Armorial et nobiliaire de Savoie

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L'armorial et nobiliaire de Savoie recense les familles nobles et notables qui ont possédé des fiefs sur l'ancien territoire historique de la Savoie (comté puis duché de Savoie), ainsi que leurs armoiries, sous forme de figures et de blasonnements, et leurs devises. En héraldique, un armorial est un recueil d'armoiries. Certains sont illustrés, d'autres se limitent à donner une liste de blasonnements.

Le titre de l'article reprend en partie le titre Armorial et nobiliaire de l'ancien duché de Savoie du comte Amédée de Foras, et continué par le comte François-Clément de Mareschal de Luciane, 5 volumes publiés entre 1863 et 1938. Ces travaux répertorient 263 familles.

Cet armorial renvoie également en fin de page à ceux des communes des deux départements savoyards, de la Savoie et de la Haute-Savoie.

La Maison de Savoie[modifier | modifier le code]

Branche principale de la Maison de Savoie[modifier | modifier le code]

Cette page donne les armoiries (figures et blasonnements) des princes de la maison de Savoie.

Blason Nom de famille, blasonnement et devise Périodes Possessions
Comte en Maurienne, puis de Savoie

D'or à l'aigle de sable. (Savoie ancien)[1]

Premières armes des vicaires impériaux de Lombardie desquels dépendait la Savoie. Ce sont les armes de l'Empereur telles qu'on les retrouve meublant le blason de Maurienne[1].

Devise : FERT

Apparu vers le Xe siècle. Comtes de Maurienne (1033), de Savoie, du Val d'Aoste (1024, 1038), du Bugey, du Chablais (1038), de Nyon (1018) de Sermorens (1038), du Viennois (1003) et ainsi que de la Tarentaise (1038)[2]
Comtes puis ducs de Savoie

De gueules à la croix d'argent.[1]

Premier usage sur un sceau datant de 1143, comportant une croix blanche sur fond de gueules. L'usage définitif de la Croix de Savoie se fait avec le comte Amédée V au début du XIVe siècle.

Devise : custodibus istis (traduction la plus vraisemblable : « À ces gardiens-là »), associée à ce blason. C'est également la devise de Chambéry[3]

Comte, puis duc de Savoie (1416), prince de Piémont (1416), roi de Sicile (1713)

Branches cadettes de la Maison de Savoie[modifier | modifier le code]

Blason Nom de famille, blasonnement et devise Périodes Possessions
Savoie-Nemours

Écartelé, en 1 et 4 parti au 1 de gueules au cheval effrayé d'argent, au 2 fascé d'or et de sable de huit pièces au cancrelin de sinople posée en bande brochant sur le tout et enté en pointe d'argent à trois bouterolles au bout d'épée faites en croissant de gueules mal ordonnées, en 2 d'argent semé de billettes de sable au lion de même brochant sur le tout, en 3 de sable au lion d'argent ; sur le tout de gueules à la croix d'argent à la bordure endentée d'argent.[4]

Apparu au XVIe siècle. Comte, puis Duc de Genève (1514-1659), ducs de Nemours (1528-1659), comte d'Aumale (1652-1659).
Savoie-Piémont

De gueules à la croix d'argent brisé d'un lambel d'azur en chef.

Issus de Thomas II (1199 † 1259), fils de Thomas Ier. Branche éteinte en 1418. Comtes en Piémont.

Tableau des familles nobles[modifier | modifier le code]

Cette section présente une partie des familles les plus importantes originaires du comté, puis duché de Savoie, issues de la noblesse d'extraction (avant le XVe siècle) ou de la noblesse de robe. Toutefois, selon les mouvements de l'histoire, des familles originaires d'autres territoires (comtés de Genève, Nice, Valais, pays de Vaud, du versant italien ou encore d'ailleurs) ont offert leurs services à la maison de Savoie et se sont installées dans le comté.

Selon les historiens Léon Menabrea (1804-1857)[5] ou Bernard Demotz[6], on peut ainsi distinguer, courant le Moyen Âge, plusieurs ordres dans la hiérarchie des familles féodales constituée d'une soixantaine de familles, suivis de leurs bannerets.

À ces principales familles féodales, il faut compter les seigneurs ecclésiastiques, souvent issus de ces mêmes familles importantes, parmi lesquelles on retient les évêques puis archevêques-comtes de Tarentaise, les évêques de Genève, les évêques de Maurienne.

Pour Louis Comby, on compterait pour cette période plus de 250 familles aristocratiques féodales en Savoie[8]. À partir du XVe siècle, le duché de Savoie compte environ 1 420 familles nobles, dont le quart était domicilié à Chambéry[9].

A[modifier | modifier le code]

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Blason Nom de famille, blasonnement et devise Périodes Origines et possessions
losangé de gueules et d'argent Famille d'Albier, d'Alby ou d'Albiez

Losangé de gueules et d'argent et/ou De gueules à la bande d'or chargée d'un vol (deux ailes), alias d'un demi-vol (une aile) de sable.[Foras 1],[10]

Deux autres familles portant ce patronyme, probablement de souche commune[Foras 1] :

  • Albier de Maurienne
    • Albier de la Croix de la Rochette
    • Dalbier (?) en Maurienne
  • Albier, faisant preuves de noblesse au XVIIIe siècle
Chartes du XIIe au XVe siècle[10] — Éteinte au XVIIIe siècle[Foras 1] Présente en Maurienne, Bauges-Alby et Genevois. Seigneurs de La Croix (La Croix-de-la-Rochette-Maurienne), Le Châtelard (Bauges)[11], Montpon (Alby-Albanais)[11].
Famille de L'Alée, La Lée), L'Allée ou Lalée

D'argent, à la bande d'azur accompagnée de deux étoiles du même, au chef de gueules chargé d'un croissant d'or. (autres variantes)[Foras 2].

Devise : Beatae Virginis letae[réf. nécessaire]

v. le XVe siècle — Preuves de noblesse en 1723[Foras 2] Famille originaire d'Annecy (Genevois)[Foras 2]. Seigneurs et barons (XVIIe siècle)[12] de la Tournette (Tornette) et de Songy (Saint-Sylvestre - Albanais), coseigneurs de La Val des Clets et de Manigod (Genevois), seigneurs des Molettes (Savoie)[Foras 2]. Châtelains au XVIe siècle, en Genevois.
Famille d'Alexandry d'Orengiani (anciennement Orengiani)

Écartelé : aux 1 et 4, d'azur, à trois soleils d'or ; aux 2 et 3, parti d'or et d'azur, à l'oranger de sinople fruité d'or.[Foras 3],[CEA 1].

Foras indique n'avoir aucune information concernant le passage du nom Orengiani après celui d'Alessandri, ni pourquoi leurs armes ont été également inversées[Foras 3].

Couronne de baron
Supports : Deux lions lampassés de gueules.
Cimier : Une nymphe de carnation, tenant de la dextre une orange d'or, et de la senestre une banderole flottante sur laquelle est écrit : Pulcriori detur.
Devise : Tien il mezzo[Foras 3],[CEA 1].

Première mention au XIe siècle — Filiation prouvée depuis le XVIe siècle — Preuves de noblesse en 1723[Foras 3],[CEA 1]. Originaire d'Ivrée, en Piémont[Foras 3],[CEA 1]. Mariage d'un Orengiani avec l'héritière des Alexandry, au XVIe siècle[Foras 3],[CEA 1]. Preuves de noblesses du à la Chambre des comptes de Savoie[Foras 3],[CEA 1].
Maison d'Allinges

De gueules, à la croix d'or.[Foras 4],[Borel 1]

Devise : Sans varier[Foras 4]

Apparu vers le XIe siècle — Éteinte au XIXe siècle (branche Allinges-Coudrée dont le dernier représentant meurt en 1840)[Foras 4]. Originaire du Chablais. Jean-Louis Grillet, reprenant les cartulaires des abbayes de Saint-Maurice et d'Aulps, indique que les chefs de familles étaient appelés « Princes »[13]. Marquis de Coudrée, de Lullin, de Ternier, de Seyssel-La Chambre ; comtes de Langin, de La Valdisère, de L'Hueuille, d'Apremont, de Montréal ; Vicomtes de Tarentaise ; Barons de Larringes, de Montfort, de Montfalcon, etc.[Foras 4]
Famille Amblard de Chignin

D'argent, au lion de gueules, à une fasce d'azur brochant sur le tout, chargée de trois roses d'or.[Foras 5]

XIIIe siècle — XVIe siècle[14]. Chevalier. Noble mais absence de titres[Foras 5]. Se réclamant descendre de la famille de Chignin (sans preuves)[Foras 5].
Famille d'Ameysin

D'argent à la bande de gueules chargée de trois coquilles d'or.[Foras 6],[15]

Mentionnée au XIIe siècle ou XIIIe siècle[Foras 6]. Chevalier. Seigneur d'Ameysin, Le Villard (Comté de Savoie). Pierre d'Ameysin est bailli de Faucigny (1355-1370)[16].
Famille d'Andrevet

D'argent, à trois fasces de sable, à la bande de gueules brochant sur le tout.[Foras 7],[Borel 2]

Cimier un lévrier de sable colleté d'argent.
Supports deux lévriers de sable colletés d'argent.

Autre branche
  • Andrevet de Corsant
Anoblie au XIVe siècle — Éteinte au XVIe siècle[Foras 7]. Famille originaire de Montmélian (Comté de Savoie), installée en Bresse (Guichenon). Seigneurs puis barons (XVIe siècle) de Corsant (Pont-de-Veyle) ; seigneurs de Beaurepaire, Montfalcon, d'Albens, Saint-Julien[Foras 7].
Famille d'Angeville, d'Angeville de Beaumont

De sinople à deux fasces ondées d'argent.[Foras 8],[CEA 2]

Devise : In his renascimur omnes (Nous renaissons tous en eux)[Foras 8],[CEA 2]

Etablie en Genevois au XVe siècle[Foras 8] — Branche du Bugey (XVe siècle)[CEA 2]. Originaire du Bassigny (Champagne)[CEA 2], établi à La Roche (1440)[17]. Seigneurs de/du Mestral, de Chesnay (Chenex), du Vidomnat des Bornes, d'Espagny, de Doudens et de Lambert ; barons de Ternier (1611)[18], de Lornay, d'Allonsier (1700) et de Villy-le-Pelloux (1700) (Savoie) ; Seigneurs de Montveran, de Culoz (1698), de Landaise (1698), et comtes de Lompnes (1657), en France[Foras 8].
Famille d'Arenthon

Bandé d'argent et de gueules.[Foras 9],[19]

Probablement issue de la Maison de Faucigny, voire des Faucigny-Lucinge[Foras 9],[20]. Prend le nom d'Arenthon d'Alex au XVe siècle, à la suite du mariage de Marguerite d'Alex et de Pierre d'Arenthon.

Branche
  • Arenthon de Veigy
Apparu vers le XIIIe siècle — Éteinte Chevalier, puis baron d'Arenthon (Faucigny)[Foras 9]. Seigneurs d'Alex, Châtillon (Terreaux) (1530)[21], Ferrières, Monterre (?) ; coseigneurs de La Val des Clets et de Manigod (Comté de Genève)[Foras 9].
d'argent au lion de sable armé lampassé de gueules Famille d'Arlod, d'Arloz, d'Arlos ou encore d'Arlo (en latin de Arlosio, de Arloz, de Arlodo)

D'argent au lion de sable, armé et lampassé de gueules ou de sable au lion d'argent.[Foras 10],[CEA 3]

Support & cimier : Trois taureaux[CEA 3]
Devise : Nobilis, miles, potens[CEA 3]

Apparu vers le XIIe siècle. Famille éteinte en Savoie, nom relevé en France par la famille Bouillet[Foras 10]. Château de Mons (Comté de Genève) (Foras)[Foras 10] ou originaire du Bugey (Guichenon, repris par Chaix d'Est-Ange)[CEA 3]. Seigneur d'Arlod, Mons (Comté de Genève)[Foras 10]. Possessions en Semine, en Michaille, dans le Chablais et dans les bailliages de Ternier et Gaillard[Foras 10].
Famille d'Arvillard, Arvillars (d') ou encore Altvillars (d')

D'or à l'aigle éployée d'azur, couronnée, becquée et membrée de gueules.[Foras 11]

Devise : Nube Altius (Au-dessus des nuages)[Foras 11]

Apparue vers XIIe siècle (selon Foras)[Foras 11], mais dont le premier membre de la famille est mentionnée en 1058[Note 1]. Audise, dernière héritière des nobles d'Arvillard, épouse en 1341 Humbert, bâtard du comte Aymon de Savoie[Foras 11],[23], donnant naissance à la branche des Savoie-Arvillard (1341-1628), puis achat par la famille de Milliet, en 1628[24]. Installé en vallée du Gelon et les vallées du Bens et du Bréda (Comté de Savoie). Seigneur d'Arvillard et de la Bastie-d'Arvillard[Foras 11]. Une branche cadette semble subsister en Dauphiné[Foras 11].
Famille d'Avalon

De gueules, à l'aigle bicéphale d'argent.[Foras 12]

Apparu vers le XIe siècle[Foras 12] Seigneur de Saint-Pierre-sur-Isère ou Sous-Conflens, de Blay, coseigneur de la vallée de Bozel (Tarentaise)[Foras 12]. Nombreux domaines sur la rive gauche de l'Isère jusqu'en Graisivaudan[25].

