Chronique Article réservé à nos abonnés « Comme Macron, Poutine et Trump ont choisi la position verticale pour leurs vœux. Mais la comparaison s’arrête là »
Prononcés depuis Paris, Moscou, Washington, Berlin, Londres ou Pékin, les vœux pour 2019 des grands dirigeants n’avaient décidément pas la même tonalité à l’heure où le monde bascule, souligne dans sa chronique Alain Salles, chef du service International du « Monde ».