Lorsqu’on pénètre dans l’appartement de Ludivine Loukacheff, on remarque rapidement que les murs viennent d’être fraîchement repeints. « C’est pour cacher la misère », assure la jeune femme. Pour preuve, la locataire nous entraîne dans sa chambre, là où le mur est encore brut et recouvert de taches noires. «
A Sissonne, ils vivent avec de la moisissure