Ba[modifier | modifier le code]

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Blason Nom de famille, blasonnement et devise Périodes Possessions
Famille de Ballaison, ou Bal(l)aison (de), Bal(l)eyson (de) ou Bal(l)ayson (de) ou Bal(l)eison (de)

D'hermine à une bande de gueules.[Foras 13],[Borel 2]

Citée pour la première fois en 1138[26] — Éteinte au XVIe siècle. Chevalier. Baron d'Hermance et de Beauregard (Chens-sur-Léman), seigneur d'un puis des deux châteaux ainsi que du mandement de Balleyson, du Vidomne des Bornes, seigneur d'Avanchy, de Boisy, de Chavannex, de Loisin, de Saxel (Chablais)[Foras 13].
Famille de La Balme et/ou Apremont, puis La Balme d'Apremont

Fascé d'or et de sable ou Fascé d'or et de sable de 6 pièces., Bandé d'or et d'azur de 6 pièces., d'or à 2 fasces de sable. (Besson)[Foras 14] ou encore De gueules à la croix d'argent. (Guichenon), alaisée ou pleine.[Foras 14]

Les historiens locaux considèrent que les La Balme et les Apremont seraient une même famille[Note 2], qui prendra le nom de La Balme d'Apremont (à partir du XVe siècle).

Mention fin du Xe siècle[28] / début du XIe siècle — Éteinte au XVe siècle[Foras 14]. Originaire d'Apremont (Combe de Savoie-Chartreuse). Un Richard Vacher ou d'Apremont (cité en 1132) serait à l'origine de la branche noble des La Balme d'Apremont[27],[29]. Seigneur d'Apremont, Avressieux (1323-1345, 1402)[30], des Marches, Entremont-le-Vieux (Savoie Propre), Silans (Corbonod). Les bien passent ensuite à différentes familles : les Rivoire, les Montmayeur[Foras 14].
Famille de La Balme

D'or à la bande d'azur.[Foras 15]

Branches cadettes
  • La Balme de la Molière : D'azur à trois bandes d'or.[Foras 15]
Apparu vers la fin du XIe siècle[Foras 15]. Originaire du Bugey, dont deux rameaux installés en Savoie. Seigneurs des Terreaux (Valromey), de Longefan et de la Molière (Savoie)[Foras 15].
Famille de La Balme (de Balmâ)

De gueules à la fasce d'or accompagnée en chef d'une étoile de même et d'un oiseau d'argent en pointe.[Foras 16]

Première mention en 1233[31] — Éteinte vers 1646[Foras 16]. Originaire de la Maurienne, village de Montvernier.
Famille de La Baume, La Baume de Montrevel (de)

D’or, à la bande vivrée d’azur.[CEA 4],[Jougla 1].

Cimier : Un cygne d'argent, ailé de sable.[CEA 4],[Jougla 1]
Devise : L'honneur guide mes pas.[CEA 4],[Jougla 1]

Premières mentions au XIIe siècle — Filiation XIVe siècle[Jougla 1] — Éteinte (1794) par décapitation du dernier représentant[CEA 4]. Originaire de la Bresse. Seigneur puis comte (1418) puis marquis de Montrevel, marquis de Saint-Martin (1584)[Jougla 1]. Baron de Cusy. Seigneur de Mont-Saint-Sorlin.
Famille de Bavoz, Bavoux (en latin : bavisilien)

De sable au mufle de lion d'argent.[Foras 17]

Apparue au XVe siècle — Anoblie (XVIIe siècle) — Éteinte en 1775[Foras 17]. Originaire de Billième (Bugey savoyard). Seigneur de Billième, Oncieu, Les Terraux (Bugey)[Foras 17]. Domaines à Ruffieu et Serrières (Comté de Savoie).

Be à By[modifier | modifier le code]

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Blason Nom de famille, blasonnement et devise Périodes Possessions
Famille de Beaufort

De gueules au lion d'argent. (armé et lampassé d'azur)[Foras 18],[32]

Branche cadette
  • Beaufort de Villard-Chabot
Mentionnée au Xe siècle — Filiation XIVe siècle
— Éteinte au XVIIIe siècle[Foras 18].
Originaire de Beaufort (Beaufortain). Vicomte de Tarentaise et seigneur de la Val-d'Isère (1346 en échange de la terre de Beaufort), barons du Bois, Chevron, Montailleur. Seigneurs en Albanais, Beaufortain, Genevois, Savoie et Tarentaise[Foras 18].
Famille de Bellegarde

Palé d'argent et de sable de six pièces, à la fasce de gueules, chargée de trois casques d'or.[Foras 19],[CEA 5]

Timbre : « un heaulme en porfil duquel issit un bras armé de son brassal tenant une lance à la main avec la devise : NON VI SED VIRTUTE ET ARMIS. »[Foras 19],[CEA 5].

Branche cadette
  • Bellegarde-Buffavent
Mentionnée vers le XIIIe siècle — Éteinte au XVIIIe siècle — Branche naturelle[CEA 5] Originaire de Magland (Faucigny). Seigneur de Brens, Buffavent, Disonce, Foncenex-Veigy, Miribel, Montagny, Pontier, Praz, Pressin, Saint-Cergues, Saint Disdille, Thorens, Vigny, Vongy[Foras 19].
Famille de Belletruche

Ecartelé: aux 1 et 4, d'argent, à deux fasces d'azur; aux 2 et 3, de gueules plain.[Foras 20]

Mentionnée vers le XIVe siècle — Éteinte au XVIe siècle[Foras 20] Originaire probablement de Chambéry[Foras 20]. Possessions en Tarentaise et Pays de Vaud[Foras 20].
Famille de Bertrand (Bertrandi ou Beltrandi) ou Bertrand de La Pérouse

D'or, à un lion de sable, armé, couronné et lampassé de gueules.[Foras 21],[Borel 3]

Devise : Sapient et confident

Mentionnée vers le XIIIe siècle[Foras 21]. Originaire probablement de Suse (Val de Suse-Piémont). Seigneurs en Piémont, Savoie, Bresse et Bugey[Foras 21].
Famille de Blonay

De sable, semé de croisettes d'argent, au lion d'or sur le tout.[Foras 22],[CEA 6],[Borel 4]

Branche chablaisienne : De sable, au lion d'or armé et lampassé de gueules.[Foras 22],[CEA 6].

Couronnes de baron, de marquis ou de comte[Foras 22]

Supports : deux griffons ou deux lions d'orCimier : un griffon issant d'or, ou un lion ailé d'or[Foras 22],[CEA 6].
Devises : "Pro Aris et Focis"[Foras 22],[CEA 6] ou "Crois sans fin" ou "Toutes servir, toutes honorer, pour l'amour d'une" ou encore "Pur comme l'or, prompt comme l'éclair (alias comme l'aigle)"[Foras 22].
Cri : Blonay ![Foras 22],[CEA 6]

Deux branches[Foras 22]
  • branche aînée en pays de Vaud (Suisse), réformée, résidente sur la rive vaudoise du Léman, résident au château de Blonay, lieu d'origine de la famille.
  • branche cadette établie en Savoie, catholique, résidente sur la rive savoyarde, résident château de Saint-Paul, puis au château de Maxilly.
Apparu au XIIe siècle[33]. Baron de Blonay (Vaud). Possessions sur les deux rives du Léman. Marquis d'Hermance (1756) ; comte de Rossillon ; baron d'Avise, de Blonay, du Châtelardetc.[Foras 22]
Famille de Boëge

Écartelé d'or et d'azur. ou D'or, écartelé d'azur.[Foras 23]

Devise : "nescit labi virtus"[Foras 23]

Apparu vers le XIe siècle, éteinte vers le XVe siècle[34]. Seigneurs en Faucigny[Foras 23].
Famille de Boigne, anciennement Le Borgne (Le Borgne de Boigne)

D'azur, au lion d'or, plantant une épée d'argent au sommet d'une montagne au naturel, mouvant de la pointe.[Foras 24],[Jougla 2]

Couronne de comte
Devise : Patientia omnia vincit[Foras 24]

Anoblie comte en 1816[Foras 24]. Famille originaire de Picardie, installée en Savoie au début du XVIIIe siècle[Foras 24]. Benoît de Boigne créé comte héréditaire par le Roi de Sardaigne en 1816[Foras 24],[Jougla 2].
d'or à la croix de sable et coquilles Famille Bonivard (latin Bonivardi)

D'or à la croix de sable, chargée de cinq coquilles d'argent.[Foras 25]

Accède au rang de la noblesse au cours du XIIIe siècle ou du XIVe siècle[Foras 25] Famille bourgeoise, originaire de Chambéry (Comté de Savoie)[Foras 25]. Seigneurs en Savoie, Bugey et Pays de Gex[Foras 25].
Famille Bouvier, Bovier ou Bouvier d'Yvoire

De gueules à la fasce d'argent accompagnée de trois écussons du même posés 2 et 1.[Foras 26],[35]

Devise : Festina lente (hâte-toi lentement)[Foras 26],[35]

Mentionnée au XIVe siècle[35] — Anobli vers le XVIIe siècle[Foras 26]. Originaire de Lompnes, en Bugey[35]. Barons d'Yvoire (1655, confirmé en 1772)[Foras 26].
Famille de Bracorens, Bracorens de Savoiroux ou encore Brascorens

D'azur, au pal d'or, chargé de trois coquilles de sable.[Foras 27]

Cimier : un bras armé brandissant une épée
Devise : Leniter et opere sado

Anoblissement par LP (1590)[Foras 27]. Seigneurs de Boëge, de Rochefort et de Salins Faucigny. Vicomte de Maurienne, Comte de Salins ; seigneur de Bracorens, Saint-Laurent-de-la-Côte, de Savoiroux[Foras 27].
d'argent à l'aigle de gueules Famille de Briançon (parfois Brianson)

D'argent, à l'aigle de gueules membré et becqué d'azur.[36]

Joseph Garin indique que « l'aigle a été pris aux empereurs d'Allemagne [...] dont les Briançon avaient reçu le titre de vicomtes de Tarentaise. »[36]

Devise : Unguibus et Rostro (des ongles et du bec)[36].

