Real Madrid : Karim Benzema juge le rival PSG

Par Khaled Karouri
2 min.
PSG Karim Benzema @Maxppp

Le Real Madrid se rend au Parc des Princes ce mercredi soir pour y défier le Paris Saint-Germain. Une affiche phare de cette troisième journée de phase de poules de la Ligue des Champions, pour laquelle Karim Benzema est encore incertain. Mais l'attaquant français ne désespère pas d'être de la partie, pour affronter une équipe qu'il tient en haute estime.

Ce mercredi soir, le Paris Saint-Germain affronte un adversaire de taille. Car s'il a déjà réussi à battre le FC Barcelone ou bien encore à éliminer Chelsea au cours des dernières années, défier le Real Madrid reste un Everest pour tout footballeur, l'aura du club merengue n'ayant que peu d'égal. Cette rencontre est donc dans toutes les têtes dans les rangs franciliens, mais aussi dans le camp madrilène, preuve que le club de la capitale a franchi un palier. D'ailleurs, Karim Benzema ne s'en cache pas, il aspire à être présent pour défier les Rouge-et-Bleu.

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Blessé face à l'Arménie au cours du dernier rassemblement de l'équipe de France, celui qui reste sur un doublé avec les Bleus compte bien tout mettre en œuvre pour défier la meilleure équipe française du moment : « Je fais tout pour me soigner afin de reprendre au plus vite. Je travaille dur pour pouvoir jouer ce match à Paris mercredi. Mais je ne veux pas précipiter les choses. On sait que ça va être difficile contre eux. Le PSG a maintenant l’habitude de ce genre de rendez-vous et élève son niveau en Ligue des champions. Mais le PSG ou un autre, c’est pareil pour nous; on veut terminer premier du groupe », indique-t-il au Journal Du Dimanche. Et si Benzema a envie d'affronter Zlatan Ibrahimovic et ses partenaires, c'est qu'il estime la formation francilienne capable de soulever la Coupe aux grandes oreilles :

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« Il peut la gagner… comme d’autres. C’est une équipe qui monte en puissance et se rapproche des meilleures. Jusqu’ici, ils sont tombés sur plus forts qu’eux. Mais c’est bien d’avoir une équipe française qui embête les grands d’Europe pour en devenir un. En 2006, avec l’OL, on avait aussi une grosse équipe. Mais à Milan (quart de finale retour, 3-1, Ndlr), il nous a manqué cette petite touche qu’ont les grandes équipes. À partir des quarts, techniquement et mentalement, tout le monde se vaut. Ça se joue sur des détails : une faute, un coup de pied arrêté, une occasion loupée… Quand on gagne en 2014 contre l’Atletico (4-1), on égalise sur un corner à la dernière minute (Ramos, 93e, Ndlr). C’est de la chance ». Au PSG de savoir provoquer cette chance.

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