien plus contrôlés et mis en concurrence, ainsi que les transports ambulanciers qui ne font que du couché même pour une rééducation de genoux, si les pharmacies vendaient le médicaments à l unité…en somme on pourrait élargir les compétences des idels leur tarifications tout en augmentant le prix de la consultation médicale afin que les patients soient mieux soignés suivis et entourés tout en faisant des economies…

      Quand tu vois que les injections pour la DMLA sont facturer en moyenne 1300 euros le produit alors que ca vaut même pas 30 euros…et que c est fait en 2 minutes !!!!! Enfin y a plein de trucs où l on peut pester et revoir les choses…mais quand les grands sont main dans la main…les petits sont écrasés…

      Exemple flagrant….pkoi notre ministre veut élargir à 13 le nombre de vaccins obligatoire???? Entre temps l infanrix (hexavalent) est passé de 7 à 40 euros !!!!!!!!!

      Il faudrait un vrai infirmier de terrain à la tête du ministère de la santé… en 1 an je te le rebouche le trou de la sécu….?

    • Fifi Nagra dit :

      Cher Sébastien, très pertinent ce que tu dis. Il serait intéressant d’en discuter plus en détail.

      Comme tu dis, il faut valoriser la qualité et mieux la rémunérer. Raison pour laquelle il faut la mesurer.
      Ce que nous savons pas bien faire. Or aujourd’hui, l’Etat souhaite justement réguler tout cela avec ses critères.

      Je t’encourage pour cela à assister à une formation sur la démarche qualité Qualidel ou venir discuter avec tes délégués syndicaux par exemple lors d’une reunion Rencontres & Echanges de tous les points – nombreux et intéressants – que tu as soulevés.

    • Tony Druard dit :

      Pourquoi tu ris !?!? Lol

    • Fifi Nagra dit :

      Tony Druard parce que si tu es infirmier au Ministère de la Santé on est sortis du pétrin…et c’est pour cette raison que la place n’est pas – encore – dispo pour toi ?

    • Tony Druard dit :

      Sébastien Langlois tu as tout dit…il n y a aucune étude économique en terme d économie pure par rapport à nos interventions… c est sur quoi nous devrions nous lancer afin de convaincre le législateur avec ce qu’il aime…les chiffres…

    • Tony Druard dit :

      Elle sera mon cher…elle le sera….lol

    • Fifi Nagra dit :

      Tony, ta CPAM dispose de chiffres : le nombre de patients dont tu t’occupes par an, leur âge, ce que tu leur facture et ce que tu coûtes globalement …et effectivement nous ne sommes pas en mesure de montrer ce que l’on évite comme dépenses à la collectivité.

      C’est notre faiblesse.
      Pourtant quand on dispose de chiffres, on nous écoute mieux : La FNI avait commandé une étude sur la différence de prise en charge des perfs entre les IDEL et l’HAD…ça a fait l’effet d’une bombe.

      Mais d’un autre côté, nos amis technocrates, voient aussi que nous nous occupons de personnes âgées…qui coûtent aussi cher en pensions de retraite.

      C’est cynique, certes…mais c’est le calcul qui est fait. Le savoir et le comprendre expliquent beaucoup de choses. Et cela doit répondre aussi à de nombreux points que tu as cités.

      Ton intérêt, celui du patient et celui des comptes publics …ne sont pas tous alignés ?

    • Fifi Nagra la je vous rejoints sur les finances publiques.
      Mais en partant du principe de la solidarité nationale, il me semble que le grand public ayant cotisé toute sa vie à droit au chapitre.
      Il nous faut donc renseigner la population et avertir que leurs charges obligatoires ne servent plus qu’à une prise en charge minimale non pas pour des raisons scientifiques mais économiques car en parallèle la rentabilité bat des records au niveau des privés.
      Il faut participer au réveil public auprès de nos concitoyens.
      Sinon ces prélèvements pseudo solidaires mais clairement obligatoires deviennent une belle arnaque !
      Tout cela passe par une revalorisation de notre savoir et de notre discours et donc par une attitude bien plus professionnelle de notre part que ce que l’on peut constater au quotidien.
      Nous devons être autant respecter que d’autres acteurs de soins et cesser d’être juste un opérateur ou « au service de ».
      Notre profession est banalisée et méprisée par le manque de corporatisme et de solidarité professionnelle et par le comportement souvent trop amateur de certains IDE.
      Donc arrêtons de vouloir rentabiliser notre rôle sur prescriptions (dans le nier) mais il faut promouvoir et développer bien bien davantage de notre propre. Notre rôle propre pourrait prendre beaucoup plus de valeur, avec un droit de prescription contrôlé, légiféré…
      Pourquoi ne pas défendre l’idée de module avec des spécialités, des concours, des stages …
      Seul notre rôle sur prescription est considéré comme sérieux ! Ce qui est réducteur et nous réduit à un rôle d’exécutant !