Branches

Tant pour les Briançon que pour les Aigueblanche, de Foras renvoie vers les Montmayeur[Foras 28],[Foras 29]. L'historien Félix Bernard « considérait que la famille seigneuriale de Montmayeur est issue de celle des Briançon-Aigeblanche »[40]. Il précise « Tandis que cette branche aînée s'installa exclusivement en Dauphiné, à partir de 1289, et garda le nom de Briançon, une branche savoyarde qui tenait ses biens « de l'alberge de Brianczon » s'appela Montmayeur »[40]. Lafamille Aiguebelle porte de gueules à l'aigle d'argent. Bernard indique « S'il m'était permis de hasarder une conjecture, je supposerais que les Aiguebelle sont, comme les Aigueblanche, du même sang que les Montmayeur. »[Foras 29]

Apparue au IXe siècle — Branche aînée savoyarde éteinte mi-XIIIe siècle — Branche Aigueblanche (1349/1355)[36],[38] — Branche dauphinoise (fin XVIIe siècle)[37]. Originaire d'Aime (Tarentaise)[38]. Vicomte de Tarentaise][38]. En Savoie : Seigneur de Cur (ou Cœur), d'Aigueblanche, de Feisson. En Dauphiné : Bellecombe, Varces, Le Touvet, La Terasse, Saint-Ange, Eybens, Gières[37]. Les titres et possessions de la branche savoyarde passent par mariage, de Léonette Aigueblanche-Briançon (morte entre 1349 et 1355) et Hugues de Montmayeur, à la maison de Montmayeur[36],[38]. Le nom et armes de la branche dauphinoise passent à des cousins, le de Vachon[37],[CEA 7].
Famille de Buttet

La famille de Buttet porte De sable aux trois butes d'or entrelacées, deux en sautoir et une en pal.[Foras 30],[Borel 5],[CEA 8]

Devise : La vertu mon but est.[Foras 30],[CEA 8]

Mentionnée au XVe siècle — Anoblie par LP en 1460 — Branche aînée éteinte (1914)[Foras 30]. Originaire d'Ugine (comté de Savoie). Baron du Bourget (Le Bourget-du-Lac), comte de Tresserve, seigneurs en Savoie et en Genevois[Foras 30].

Ca à Ch[modifier | modifier le code]

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Blason Nom de famille, blasonnement et devise Périodes Possessions
Famille de Candie

De gueules, semé de fleurs de lis d'or, à la bande d'azur, brochant sur le tout.[Foras 31],[Borel 6]

Devise : Tout à rebours[Foras 31] (La devise des Candie rappelle que comme l'écrevisse, les sages quelquefois marchent à reculons).

Qualifiée de noble au XIVe siècle[Foras 31] — Branche savoyarde éteinte au XVIe siècle[Foras 31] — Branche bressane (?) Originaire de Chambéry-le-Vieux (Comté de Savoie), famille d'origine bourgeoise. Possession du château auquel ils donnent le nom au XIVe siècle, ainsi que de nombreux biens à Chambéry-le-Vieux. Seigneur de Candie, Chaffardon (Saint-Jean-d'Arvey), Loese, Varennes, de Salagine (Bloye)[Foras 31].
Famille Capré de Megève

D'azur à une tête et col de chêvre coupés d'argent au chef d'or.[Foras 32],[CEA 9],[41]

Couronne : Comte[CEA 9]
Cimier : une tête de chèvre d'argent[Foras 32]

Devise : Non indigna cœlo[Foras 32],[CEA 9],[41].

Mentionné au XIIe siècle[Foras 32] — Anoblie au XVIIe siècle et filiation suivie[CEA 9] — Éteinte au XXe siècle. Probable origine piémontaise, installée en Faucigny au XIIe siècle[Foras 32]. Comtes de Megève. Seigneur de Bellecombe (1681), de Bonport, du Crest-Voland (1681), de Megève (1681)[Foras 32].
Famille de Cerjat

D'azur, à un cerf de gueules, accompagné au canton senestre d'une étoile à six rais d'argent.[42]

Devise : Cervus jacet (« le cerf subjugue »)

Attestée depuis la fin du XIIIe siècle, elle « accède à la noblesse à la fin du Moyen Age »[43]. Lettres impériales d'armoiries et de reconnaissance de noblesse de l'Empereur Sigismond en 1415[43]. Originaire de Moudon (Pays de Vaud)[43].
Famille de Cervens

D'argent au cerf effrayé de gueules, sommé d'argent et brisé à l'épaule d'un croissant de même, au chef d'azur[Foras 33]

Branche cadette
  • Cervens « dit du Vernay »
Mentionnée au XIIe siècle — Éteinte à la fin du XVe siècle[44] Originaire du Chablais. Seigneurs de Cervens, de La Rochette, de Savy (maison-forte de Save, Margencel) ; coseigneurs de Ayens, de Brens et de Buffavent, en Chablais[Foras 33].
Famille de Chabod, parfois Chabod-Lescheraine ou encore Chabod/Jacob de l'Echerenne

porte : D'azur, à trois fleurs de lys d'argent 2 et 1, au chef de même chargé d'un lion issant de sable lampassé de gueules.[Foras 34]
Selon Guichenon : d'azur, serné de fleurs de Lys d'argent, à la bande d'or, brochant sur le tour chargée de trois lyonceaux de gueules.[45]

Cimier : une lice issant d'azur[Foras 34] ou Un lévrier naissant d'argent, accolé de sable, lampassé de gueules[45].
Supports : deux griffons d'argent[Foras 34].
Devises : c'est à tard[Foras 34] ou encore tout à temps[45].

Anoblie au XVe siècle[Foras 34]. Originaire de Chambéry, famille d'origine bourgeoise. Seigneurs (anobli en 1440), comtes puis marquis de Lescheraines (1682), Saint Maurice (1635) ; barons de Crête, Lupigny, Saint-Jeoire ; seigneurs d'Aiguebelette, Aisone, Arith, Cengle, Chiron, Chitry, La Dragonnière, Féterne, Grésin, Hauteville, Jacob, Mionaz, Monet, Thusy, Travernay, Troche et Douvaine, Villeneuve (achat en 1401), coseigneurs de Peillonex[Foras 34].
Maison de Challant

D’argent au chef de gueules à une cotice de sable brochant sur le tout.[46]

Devise : Tout est monde et le monde n'est rien[47]

Apparaît vers le XIe siècle[46]. Val d'Aoste. Vicomtes d'Aoste. Seigneurs puis comtes de Challant.
Famille de Challes

D'argent à la croix ancrée de sable.[Foras 35]

Filiation du XIVe siècle jusqu'au XVIIe siècle[Foras 35]. Originaire de Challes (en Bresse, aujourd'hui partie de Bourg-en-Bresse). Un descendant obtient la seigneurie du Puy (Triviers), donnant son nom à Challes (Savoie). Seigneurs de Barberaz-le-Gras, de Challes, de Corgenon, de Gras, de Monterminod et du Puy[Foras 35]. En 1569, vente des titres à Louis Milliet, qui relève le titre[48].
Maison de La Chambre

D'azur, semé de fleur de lis d'or, à la bande de gueules brochant sur le tout.[Foras 36],[Borel 6]

Devise : Altissimus nos fundavit[Foras 36].

branches cadettes
  • Les vicomtes de Maurienne (éteinte au XVIe siècle)
  • Les marquis d'Aix et comtes de Montréal
  • Les seigneurs de Sermoyé et de la Cueille, marquis de Meximieux
  • Les barons de Ruffey

Au XVe siècle, mariage de Jean de Seyssel et de Marguerite de La Chambre donne naissance à la branche des La Chambre Seyssel, se blasonnant :

Parti au premier, d'azur, semé de fleur de lis d'or, à la bande de gueules brochant sur le tout, au second, gironné d'or et d'azur de huit pièces.

Apparue au XIe siècle[49] — Éteinte au XVe siècle. Originaire de La Chambre (Maurienne). Vicomte de Maurienne, etc.[Foras 36]. Nom, titres et biens passe à la famille de Seyssel.
Famille de Charansonay, parfois Charanson(n)ex (Chalansonay, Chalanczonay, Charançunai, Chalansonnex)

D'or, au lion de sable armé et lampassé de gueules.[Foras 37]

Mentionnée fin XIIIe siècle[Foras 37]. Originaire du comté de Genève. Seigneurs de Charansonnay, Charanson(n)ex, Chalansonnex, (Massingy, de Malagny, de Saint-Marcel, de Puisgros[Foras 37].
Famille de Châtillon du Chablais ou Châtillon-Larringe

Fascé d'azur et d'argent (alias d'azur à trois fasces d'argent), à la cotice de gueules, brochante sur-le-tout.[Foras 38],[CEA 10]

Attestée en 1286[50] — Branche de Larringe(s) éteinte en 1701[CEA 10]. Chablais. Pourrait être une branche des Châtillon de Michaille[50]. Seigneurs en Chablais[Foras 38].
Famille de Châtillon de Michaille

D'argent à la croix de gueules.[Foras 39]

Remonterait au XIIe siècle[Foras 39]. Seigneurs en Bugey savoyard[Foras 39].
Famille de Chavan(n)es, ou Chavanne (de) ou La Chavanne (de)

De gueules, à trois quintefeuilles d’argent, rangées en bande, au chef d’azur chargé à dextre d’une quintefeuille d’argent.[Foras 40]

Selon l'Armorial de Rietstap : d'azur, à trois quintefeuilles d'argent, rangées en bande, au chef du champ, chargé à dextre d'une autre quintefeuille d'argent.

Mentionnée vers la fin du XVe siècle. Foras indique que « les Chavannes, comme plusieurs des bourgeois de Rumilly, se qualifiaient de nobles, et que cette habitude, ou bien la possession de biens nobles, les a fait inscrire parmi les vrais nobles. »[Foras 40] — Éteinte en 1760[Foras 40] Originaire de Rumilly (Albanais). Seigneurs de Corbonnex, Motz, Reynex/Reinex et de la maison forte de Manessy[Foras 40].
Famille de Chevelu

D'argent au chef endenté de trois pointes de sable.[Foras 41]

Remonterait au XIIe siècle — Éteinte à la fin du XVIe siècle[Foras 41]. Originaire du comté de Savoie. Seigneurs de Chevelu ou Cinne et maison forte de Prélian à Saint-Jean-de-Chevelu, Châtelard, Lucey[Foras 41].
Maison de Chevron Villette

D'azur au chevron d'or chargé d'un chevron de gueules accompagné de trois lionceaux d'or, deux affrontés en chef et un en pointe.[Borel 6],[Foras 42],[CEA 11]

Union de :

  • Chevron : d'azur au chevron d'or chargé d'un de gueules.
  • Villette qui portent d'azur à trois lyons d'or armez et lampassez de gueules.

Couronne de comte
Cimier : un bouc ou chevron, issant de sable accolé d'une couronne ducale.[Foras 42],[CEA 11]
Devise : "IN ARDVIS" ou "ALTISSIMA QVERO"[Foras 42],[CEA 11].

Remonterait au XIIe siècle — Filiation à partir du XIVe siècle[Foras 42],[CEA 11]. Originaire de Tarentaise. Barons puis comtes de Chevron, de Montjoye ; barons de L'Orme, Villette en Tarentaise[Foras 42].
Famille(s) de Chignin, ou de Chinins, de Chynin, de Cignin, de Cheynin, de Chenin ; Ciniensis, a Cinio, de Cheyno, de Chignino, de Chinino

De gueules, au chevron d'hermines.[Foras 43]
Selon Guichenon : De gueules, au chevron d'argent, chargé de six hermines de sable.[Borel 6],[Foras 43]
Parfois : De gueules, au chevron d'argent, moucheté d'hermines.[51]
Pierre Palliot : « Chignin en Savoye porte de gueules au chevron d'argent chargé de 6 Mouchetures d'Hermines de sable au Lambel à 6 pendants de mesme. Ceux de ce nom portoient anciennement Tiercé en bande d'or, de gueules et d'azur, le gueules chargé de trois Molettes à huit raiz d'argent. »[Foras 43]

Branches cadettes
  • Chignin de la Biguerne
  • Chignin, branche de Taninges (Faucigny)
  • Chignin de La Place, branche de Cluses (Faucigny)
  • de Verdon ou Verdun (Cruet)
Mentionnée à partir de la deuxième moitié du XIe siècle[52] jusqu'au milieu du XIIIe siècle — Branches cadettes portent ensuite le nom[53]. Originaire de Chignin (Combe de Savoie). Seigneurs de la Biguerne (Chignin), de la place de Chignin, de Saint-Jeoire, de La Place (Thyez), de Troches (Douvaine), co-seigneurs de Naix et Fleyrier (Taninges)[Foras 43].
Famille de Chissé (de Chissy, de Chissey, de Chissay, de Chissiaco, de Chessiaco, de Cheyssie, de Chesie, de Chessie, de Chissier, de Chissy, de Chessyer)

Parti d'or et de gueules, au lion de sable, armé, villené et lampassé de gueules, brochant sur le tout.[Borel 6],[Foras 44],[CEA 12],[54],[55]

Branches cadettes[Foras 44],[55]
  • Chissé Servoz (éteinte au XVIe siècle)
  • Chissé Fillinges (éteinte au XVIIe siècle)
  • Chissé Polinges et Challant (éteinte 1879), dont un rameau en Dauphiné[54]

Devise : Toujours[Foras 44],[CEA 12],[54],[55].

Mentionnée vers le XIIe siècle[55] — Éteinte dans les mâles (XVIIe siècle)[CEA 12]. Originaire de Chissé, dans les environs de Sallanches (Haute-vallée de l'Arve), feudataires des barons de Faucigny. Comtes de Challant (Val d'Aoste) ; barons de Marcosse (Faucigny) ou la Marcousse (Dauphiné) ; seigneurs en Faucigny, Genevois Savoie et Dauphiné[Foras 44],[55].

Ci à Cy[modifier | modifier le code]

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Blason Nom de famille, blasonnement et devise Périodes Possessions
Famille de Clermont-Mont-Saint-Jean

De gueules à deux clefs d'argent en sautoir.[Foras 45],[56],[CEA 13]

Cimier : Deux clefs de l'Église, surmontées d'une thiare papale d'or.[Foras 45],[56]

Mentionnée en Savoie au début du XIVe siècle[Foras 45] — Éteinte par les mâles en 1868[CEA 13] Branche cadette de la Maison de Clermont-Tonnerre, originaire du Dauphiné[Foras 45],[56]. Seigneurs, puis barons, comtes et marquis (1732) de Mont-Saint-Jean et de La Bâtie d'Albanais (1681) ; comtes de Sacconay et de Saint-Cassin, barons de Flaxieu ; seigneurs Saint-Pierre de Soucy, Sainte-Hélène-du-Lac, Rubaud, du Fléchet, de Verel, La Colliette, Montferrand, Mecoras, Truaz, Grésy, Dérée, Montfalcon, Gaillard, Martignat, Matafelon, Villarcia, Les Terreaux, La Balme, etc.[Foras 45]
Famille des Clets, Clés (des), Clez (des), Clées (des)

De gueules à la croix d'or chargée de cinq étoiles d'azur[Foras 46].

Mentionnée dès le XIe siècle — Branche aînée disparait vers la fin du XVIe siècle[Foras 46]. Originaire du Val des Clets. Seigneurs de et dans la Val des Clets, de Boisy, de Groisy, de Manigod, de Montségur et de Thônes[Foras 46].
Famille du Clos, parfois Duclos (Cloux (du), Clouz (du), Cloz (du)), dite du Clos du Fresnoy, comtes de Bonne

P. écartelé : au 1er d’argent à la fasce de gueules au chef enmanché de 4 pièces de sable; au 2e d’or à la fleur de lys de sable, qui est du FRESNOY ; au 3e d’or au sautoir de sable qui est de MARTIN ; au 4e de gueules à l’arbre d’or, clos de même qui est du CLOS.[Foras 47],[57]

Branches cadettes
  • Comtes de Bonne[57] ;
  • Seigneurs de Blanzy (Bonneville)[57] ;
  • Seigneurs de Belelcombe[57] ;
  • Du Clos de La Martinière
  • Du Clos de la Place (peut être de la même souche, selon Foras)[Foras 48]
Anoblie en 1469 — Branche des comtes éteinte vers la fin du XVIIIe siècle[Foras 47],[57]. Originaire de Bonne sur la Menoge (bassée vallée de l'Arve)[Foras 47],[57]. Comtes de Bonne ; barons de Lambert. Seigneurs de Lorzier, du Fresnoy, Esery, Blansy, de la Batie Dardel, etc.[Foras 47] Vers la fin du XVIIe siècle, des alliances, l'érection de leur terre de Bonne en comté, ainsi que l'héritage des Martin du Fresnoy, des terres d'Esery et de Blansy[Foras 47].
d'azur à une croix d'or Maison de Compey, parfois Compeis ou Compois

D'azur à la croix d'or.[Foras 49]

Devise : "A.V.F." (A vostre foy)[Foras 49]

Branches
  • Compey-Thorens : D'azur à la croix d'or.
  • Compey-Draillans et de la Chapelle : P. de Compey, brisé d'une cotice de sable.[Foras 50]
  • rameau (probable selon Foras) des de Compey-Féternes ou de Compois de Féterne : De gueules à cinq étoiles d'argent en 3 et 2, au chef du second, chargé d'un lion issant de sable.[Foras 51].
Apparue vers le XIe siècle - mentions certaines vers le milieu du XIIIe siècle[Foras 49] Originaire de Compeis ou Compois (commune moderne suisse de Meinier), dont elle a pris ou donné le nom, Genevois[Foras 49]. Seigneurs en Genevois[Foras 49].
de sable à une croix d'or Famille de Confignon

De sable à la croix d'or.[Foras 52]

Mentionnée au XIIIe siècle[Foras 52]. Originaire du comté de Genève. Seigneurs de Boringes (château du Pont-de-Boringe, inféodé en 1296), de La Bâtie de Confignon, de Corsier, de Marlioz, de La Motte-sur-Épagny. Héritent au XIIIe siècle du château de Pierre (Nangy) de la famille de Nangy[58]. Vidomne de Genève au XIIIe siècle[Foras 52].
Famille de Constantin

D'azur au cerf d'or passant sur un chêne arraché de sinople. (alias d'argent) posé à la pointe de l'écu.[Foras 53],[CEA 14],[59]

Cimier : Un sert issant d'or Devise : l'espoir du mieux à présent me contenteVelocitate et constantiâ[Foras 53],[CEA 14],[59].

branche cadette
  • de Constantin de Moussy
Anoblie dans la seconde moitié du XVIe siècle (LP 1560) — Preuves de noblesse de 1723[Foras 53],[CEA 14],[59]. Famille de notables d'Annecy (Genevois)[Foras 53],[59]. Seigneurs de Magny, de La Biollé et de Moussy ; Co-seigneur de La Bâtie-Dardel[Foras 53],[59].
Maison de Conzié ou Conzier

D'azur, au chef d'or, à un lion issant de gueules.[Borel 6],[Foras 54],[60]

Mentionnée fin XIIIe siècle — filiation au siècle suivant — Branche aînée disparue en 1868[Foras 54] A pris ou donné son nom au château de Conzié sur la commune de Bloye près de Rumilly[Foras 54] (Comté de Genève). Seigneur de Blay[Foras 54].
Famille de Coppier (parfois Copier)

D'azur à trois coupes d'or, en 2 et 1.[Foras 55],[CEA 15] (variante : trois coupes d'argent)

Mentionnée dès le XIIIe siècle — Réhabilitation le (douteuse selon Foras), puis dérogation au cours du XVIIIe siècle. Rétablissement le (1849 ?)[Foras 55],[CEA 15],[61]. Comté de Genève[Foras 55],[CEA 15]. Famille notariale (XIIIe siècle-XVe siècle)[Foras 55]. Foras annonce, mais sans preuve, un lien avec la famille de Copponay ou Copponex[Foras 55]. Distincte de la famille d'ancienne chevalerie dauphinoise Copier ou Coppier[CEA 15].
Famille de Corbeau, Corbel/Courbeau (de) (Corbelli), de Corbel dits de Corbeau ou de Corbeau de Corbel

D'or à trois fasces de sable.[Foras 56],[62],[CEA 16]

Couronne : de marquis
Supports : deux corbeaux
Devise : Nihil sine virtute[Foras 56],[CEA 16]

Mentionnée au XIII — Preuves de noblesse en 1766[Foras 56],[CEA 16] Originaire très probablement de Corbel en Savoie, puis implantée en Dauphiné[Foras 56],[62]. Seigneurs de Corbel, Saint-Franc, La Balme, Echaillon, Thuet, Domessin, du Châtelard, de la Bauche, etc. (en Savoie), seigneurs de la Comber et d'Upie en Valentinois, seigneurs de La Mure, du Biol, de Saint-Albin, Voyssan, Saint-Bueil, Saint-Martin, etc. Marquis de Vaulserre (1751) en Dauphiné[Foras 56],[62],[CEA 16].
Maison de Cordon

Écartelé d'argent et de gueules.[Foras 57],[63],[CEA 17]

Couronne : de comte
Cimier : un lion coupé d'agent et de gueules
Supports : deux lions coupés d'argent et de gueules (alias un lion et une chimère)
Devise : TOUT SANS CONTRAINTE ou Omnia Sponte[Foras 57],[63],[CEA 17].

Apparue vers le XIIIe siècle. Originaire de Cordon (Bugey). Seigneurs de La Balme, Croset, Evieu, Les Marches, Morestel, Passin, Pluvy, Veyrin[Foras 57].
Famille de Cornillon

D'or au chevron de gueules accompagné de trois corneilles volantes de sable, membrées et becquées du second, les deux du chef affrontées.[Foras 58],[64]
Selon Foras, le chevron serait d'adjonction moderne[Foras 58].

branches[Foras 58]
  • branche de Tarentaise
  • branche de Faucigny
Mentionnée vers 1080[Foras 58],[64]. Probablement originaire du château de Cornillon, à Queige (Beaufortain-Tarentaise)[64], ayant essaimé en Faucigny[Foras 58]. Seigneurs de Cornillon (Queige), de Cornillon (Saint-Laurent), Marthod, Clertans, Fessy, La Pérouse en Faucigny, Meyrens (Reignier), Cevins, Exery, Arbusigny[Foras 58].
Famille Costa de Beauregard

D'azur à trois bandes d'or, au chef cousu d'azur chargé de trois fleurs de lys d'or. (par concession des rois de France Charles VII et Louis XIV)[Foras 59],[Borel 7],[CEA 18]

L'écu posé sur un aigle d'Empire.
Supports : deux anges
Cimier : un soleil d'or avec la devise Soli Fidelis[Foras 59],[CEA 18].

Branches
  • savoyarde
  • génoise, dont rameau
Mentionnée vers le XIIe siècle — Filiation prouvée depuis le XVe siècle — Branche cadette éteinte au XIXe siècle[Foras 59],[CEA 18]. Originaire de Gênes[65], avant de se fixer en Savoie, vers la fin du XVIIe siècle[Foras 59],[CEA 18]. Marquis de Saint-Genix de Beauregard (1700) ; comtes du Villard, Saint-Remy ; seigneurs d'Archamps, La Bâtie-Meille (Genève), Beauregard, Cernex, Ceruse, Charlier, Châtelard, Cordon, La Dragonnière, Evieu, Megève, La Motte, Rougemont, Sacconex, etc.[Foras 59]
Famille des Costes (de Costis)

De gueules à la bande d'or chargée de trois côtes au naturel.[Foras 60],[66],[67].
Le site Blasonario subalino indique quant à lui d'azur à la bande d'or chargée de trois côtes au naturel.

Mentionnée dès le XIVe siècle — Éteinte vers la fin de la première moitié du XVIIe siècle[Foras 60]. Originaire de Saint-Pancrace, en Maurienne[66]. Possède deux maisons-fortes dans l'enceinte de Saint-Jean-de-Maurienne dont la maison et la tour de Babylone[68], au XVIe siècle[69] et une seconde disparue[66].

d'or au griffon de gueules
Famille Courtois d'Arcollières (anciennement Cortoys)

De gueules à l'épée droite d'argent, accostée de deux fleurs de lys d'or. (Armes concédées par le roi François Ier)[Foras 61],[CEA 19].
Armes anciennes : D'or à un griffon de gueules.[Foras 61],[CEA 19]

Devise : COURTOYS DE NOM ET DE FAICT (donnée par François Ier) ou encore OB SERVATUM QUANDOQUE LILIUM[Foras 61],[CEA 19].

Patentes de noblesse du duc de Savoie (1517)[Foras 61],[CEA 19] (noblesse probablement antérieure[Foras 61]). Originaire du Petit Bugey[Foras 61],[CEA 19]. Seigneur en Petit-Bugey, en Forez, en Valromey[Foras 61].
de gueules à trois losanges Famille de Crans

De gueules à trois losanges d'argent.[Foras 62]

Fin du XIVe siècle — Filiation prouvée entre 1451 et 1650 — Probablement éteinte au cours du XVIIIe siècle[Foras 62]. Patronyme probablement issu du village de Cran, dans la banlieue d'Annecy (comté de Genève). Seigneurs de Bausse et Méral. Possédaient une maison forte à Annecy et une autre à Passy[Foras 62].
Famille de Crescherel ou Crécherel

D'azur, au rencontre de cerf d'or.[Foras 63]

Mentionnée vers la fin XIVe siècle[Foras 63] Originaire du dehors de la Savoie, peut être l'Angleterre[70], mentionnée la première fois en 1391 à Ugine[Foras 63] (Maison-forte de Crescherel)[70]. Seigneurs de Crescherel, Cevins, Saint-Laurent-de-la-Côte, Marthod, Thénézol-en-Tarentaise, des Déserts[Foras 63].
Famille de Cuines ouCuynes (de) (de Cuynâ)

D'or au lion de sable armé et lampassé de gueules, à la bande du même brochant chargée de trois étoiles d'argent.[Foras 64],[71]

Devise : J'attends fortune[71].