    • Fifi Nagra dit :

      Sébastien je pense que vu la teneur de votre discours, plein de lucidité et de défis lancés à la profession, vous devriez vous rapprocher de la Fédération Nationale des Infirmiers pour travailler avec eux, dans un premier temps au niveau régional, sur ces sujets.

    • Caro Roux dit :

      je suis d accord,tant qu on ne sera pas mieux rémunéré pour ce qu on fait tous les jours…. et tant qu on doit compenser par le nombre de soins et de malades cette insuffisance de reconnaissance.. on avancera pas… et je dois dire que ces coefficients et ces tarifs qu ils nous inventent… c est à rire…. 5,8AMI1…. pourquoi pas log10 ou exp30? Bientot nous devrons avoir fait maths sup pr facturer….

    • Caro Roux dit :

      Sébastien Langlois peut être que les hospitalisations sont voulues….. il faut bien que l hôpital remplisse ses lits….

    • Fifi Nagra dit :

      Caro Roux ils utilisent ces cotations comme l’AMI4,1 ou 5,8 car elles sont uniques dans la NGAP, c’est une façon pour eux de savoir si tu « abuse des bonnes choses » avec leurs outils statistiques, c’est plus facile de faire une requête sur les AMI4,1 que d’envoyer un enquêteur regarder ce qui se passe.

      Raison de plus de bien se former à la NGAP..

    • Caro Roux dit :

      ok donc si je comprends bien ,notre travail est évalué sur l’utilisation abusive de certaines lettres cles ….par contre ne l’est pas ds l’autre sens…autrement dit le travail effectif que nous effectuons ts les jours et qui fait réaliser des économies énormes aux caisses….et tt le monde le sait!!

    • Fifi Nagra dit :

      Caro Roux tu as tout compris…mais à l’envers ! ?

      Et tu sais pourquoi ? Parce que tu es persuadée – et je te comprends – que tu fais réaliser des économies (éviter les hospitalisations, les décès etc) – mais penses-tu que c’est vraiment l’objectif des assurances ?

      Une assurance souhaite dépenser le moins. Elle est peut-être là la prise de conscience que nous devons avoir.

      Tes intérêts, ceux du patient et ceux de l’Etat ne sont pas alignés. Le comprendre est déjà un grand pas pour savoir ce qui se passe en coulisses.

    • Caro Roux dit :

      ok une assurance veut dépenser le moins possible mais il lui faut aussi des adhérents!!

    • Tony Druard dit :

      Fifi c est réfutable…
      Par contre on a bien compris que les assurances veulent le beurre l argent du beurre la crémière et son chien…
      Ils veulent depenser le moins possible en ayant le plus d adhérents…histoire de sous.

      Ils font de la santé publique, une logique financière de profit et non une logique mathématique qualitative . De là en découle l abus, la diminution de la qualité des soins et le burn out.
      Si on en venait à une simple logique mathématique…tout en optimisant la qualité du soin, cela ne frusterait en rien l économie réelle ! La marge serait juste moins grande…mais tout le monde s y retrouverait à moyen terme. L assureur le patient et le professionnel. Et l economie de masse serait à long terme exponentielle…

    • Fifi Nagra dit :

      Tony Druard c’est sûr. Mais il te manque une donnée essentielle en santé lorsqu’elle est prise en charge par la collectivité : l’offre crée le besoin.

      En clair, en installant un médecin ou un IDEL quelque part, les dépensent flambent car les patients pensent « c’est gratuit, j’y ai droit »…

      D’où la tentation pour l’Etat de réguler l’offre.

      Ce texte, issu de l’excellente revue Avenir & Santé, l’explique bien :

    • Caro Roux dit :

      aie….le renoncement aux soins est déjà là….

  43. En fait, ce n’est rien d’autre qu’un AIS 4 hebdomadaire majoré de 7,67 euros pendant 6 mois maximum, et soumis à conditions.

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