Mentionnée dès le XIIe siècle — Éteinte vers le XIVe siècle (1620)[Foras 64]. Originaire de Maurienne. Seigneur de Ribaud (Ribod, Rubaud ou encore Rubeaud), à Coise (le château est leur résidence principale)[Foras 64]. Possessions à Saint-Rémy, La Chapelle, Saint-Léher, Coise[72].

D[modifier | modifier le code]

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Blason Nom de famille, blasonnement et devise Périodes Possessions
Famille Delachenal, Lachenal (de) ou La Chenal (de)

D'or à un chevron raccourci d'azur, accompagné de trois étoiles de gueules, et à la champagne d'une rivière d'azur chargée d'un cygne d'argent.[73]

Anoblie le [73]. Famille de notables d'Ugine[73]. Obtention du titre de comte d'Outrechaise, pour l'une des branches, avec érection en comté du fief par achat[73], après une procédure de treize ans[74].
d'or au chevron d'azur Famille de Dérée ou Hérée (d')

D'or, au chevron d'azur. ou D'azur, au chevron d'or.[Foras 65]

Mentionnée noble vers le milieu du XIVe siècle — Éteinte au milieu du XVIe siècle[Foras 65] Originaire de Dhéré (Duingt) dans le Comté de Genève, famille issue de la petite noblesse, vassale des Duyn. Seigneur de Boissy, Bressieux, Dhéré, Noyret ; conseigneur de la Val de Clets[Foras 65]. Les biens passent en partie aux Sales et aux Clermont-Mont-Saint-Jean.
d'or à la croix de gueules Famille de Duin ou Duyn (de)

De gueules à deux bars adossés d'argent., puis D'or à la croix de gueules.[Foras 66]

branche
  • Duin (de) La Val d'Isère, avec l'union à la famille Mareschal donne les Mareschal-Duin (de) La Val d'Isère ou Duyn Maréchal, portant écartelé 1 et 4 d'or à la croix de gueules, écartelé 1 et 3 d'or, à la bande d'or, chargée de trois coquilles d'argent.[Foras 67]
Mentionnée dès le XIIe siècle — Éteinte vers 1530[Foras 66]. Seigneurs de Duyn (Duingt) (Comté de Genève). Seigneurs puis barons de Val-d'Isère et de Sainte-Hélène par mariage (Vers 1310), puis vicomtes de Tarantaise et de la Val-d'Isère (jusqu'au XVIIe siècle). Seigneurs en Genevois et en Savoie[Foras 66]. Une partie des biens passe à leurs cousins de La Forest.

E à F[modifier | modifier le code]

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Blason Nom de famille, blasonnement et devise Périodes Possessions
Maison de Faucigny

Palé d'or et de gueules de six pièces.[Borel 8],[Foras 68]
Variantes : trois pals. ou trois pals billetés.[Foras 68]

Branches
  • Faucigny-Lucinge (XIIe siècle) : Parti, au premier palé d'or et de gueules (Faucigny), au deuxième parti, d'argent, à trois bandes de gueules (Lucinge).[CEA 20] ou Écartelé en 1 et 4 palé d'or et de gueules de six pièces et en 2 et 3 d'argent, à trois bandes de gueules.

Couronne de prince
Tenants : deux sauvages d'or.
Cimier : Un bras brandissant une épée d'argent.
Devise : Usque Quo.[CEA 20]

    • Faucigny-Lucinge, branche de Vevey : De sinople à trois bandes d'argent.
    • Faucigny-Lucinge, branche de Marlioz : Bandé d'argent et de gueules, la première bande de gueules chargée d'une étoile à huit branches de sable en chef.
  • Faucigny-Vozerier
  • Faucigny-Châtillon
  • Faucigny-Grésy ou Greysier (Grésier)
Fin du XIe siècle — Éteinte au XIIIe siècle[Foras 68]
— Branche détachée des Faucigny-Lucinge (XIIe siècle) associe à Lucinge le nom de Faucigny vers XVIIIe siècle[CEA 20].
Originaire de Faucigny[Foras 68].
Famille de La Faverge (de Fabricis)[Note 3]

D'azur à la croix d'or chargée d'une croix de gueules cantonnée de deux ancres aussi d'or aux 1er et 2e et de deux calices du même aux 3e et 4e.[Foras 69]
On trouve aussi la croix fichée; la croix de gueules bordée d'or; les ancres d'argent, cantonnant aux 1er et 4eetc.

Branches
  • La Faverge de Montpon
  • La Faverge de Cormand
  • La Faverge de Bévy[CEA 21]
Anoblie vers le XVIe siècle — Éteinte vers le XVIIIe siècle[Foras 69],[CEA 21]. Originaire du Genève, fuyant le calvinisme. Seigneurs de Cormand et de Montpon[Foras 69].
Famille Favier du Noyer, Favier Dunoyer puis Favier du Noyer de Lescheraine (1864)

P. de gueules à la grue d'argent tenant sa vigilance de même, au chef d'azur chargé de trois bandes ondées du second ou de gueules à une grue d'argent dans sa vigilance d'or, au chef d'azur chargé de trois bandes ondées d'argent.[Foras 70],[CEA 22]

Connue depuis le XVe siècle — Anoblie le (Sénat de Savoie)[Foras 70],[CEA 22]. Originaire de Curienne (Bauges), issue d'une famille paysanne ayant accédé à la magistrature, puis la noblesse de robe[Foras 70]. Barons du Noyer, du Châtel-sur-Conflans, seigneurs d'Alex, Chezenay, Minjoux, de La Biguerne et Saint-Maurice-de-Rotherens ; marquis de Lescheraine[Foras 70]. Héritière du dernier membre de la famille de Lescheraine (1825), les membres de la famille sont autorisés à ajouter à leur nom celui de Lescheraine (Décret impérial no 12.149 en date du )[Borel 9].
Famille Favre

D'argent, au chevron d'azur, accompagné de trois têtes de Maure tortillées d'argent.[Borel 10],[Foras 71],[CEA 23]

Couronne de comte[CEA 23]
Supports : un lion à dextre et une licorne à sènestre[CEA 23]
Devise : Fermeté[Foras 71],[CEA 23]

Branches[Foras 71],[CEA 23]
  • branche bressane (aînée) :
    • Favre de Meximieux (Éteinte)
  • branche savoyarde :
  • branche lyonnaise : de gueules à un chevron d'or accompagné en chef de deux trèfles et en pointe d'un besant de même.[CEA 23]
Mentionnée au XIVe siècle (bourgeoisie de Meximieux) — Filiation fin du XIVe siècle — Anoblie au XVIe siècle — Branches bressanes et savoyardes éteintes[Foras 71],[CEA 23]. Originaire de Meximieux (Bresse), dont des branches installées à Meximieux, Chambéry et Lyon[Foras 71],[CEA 23]. Juristes qui achètent la maison des Charmettes en 1596, obtenant ainsi un titre honorifique. Comtes (obtenu en 1670 et érigé en comté en 1680) de Chanaz ; barons d'Aiguebellette, d'Arenthon, de Domessin, de Pérouges (Péroge, 1587) ; Seigneurs des Charmettes, de Bettonet, Félicia, La Valbonne (Lavalbonne), /Pérouges, Premery, St. Étienne, Vaugelas (Vaugelaz), Villaret, Yvoire[Foras 71].
Famille Fernex de Mongex (Montgey)

Parti d'argent à un lion de gueules, couronné d'or, et d'azur à deux lances d'argent en sautoir accompagnées de quatre étoiles de même, deux en pal et deux en flanc.[Foras 72],[CEA 24]

Comte par L.P. (1824)[Foras 72],[CEA 24] Originaire de Mégevette, famille bourgeoise de Thonon (XVIIe siècle), « adonnée au notariat et à la magistrature »[Foras 72].
Famille de Féterne

De gueules au lion d'or. ou D'or au lion de gueules.[75]
Foras mentionne les deux blasons mais souligne qu'il n'existe aucune preuve de leur usage[Foras 73].

Mentionnée vers le Xe siècle — Branche principale éteinte au XIIe siècle — Poursuite avec les vidomnes de Féternes jusqu'au XIVe siècle[76]. Originaire du val d'Abondance en Chablais. Seigneurs de Bons, Brens, Conflans, Doussard, Évian, Excevenex, Féterne, Margencel, Marin, Notre Dame d'Abondance, Tournon. Au XIIIe siècle, les terres passent sous le contrôle de la Maison de Savoie[76]. Les Compois de Féterne semblent avoir succédé en partie à cette famille[Foras 73].
Famille de La Fléchère

D'azur, au sautoir d'or, cantonné de quatre aiglettes d'argent.[Borel 10],[Foras 74],[CEA 25].

Plusieurs branches en Savoie et canton de Vaud.

Mentionnée dès le début XIIIe siècle — filiation prouvée depuis 1370[Foras 74]. Chevaliers, seigneurs de Beauregard, originaire d'Écosse, branche des Fletcher. Comtes d'Alex, la Flechère, Veyrier-Châtillon (1654) ; seigneurs en Genevois[Foras 74].
Blason Famille de Foras Famille de Foras

D'or, à la croix d'azur.[Borel 10],[Foras 75],[CEA 26],[Jougla 3].

Couronne de Comte
Supports : deux griffons de sable
Cimier : une aigle de sable
Devise : In cœlesti fortitudine (« En la force céleste ») et Intus et foras undique crucis amor (« Dedans et dehors toujours l'amour de la croix »)[Foras 75],[CEA 26],[77].

Branche cadette
  • Bourgneuf de Balleyson
Mentionnée dès le XIIIe siècle[Foras 75] — dit comte de Foras à partir du XVIIIe siècle[CEA 26],[Jougla 3]. Originaire du château de Foras, au Bourgneuf, près Douvaine Chablais. Comte de Foras ; Seigneur de Beauregard, Bourgneuf, Bottolier, Chanaz, Chesabois, Chilly, Foncenex et Foras d'Amont, Montocornu, Murs, Mussel, Thuyset[Foras 75].
Famille de La Forest Divonne

De sinople à la bande d'or frettée de gueules.[Borel 11],[Foras 76],[CEA 27],[Jougla 4]

Couronne ducale
Cimier : une aigle éployée de sable, couronnée d'or.
Supports : deux lions
Devise : Tout à travers
La branche aînée enveloppe son écusson d'un manteau de pair de France[Foras 76].

Patronyme La Forest mentionné depuis le XIIIe siècle sans preuves de rattachement — Filiation prouvée depuis le XIVe siècle[CEA 27],[Jougla 4]. Originaire du Petit-Bugey. Comte de La Barre, La Croix St. Alban, Verel et Dulin, La Forest ; seigneur en Savoie et Genevois[Foras 76]. Noblesse de France 1650. Pair de France (1827), majorat de pairie au titre de baron-pair (1829)[CEA 27].
Famille de La Frasse (de Fragia, Fracia ou Fraxia)

D'or à l'ours rampant de sable/[Foras 77]
Variantes : d'argent à l'ours rampant de sable contre une entre alaisée de sinople, fichée sur une champagne de même ou encore d'argent au bouc de sable saillant contre une entre de sinople sur un mont d'une pointe de même[Foras 77].

Mentionnée au XIIe siècle — Éteinte au XVIe siècle[Foras 77] Seigneurs de La Frasse (Faucigny), de Ferney/Fernex au pays de Gex, de Mons en Sémine, coseigneurs de La Val des Clets[Foras 77]
Famille Du Fresney (Dufresney)

Palé d'or et de gueules, à six pièces, écartelé de gueules au frêne d'or. ou p. écartelé de Faucigny et de gueules au frêne d'or qui est de Fresney.[Foras 78],[Jougla 5]

Devise (moderne) : FORT A ROMPRE[Foras 78],[Jougla 5]

Connue au XIVe siècle — Éteinte[Foras 78] Originaire du Faucigny. Reçoit du dauphin de Viennois des lettres patentes reconnaissant leur descendance de la maison de Faucigny en 1328, toutefois Amédée de Foras souligne que c'est très probablement de manière illégitime[Foras 78]. Seigneurs du Fresney, du Châtelet, Hautetour ou Aultetour (St-Gervais), Montreynaud, de la Brosse, de Laudes, Saint-Laurent-de-la-Côte, barons de Saint-Ange (héritier des Villier Saint-ANge)[Foras 78].

G[modifier | modifier le code]

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Blason Nom de famille, blasonnement et devise Périodes Possessions
Famille Gay, ou Guex, puis Gay de Lupigny

Fascé d'or et d'azur, au chef de gueules au lion hissant d'or.[Foras 79],[78]

Mentionnée au XVe siècle. Issue de Jean Gay, conseiller de la ville de Genève, avant que la famille s'implante à Vulbens (Genevois) dès 1450, où ils prennent, au début du XVIIe siècle la charge de notaire ducal. Claude-Aimé Gay est anobli par lettres patentes de Victor-Amédée II (). Baron de Lupigny (août 1776, commune de Boussy)[79].
Famille de Gemilly, Gimilly ou Jumilly (latin De Gimilliaco)

Losangé d'argent et de sable.[Foras 80]

Mentionnée dès le XIIIe siècle — Éteinte au XVIe siècle (Foras)[Foras 80] ou vers la fin du XVIIe siècle[80] Originaire de Gémilly (hameau de Mercury, Savoie Propre). Coseigneurs de Marthod, Cornillon et de La Val des Clets[Foras 80]. Châtelains d'Aiguebelle.
Maison de Genève Maison de Genève (comte de Genève)

D'argent à la bande d'azur accompagnée de deux lions du même, puis D'or à quatre points équipolés d'azur.[Foras 81]

Premier blason avec le comte Amédée Ier[Foras 81],[81],[Borel 12] (v. 1127). Second adopté à partir du comte Amédée II, vers 1280[81].

Branches
  • branche de Gex ou Genève-Gex (XIIIe siècle-XIVe siècle).
  • de Genève, Marquis de Lullin
  • Branche de Genève-Lullin à la cotice de gueules brochant.[Foras 82],[Jougla 6].
    • Devise : APTE NON ARCTE (« Justement mais non étroitement. »).
  • Branche de Genève-Boringe à la cotice de sable brochant.[Foras 83]
  • Branche de Genève-Montagny Ecartelé de Genève et Montagny.
Mentionnée au début du XIe siècle — Branche aînée éteinte en 1394, les droits passent à des cousins, comté est acheté par la maison de Savoie — Maintien des branches cadettes seigneurs d'Anthon, Lullin, Varey, etc.[Foras 81] Originaire du Comté de Genève[Foras 81].
Famille Gerbaix de Sonnaz, ou Gerbais

D'azur, au chef d'argent chargé de trois étoiles de gueules.[Borel 13],[Foras 84],[Jougla 7]

Cimier : une tête de chien de gueules.
Devise : "SI N'ESTOIT"[Foras 84] ou "RELIGIO PATRIAE"[Jougla 7].

La branche, devenue aînée dès le XVe siècle, a écartelé de Châtillon ( aux deux et trois d'argent à la croix de gueules.). Plus tard, ils ont aussi écartelé d'Alby (losangé d'argent et de gueules.), puis : Ecartelé de Châtillon et d'Alby et sur le tout de Gerbais.

  • Gerbais-Sonnaz d'Habères (branche cadette) : Ecartelé de Gerbais et de Châtillon.
Mentionnée au XIIIe siècle[Foras 84]. Originaire de Belley (Bugey). Marquis de La Roche (1894), Châtelet de Credoz (1894) ; comtes de Sonnaz ; barons d'Aiguebelle, Arenthon, Le Bourget, etc.[Foras 84].
Famille Gex ou Gex (de), olim Jai/Jay

D'azur au lion d'or lampassé de gueules, à la fasce de même chargée de trois roses d'argent brochant sur le tout.[Foras 85]

Anoblie en 1563[Foras 85],[82] — Éteinte au XVIIIe siècle. Originaire du Faucigny. Le châtelain Charles Jay, châtelain de Samoëns, achète une terre aux Lucinge. Anobli par patentes le , prenant le nom de Gex, seigneur de Vallon[Foras 85],[82],[83]. Comte de Taninges ; baron de Saint Christophe (1622) ; seigneur de Arbusigny, Montfort ; coseigneur de Cluses, Nernier (Faucigny)[Foras 85].
Famille de Gilly

D'or à trois fasces de gueules à la bande d'argent, brochant sur le tout, chargée de trois corneilles de sable.[84],[Foras 86],[Jougla 8]

De 1162 à 1596[85]. Barons de Gilly ; seigneurs de Rochefort, Villarayon ; coseigneurs de Cons-Sainte-Colombe, Marthod et Cornillon[Foras 86].
Famille de Gingins

D'argent semé de billettes de sable, au lion naissant du même brochant.[Foras 87],[Jougla 9]

Apparue vers le XIIe siècle — Éteinte en 1911[86]. Branche colatérale de la famille de Divonne[86] (Pays de Vaud). Baron Divonne (avec une partie du pays de Gex - Comté de Savoie), Le Châtelard (Vaud, au XVIe siècle) ; seigneur de Balmont, Beaumont, Cusinens, Divonne (1374), Gingins, La Sarraz (1542), Méral, Moiry, Montreux (1415)[86],[Foras 87]. Bourgeois de Berne[87].
Maison de Grailly (parfois Grilly)

D’or, à une croix de sable chargée de cinq coquilles d’argent.[Foras 88],[Jougla 10]

Branches
  • Grailly-Villagrand
  • Grailly-Veigy (Grailly-Villagrand-Veigy[Foras 88]), qui porte brisé d'argent à la croix de sable chargée de cinq coquilles d'or.[Foras 88]
  • Grailly-Foix
Attestée vers 1120[88]. Originaire du village de Grilly (dont on trouve également les formes de Greyli, Greli, Greely, etc.), situé au Pays de Gex (comté de Genève, aujourd'hui dans l'Ain)[88]. Implantée en Gex, Savoie, puis Guyenne et Gascogne à partir du XIIIe siècle, dont les comtes de Foix (Captal de Buch)[Foras 88],[Jougla 10].
Famille Greyfié de Bellecombe.

D'or à l'ente (ou greffe) sur une tige de sinople.pr[Foras 89],[Jougla 11].

Mentionnée vers la fin du XVe siècle — Anoblie en 1737[Foras 89] Originaire d'Annecy, puis installation en Tarentaise[89]. Joseph Greyfié, sénateur au sénat de Savoie, juge-mage de Savoie et Bugey, anobli en 1737[Foras 89]. Philibert-Amédée Greyfié de Bellecombe, syndic de Moûtiers, reçoit le titre de comte en 1825[Foras 89].
Famille de Greysier ou Grésy (de)

Palé d'or et de gueules de six pièces, (à la fasce d'argent).[Foras 90].

Apparue vers le XIIe siècle — Probable branche cadette de la maison de Faucigny[90],[Foras 90],[Foras 91]. Originaire du Faucigny, seigneurs de Grésy (Grésy-sur-Aix, près d'Aix-les-Bains, en Pays de l'Albanais). Seigneurs de La Balme-de-Sillingy, La Chambre, Châteauneuf, Choisy, Chuyt, Compois, Cusy, Greysier et Cessens, Montaimont, Montrottier, Sacconex[Foras 90],[Foras 91].
Famille de Grolée

Gironnée d'or et de sable de huit pièces. (en Bugey — Dauphiné)[Foras 92],[Jougla 12],[91].

Devise : Je suis Grolée[Jougla 12]

Branches cadettes
  • Grolée-Meuillon, Mévillon ou Mévouillon, qui porte Gironnée d'argent et de sable de huit pièces.[91]
  • Grolée, branche de Viriville (comtes et marquis), qui porte Gironné d'argent et de gueules et une couronne d'or en abîme.[Jougla 12],[91]
Vers 1180 — Éteinte vers le XVIIe siècle[Foras 92],[91] Originaire du Bugey, installée en Dauphiné. Seigneurs puis comtes de Groslée. Barons de Rochefort ; seigneurs d'Arcine, Boussy, Hauteville, Ilins, Chevelu et Lucey, Villard, Neyrieu, de Bois, Châteauneuf[Foras 92],[91].
Famille Guillet de Monthoux(olim, Mayor ou Majours)

D'azur à trois mufles de léopards d'or, couronnés d'argent.[Foras 93],[92],[Jougla 13].

Ne pas confondre avec les familles de Monthoux (Genevois, voir ci-après) et Montou (Savoie) ou la famille homonyme dauphinoise : d'azur, à trois têtes de léopards arrachées et couronnées de 3 pointes d'argent.[93].

Filiation des Mayor depuis 1290, sept générations, avant le changement de nom (selon Guichenon)[Foras 93] — filiation prouvée de la seconde famille de Guillet depuis 1500 (selon Foras)[Foras 93] — preuves en 1780[Foras 93] — Éteinte au XIXe siècle[92]. Originaire de Crans, près de Nyons (canton de Vaud)[Foras 93],[94]. Elle portait le nom de Mayor avant que François Majour ou Mayor « quitte ce nom pour prendre celui de sa mère, fille et héritière de noble Jean Guillet, seigneur d'un maison forte rentée de ce nom »[Foras 93]. Transportée à Genève et à Thonon, puis Annemasse[Foras 93]. Achat de la baronnie de Monthoux (1532)[94],[95].

Seigneurs puis barons de Monthoux (1532)[Foras 93]. Barons de Marcossey[94], de Sénoches. Seigneurs d'Annemasse, Balmont, Collonges, Draillant, Pougny, Vétraz. Coseigneurs de Ville-la-Grand[92]. Voir aussi le château des Guillet-Monthoux à Thonon[Foras 93].

H à K[modifier | modifier le code]

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Blason Nom de famille, blasonnement et devise Périodes Possessions
palé d'argent et de gueules Famille d'Hauteville ou d'Auteville

Palé d'argent et de gueules de huit pièces.[Foras 94]

  • Palé d'argent et de gueules de huit pièces, à la fasce d'azur, brochant sur le tout.[Borel 2]
Vers le XIIe siècle-fin du XVe siècle[Foras 94]. Comté de Genève. Seigneurs et coseigneurs d'Hauteville, Creste (Crête sur la commune de Versonnex)[Foras 94], vidomne de Genève au XIIIe siècle[96],[97]
Famille d'Humilly

La famille d'Humilly (parfois du Milly) avec ajout de Chevilly porte De sable, au cerf d'or passant.[Foras 95].

Devise : HUMILIS CORDE (« de cœur humble »). Cette devise est donné par Foras qui précise « à titre de fantaisie héraldique, sans autre autorité »[Foras 95].

Noble vers 1337, maintenue en 1566[Foras 95]. Originaire du hameau de Chevilly à Viry (Comté de Genève). Seigneurs de Chevilly (maison-forte), Germagny (Viry), co-seigneurs de Serraval et de la Val des Clets[Foras 95].
Famille de Juge (de Pieuillet)

D'azur à trois roses d'or. (Champaneis, comte palatin, en 1498)[Foras 96],[98].

Selon l'historien et généalogiste suisse Jacques Augustin Galiffe (1776-1853), identique à la famille de Juges, de Lyon[99].
Besson cite également d'azur au sautoir d'or chargé de cinq roses de gueules.[Foras 96].

Branches
  • les seigneurs de Candie, aurait porté d'azur au sautoir d'or chargé de cinq roses de gueules. (selon Foras)[Foras 96]
  • les seigneurs de Pieuillet.
Anoblie en 1498, réhabilitation de noblesse le , preuves en 1723[Foras 96]. Ancienne famille de la bourgeoisie de la ville de Rumilly ayant occupé des hautes charges municipales, anoblie par LP ()[Foras 96],[98]. En 1598, le duc de Savoie leur accorde des lettres d'ancienne noblesse[98]. Seigneur de Pieuillet (Marcellaz-Albanais) et de Candie[Foras 96].

L[modifier | modifier le code]

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Blason Nom de famille, blasonnement et devise Périodes Possessions
Famille de Langin

D'azur à la tour d'or avec un pan de mur de même senestre.[Foras 97],[100]

Apparaît vers le XIIe siècle (1113)[101]. Vassaux de la maison de Faucigny, puis en 1179 des comtes de Genève[101]. Passe à la maison d'Allinges par mariage en 1509[102]. Seigneurs de Ballaison, Bardennuche, Brens, Bons, Buffavent, Cholex, Collonges, Dingy-Saint-Clair, Greysier, Langin (Tour de Langin), Mieussy, Veigy, Verrières, Vigny, (Chablais)[Foras 97].
Famille Le Blanc de Cernex

Parti en bande d'argent et de gueules au cygne du premier membré d'or sur le champ de gueules grimpant contremont à dextre les aisles estendues.[Foras 98]

Foras précise « il n'est pas surprenant, avec une description aussi peu claire, que les non initiés l'aient mal comprise ; ainsi un vieux cachet de famille porte : tranché de gueules et d'azur (où avait-on pu trouver cet émail ?) à la cotice d'argent br. s. 1. t. supportant un cigne grimpant (à dextre du spectateur, c'est-à-dire) à senestre. »[Foras 98]

Cimier : Un cigne de même (autant que cela est possible)[Foras 98].
Devise : DOCE ME VOL VNTATEM TVAM[Foras 98].

Anoblie en 1572[Foras 98]. Originaire de La Rochette (Savoie)[Foras 98]. Acquisition de Cernex par mariage en 1813[Foras 98].
Famille de Lescheraine

D’azur à la bande écotée d’or (ou d'argent).[Foras 99],[Borel 11],[103]

Couronne : de marquis
Cimier : Selon les versions courantes, présentées par Foras, une Vérité de carnation à double queue, tenant de la main dextre un miroir et de la senestre une banderolle avec la devise, écaillée de sinople en feuilles de coudrier.[Foras 99]. Pour le comte, ce dernier attribut n'a pu être ajouté que par les nobles de Coudrey, héritiers des Lescheraine. Pour Seyssel-Cressieu : écaillée de sinople en feuilles de coudrier ou Une sirène à double queue, de carnation, tenant à la main dextre un miroir.[103]
Supports : deux sirènes à double queue[Foras 99],[103]
Devise : Sine macula (sans tache)[Foras 99],[103].

Apparaît vers le XIIIe siècle[103]. Disparition au XIXe siècle. Originaire des Bauges (Comté de Savoie). Marquis de Bauges/Lescheraines (1682)[104] ; comtes de Leschaux, Vinadio et Sambuco ; seigneurs de Les Allues, La Charnée, La Compôte, Pertengo[Foras 99].
blason Famille de Livron (parfois de Lyvron)

de gueules à la bande d'argent accostée de deux cotices de même.[105]

Cimier : Un dextrochère armé d'or, tenant horizontalement, comme pour parer, un cimeterre d'argent à ta garde d'or.[105] Supports : Deux lions contournés[105]

Ne pas confondre avec les Livron de Bourbonne (Dauphiné, puis Champagne, Lorraine).

XIIIe siècle[105],[Foras 100],. Originaire du Pays de Gex, château dit la Molle, le Molard ou la Molière de Livron (Collonges)[105],[Foras 100]. Implantée en France, en Savoie, en Pays de Vaud, Neuchâtel et Genève[105].
Famille de Loche

Partie de gueule à trois glands d'or au chef d'argent et au croissant montant d'azur.[Foras 101]

Apparaît vers le XIVe siècle. Originaire de Magland (Comté de Genève)[106], est issue d'une lignée de notaires.
Comtes de Vanzy ; barons de Saint Martin ; seigneurs de Châtel, Fléchère (Vanzy) ; conseigneurs de Bozel, Servoz[Foras 101],[106].
Famille de Luciane

D'or à deux brochets adossés, d'azur.[Foras 102]

À partir du XIIIe siècle[Foras 102]. Originaire de Maurienne. Possessionnée à Saint-Martin-de-la-Porte. Nom et armes passent en 1479 à un membre de la famille Mareschal, donnant naissance à la branche des Mareschal-Luciane[Foras 102],[107].
Famille de Lucinge

D'argent, à trois bandes de gueules.[Foras 68],[Foras 103],[Borel 14]

Devise: USQUE QUO (Jusque là)

À partir du XIIe siècle[Foras 68]. Famille dont le nom et les droits passent, par héritage, à une branche cadette de la maison de Faucigny, les Faucigny-Lucinge[Foras 104],[90]. Sénéchaux de Faucignyetc.[Foras 68].
Famille de Luyrieu(x)

D'or au chevron de sable.[Foras 105],[108].

Cimier : un dragon d'or clariné d'argent.
Supports : deux anges au naturel.
Devise: Belle sans blasme/blâme[109].

Apparaît vers le XIIe siècle Originaires de Belley en Bugey. Seigneurs de Champagne, Champdor (1318-1516), Corcelles/Courcelles, La Cueille, Culoz, château de Luyrieu (Béon (Ain)), Montfalcon, château de Montvéran (Culoz), Morestel, Saint Alban, Prangins, Villars, Nully, Savigny, Sainte-Croix, Villenasse[Foras 105].

Ma[modifier | modifier le code]

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Blason Nom de famille, blasonnement et devise Périodes Possessions
Famille de Machard

D'argent à trois pals de gueule au chef d'azur chargé de deux lions issants affrontés d'or.[Foras 106]

Branches cadettes[110]
  • Machard de Chillaz
  • Machard de Chassey
Anoblie par lettres patentes de Janus de Savoie, comte de Genevois, le [110],[111]. Seigneurs de Chassey (Fillinges)[110], de Chillaz (Fillinges)[110], Loëx, de Pierre, coseigneurs du Val de Bozel[Foras 106].
Famille Maillard de Tournon, Maillard olim Perrin (ou inversement) ou encore Perrin-Maillard

D'azur, à un oiseau d'argent, becqué et membré de gueules, posé en bande.[Foras 107],[Borel 15]

Mentionnée au XIVe siècle. Qualifiée de noble après le XVIe siècle[Foras 107]. Originaire de Rumilly. Bourgeois de cette même ville au XIVe siècle. Marquis de Saint-Damien et Pallières en Piémont, d'Alby, comtes de Tournon, barons du Bouchet et de Chevron en Savoie[Foras 107]. Les aînés sont marquis d'Alby (1681), comte (1569) puis marquis de Tournon[112].
Famille de Maistre

D'azur, à trois soucis tigés et feuillés d'or. (alias trois tulipes)[Foras 108],[Borel 15]

Devise: Fors l'honneur, nul souci[Borel 15].

Couronne de comte

Apparue en Savoie au XVIIIe siècle. Une branche savoisienne et une autre piémontaise. Originaire du comté de Nice. Maistre en Savoie : par fonction , comte par lettres patentes du , sans payement. Maistre en Piémont : comte de Castelgrana (1745), de Carraz (1758), de Pigna, co-seigneur de Mérindol[Foras 108].
Famille de Marcossey, olim Fornier/Fournier de Marcossey (Marcossay)

D'azur au lévrier d'argent accolé de gueules.[Foras 109],[113]

Foras : « Marcossey de Viuz-en-Sallaz, dont le véritable nom est Fornier et originaire de Cluses », probable origine, selon les armes que leur attribuent Besson, avec les Fornier/Fournier de Thônes[Foras 109].

branches[113]
  • Marcossey de Scionzier (Miossinge)
  • Marcossey de Viuz
Vers XIVe siècle[113] Originaire de Cluses. Seigneurs de Miossinge (Myozinge, Scionzier, Faucigny), Marcossey (Viuz-en-Sallaz, Faucigny), de Mussel (Scionzier)[113]. Jean de Marcossey est seigneur de Goint, Essey, Passavant, baron de Saint-Georges d'Haussonville en Lorraine, comte (1618)[113]
Famille Mareschal (Maréchal) parfois Mareschal de Montmélian

D'or, à la bande de gueules, chargée de trois coquilles d'argent.[Foras 67],[Borel 15]

Devise : PORTANTUR STEMMATA COELO et ASSEZ À TEMPS[114].

Branches[Foras 67]
  • Mareschal-Meximieux : D'or à la bande de gueules, accompagné de six coquilles du même rangées en orle. (éteinte au XVIe siècle dans la famille de Seyssel)
  • Mareschal de Saint Michel de Maurienne dont les branches :
    • Mareschal (de) Duyn (de) La Val d'Isère : Écartelé 1 et 4 d'or à la croix de gueules (de Duyn), 2 et 3 d'or, à la bande de gueules, chargée de trois coquilles d'argent (de Mareschal). (voir ci-dessus) dont :
      • Marquis de Marclaz
    • Maréchal de Saumont
  • Maréchal-Luciane : Écartelé 1 et 4 d'or à la bande de gueules, chargée de trois coquilles d'argent (de Mareschal), 2 et 3 d'or à deux brochets adossés, d'azur (de Luciane).
Apparu vers la fin du XIIe siècle, à Montmélian[Foras 67]. Premiers maréchaux de Savoie. Marquis de Marclaz (1671). Comtes de Somont/Saumont, de la Val-d'Isère (obtenu en 1540, baronnie érigée en 1617)[115] ; vicomtes de Tarantaise (1540), etc.[Foras 67].
Famille de Mareste

D'azur à deux fasces d'argent et à la bande de gueules brochant sur le tout.[Foras 110],[Borel 15].

Devise: À la gloire marche, à Dieu seul je m'arreste ou À Dieu seul je m'arreste.

Apparu vers… Originaire de Chautagne. Marquis de Lucey (1654), Saint-Agneux (1684) ; Comtes de Rochefort ; barons de Champrovent ; seigneurs d'Apremont, Billième (Baronnie en 1565), Chanaz (1442), Chavanne, Chevelu, Culoz, Domessin, Ferrières, Foraz en Chautagne, Lompnes, Lutrin, Jongieu, Mareste, Martel, Montaigre, Montdragon, Montfleury, Motz, Portaux, Rubod, Silans, Vens, Verdun, Villard[Foras 110].
sautoir Famille de Martin, ou Martin du Fresnoy (parfois Dufresnoy)

D'or au sautoir de sable. ou D'argent au sautoir d'azur.[Foras 111]

Mentionné en 1228[Jougla 14]. Marquis de Cluses (1699)[Foras 111] ; Seigneur de Blanzy, de Chuyt, de Clartans, de Compois, d'Ezery, de Loysin, de Mussel, de La Perouse, de Pormonay, de Symond ; coseigneur de Montvuagnard, de la Vallée de Bozel[Foras 111].
Famille de Martin-Salière d'Arve

D'argent semé de myosotis myosotis d'azur tigées de sinople, boutonnées de gueules.[Foras 111],[116]
Au XIXe siècle écartelé en 1 et 4 tranché de gueules sur or à la râtelle/rastelle [colonne vertébrale] de poisson posée en bande de l'un en l'autre (qui est d'Arves) ; au 2 et 3 de gueules à la salière d'or, au chef d'azur chargé de deux étoiles d'argent (qui est de Salière) ; en abyme et sur le tout d'argent semé de myosotis sans nombre, feuilles de synople, fleuris d'azur, boutonnés de gueule.[117]

En 1604, le seigneur Ennemond Martin épouse Gasparde Salière d'Arve, dont il hérite les titres l'année suivante à la mort du père[118],[119]. La famille d'Arve était déjà passé par mariage à la famille Salière[120].

La famille d'Arves portait tranché de gueules sur or à la ratelle de poisson posée en bande de l'un en l'autre. La famille Salières (Sallières, Sallière) portait de gueules à la salière d'or, au chef d'azur chargé de deux étoiles d'argent.

Devise : Armatos vinco[116].

Branches[118]
  • La Chambre ;
  • Lachenal.
Anoblie en 1517[118],[121]. Dernier représentant mort en 1940[122] Originaires du village de La Sausse à Saint-Colomban (Maurienne)[118]. Comtes de Cuines et Villards (1699)[123] ; Barons de Sainte-Marie-de-Cuynes ; Seigneurs de Combefort, Le Pontet, Ribaud.

Me à Mi[modifier | modifier le code]

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Blason Nom de famille, blasonnement et devise Périodes Possessions
Maison de Menthon

De gueules, au lion d'argent, à la bande d'azur, brochant sur le tout.[Foras 112],[Borel 15]

Devise : Partout Menthon, toujours Menthon[124]

Branches[Foras 112]
  • Menthon-La Balme De gueules, au lion d'argent, à la bande d'azur, brochant sur le tout, chargeant la bande d'une coquille d'argent mise en chef pour brisure.
  • Menthon-Beaumont
  • Menthon-Lornay : De gueules, au lion d'argent, à la bande d'azur, brochant sur le tout, chargeant la bande d'une rose d'or mise en chef pour brisure.
  • Menthon-Marest
  • Menthon-Montrottier
  • Menthon-Rochefort
Apparaît vers le Xe siècle[Foras 112] Originaire de Menthon (Comté de Genève). Comtes de Menthon, d'Aviernoz et de la Grimottière (1699)[Note 4], Montrottier ; barons de Confignon (1598), de Lornay[Foras 112] .
Famille de Menthonay, Menthonnay ou Menthonay de la Tour

De gueules au sautoir d'argent cantonné de quatre coquilles du même.[Foras 113]

Originaire de Menthonnex (Comté de Genève). Seigneurs des châteaux de Truchet et de la Petite-Balme à Sillingy[Foras 113].
Personnalités : Jacques de Menthonay (Cardinal), Guillaume de Menthonay (évêque de Lausanne)
Famille de Metral de Châtillon

D’azur à trois bandes d’or au chef d’argent chargé de trois étoiles (ou molettes) d’azur.[126]

XVIe siècle — Eteinte avec la mort de Joseph-Joachim-Xavier Métral en 1794[126]. Originaire du Chablais[126]. Marquis de Chignin (1779 - Savoie Propre, par achat), de Thônes (1744 - Genevois, par mariage avec la fille du marquis de Bertrand)[126] ; Seigneurs de Châtillon, Cruseilles, Épagny, Gruffy, Maugny, Monêtier, Mornex, Notre-Dame-de-Briançon, Pallud, Rumilly ; coseigneurs de Mons, Montjoye, Thollon.
Famille Michaud

Tranché d’or au lion de sable, armé et lampassé de gueules, brandissant une épée d’argent et au 2 par une ligne canelé de 14 pièces de gueules à 2 bandes d’argent.[Foras 114]

Anoblissements par LP et [Foras 114]. Originaire de Mognard (près d'Albens)
Famille Milliet

D'azur au chevron d'or, chargé d'un chevron de gueules, accompagné de trois étoiles d'or deux en chef, et une en pointe.[Foras 115],[127]

Écartelé, aux 1er et 4e d'argent, à deux lions issans de sinople, armés et lampassés d'or, à la fasce de gueules côtoyée de deux filets de même ; aux 2e et 3e de gueules, à la bande d'argent, accompagnée de deux cotices de même ; sur le tout d'azur, au chevron d'or, vuidé de gueules, accompagné de trois étoiles d'or, à une hydre issant, à trois têtes de sinople, couronné et langué de gueules, posé en chef.[127]
Note: « Vuidé » (=vidé) est ici fautif. le chevron est en fait « rempli » de gueules.

Supports : deux griffons de sinople
Cimier : trois têtes d'hydre
Devise : Vigili prudentia servor.

Remonterait au XIIIe siècle — anoblie au XVIe siècle. Originaire de Genève. Marquis d'Arvillard (1678), de Challes (1669), de Faverges (1644) ; comtes de Sacconex ; seigneurs en Genevois et Savoie[Foras 115].
Blason de Miolans Maison de Miolans

Bandé d'or et de gueules ou Bandé de gueules et d'or de six pièces.[Foras 116],[127]

Devise : Force m'est.[128]

Branches cadettes
  • Miolans-Urtières, possédant le château des Hurtières[129] : barré d'or et de gueule à la bande de losanges accolés de l'un en l'autre.[Foras 117],[130]
  • Mitte de Chevrières, comte de Miolans. Louis Mitte, seigneur de Chevrières, Sénéchal du Bourbonnois, a épousé en 1438 Françoise de Miolans. La famille porte D'argent au sautoir de gueules; à la bordure de sable, chargée de huit fleurs de lys d'or.[Foras 118]
  • Saluzzo-Miolans
Apparition vers le XIe siècle — Éteinte en 1523[131]. Comtes de Montmayeur ; vicomtes d'Aiguebellette, de Maurienne ; barons de Cusy, Hermance, Montfalcon[Foras 116].

Mo à N[modifier | modifier le code]

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Blason Nom de famille, blasonnement et devise Périodes Possessions
Famille Monon, alias Perrin dit Monon

D'azur, à un oiseau d'argent, becqué et membré de gueules, posé en bande.[Foras 119],[Foras 120]

Selon Foras, la famille serait « presque certainement de la même souche que les Perrin dit Maillard »[Foras 119] (cf. Maillard de Tournon ci-dessus).

Anoblie en 1424 par L.P.[Foras 119],[Foras 120]. Fin XVIe siècle[Foras 119]. Originaire de Rumilly[Foras 120].
Famille de Montbel

D'or, au lion de sable, armé et lampassé de gueules, à la bande componée d'hermine et de gueules de six pièces (brochante sur le tout).[Foras 121],[Borel 16].

Remonterait au XIe siècle, reconnu au XIIe siècle. Un seigneur de Montbel est connu en 1020, d'après Samuel Guichenon. Seigneurs, comtes de Montbel et de Saint-Pierre-d'Entremont (Comté de Savoie). Seigneurs de Montellier, de Nattage, de Saint-Maurice et de Saint-André de Brior[Foras 121].
Famille de Montfalcon

Aux 1 et 4 d'argent à l'aigle éployée de sable, membrée et becquée d'or; aux 2 et 3 d'hermine et de gueules.[Foras 122],[Note 5]

Antérieure au XIe siècle. Seigneurs originaire de Montfalcon à proximité d'Albens ; Comtes de Saint-Pierre-de-Soucy et de Château-Blanc ; seigneurs de Cengle, Flaxieu, Mionaz, Montfalcon, Pierre-Charve, Rumilly, Sillans ; coseigneur de Roasson[Foras 122].
trois pals d'azur Famille de Montfort

D'or à trois pals d'azur.[Foras 123] ou Palé d'or et d'azur.[Borel 16]

Les armes sont semblables à celle de la famille de Ternier, dont les Montfort seraient une branche cadette[133]

Devise : Me fault tenir. ou Me faut tenir mon fort.[133]

Fin XIIIe siècle[133]. Comtes de Montfort (Comté de Genève) ; seigneurs de Boisy, La Cour[Foras 123]. Portent le titre de seigneurs de Conzié à partir de 1546 et cela pendant 2 siècles[134],[135].
Famille de Monthoux ou de Monthouz

D'or, au chevron de gueules.[Foras 124],[136]

Branches cadettes
  • Monthouz du Barrioz
Attestée au XIIIe siècle[137] Originaire de Duingt[137]. Comtes du Barrioz, d'Argonay et de Saint-Martin, seigneurs de Duingt et Châteauvieux, de Leschaux, de Marcellaz, de Montagny, de Monthoux ; coseigneur de Cornillon et Marthod[Foras 124].
Maison de Montmayeur

D'argent, à l'aigle éployée de gueules, becquée et membrée d'azur.[Foras 125]

cimier : une aigle de même
supports : deux aigles de même[138].
Devise : Unguibus et rostro (par les ongles et le bec !)[139].
Cri de guerre : A moi, Montmayeur ![140]

Apparaît vers le XIIe siècle — Éteinte en 1487 — Relevée au XVe siècle par Jacques II de Montmayeur, issu d'une branche cadette installée en Tarentaise. Peut-être issu de la branche de Briançon[139], ils héritent de leurs titres en possession en mariant la dernière héritière de la branche cadette de cette puissante famille, Léonette Aigueblanche-Briançon[141]. Comtes de Montmayeur et de Brandis ; barons de Cusy, de Villarsallet, de Bussy, de Silans et d'Hermance[Foras 125].
Famille de Montvuagnard, Vuagnard, Montvagnard ou Vagnard (Wagnardi)

D'argent au lion de gueules, à la cotice d'or et de gueules brochante.[142],[Foras 126]

Citée en 1283 — Disparue au XVIIe siècle[143]. Seigneurs de Boëge (par mariage en 1425)[144], Lornay, château de Mécoras (Ruffieux), Château de Montfalcon, Château de Montvuagnard, Château de Pierrecharve (par mariage en 1507)[144], Rochefort, Senoches, Les Tours (Ayse, XIVe siècle)[144].
Maison de Mouxy

Échiqueté d'or et d'azur de quatre tires.[145],[Foras 127].

Devise : Honor aut mors (Honneur ou mort) ; Pacta Tuentur (...)

Branches cadettes
  • Maison de Mouxy de Loche : écartelé, aux 1 et 4 échiquetés d'or et d'azur de quatre traits ; aux 2 et 3 de gueules, au sautoir d'or[Borel 17].
Apparue vers le XIVe siècle. Marquis d'Hermance (1596) ; Comtes d'Arlod, Loche (ancienne seigneurie de Mognard, érigée en comté en 1683)[146] et Mognard ; Barons de Lupigny, Montfalcon, Montfort, St. Jeoire Seigneurs de Boussy, Cessens, Chapelle, Charosse, Châtel, Féternes, Lupigny, Mouxy, Pérouse, Planchamp, Pontchy, St. André, Thônes ; Coseigneurs de Ballaison, Clermont, Hauteville, château de Longefan[Foras 127].
Famille Noyel de Bellegarde, parfois Noël ou Noé

D’azur, à la fasce d'or courbée rayonnante et étincelante vers la pointe, (à partir de 1540, par concession) au chef du même chargé d’une aigle à deux têtes de sable.[Foras 128]

Anobli à la fin du XVe siècle[92],[147]. Jean Noyel, général des finances et trésorier de Savoie, petit-fils de notaire, ajoute à son nom Bellegarde à la suite de l'achat du château, en 1470[148],[149]. Originaire de Montmélian (Savoie Propre). Marquis de Cervens et Corsinge (1693), Les Marches (1682) ; comtes de Boringes, Entremont, Nangy ; seigneurs de Bellegarde, Bernex, Charmoisy, Draillant, Loys, Mieudry, Montgelaz, Saint-Cergues, Saint-Paul, Thonon, La Tour de Servette, Villarbigny ; coseigneurs de Montdragon[Foras 128].

O à Q[modifier | modifier le code]

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Blason Nom de famille, blasonnement et devise Périodes Possessions

Famille d'Orlier, Dorlier, d'Orlyé, d'Orlyer

D'or à l'ours de sable rampant (alias debout), langué et armé de gueules.[Foras 129],[150]

Devise : Tout par Fortune (Omni Fortuna)[Foras 129],[150]

Autre branche
  • Orlier de Saint-Innocent : De sable à l'ours rampant d'or.[Jougla 15]
Première mention au XIIIe siècle. Filiation remonterait à 1344[Foras 129],[Jougla 15]. Originaire de Savoie. Barons (1662) puis marquis de Saint-Innocent (1682)[151]. Seigneurs de St-Innocent, du Cengle (branche de Viuz-la-Chiésaz), etc., coseigneurs de Nernier, Bourgeois de Thonon (1593)[Foras 129],[150]
Famille de La Palud, Pallud, Palu

De gueules à la croix d'hermine[Foras 130],[Borel 18].

Cimier un ours Devise : Mourir plutôt que se souiller (Mourir plustost que le souiller)

Branche cadette
  • La Palud-Varembon
Première mention au XIIe siècle - Éteinte au début du XIXe siècle[152] Originaire de la Bresse[152]. Comtes de Varax et de La Roche-en-Montagne et Petite-Pierre ; vicomtes de Salins ; seigneurs de Varanbon, de Bouligneuxetc..
Famille de Perret, Perret d'Hauteville

D'or à la bande de sable chargée de trois dagues dont la pointe est tournée vers le cimier.[Foras 131],[153],[154]

Devise : VIRTUS ET ENSIS (La vaillance et l'épée)[153],[154]

Branche cadette
  • Perret d'Angloz (Éteinte au milieu du XIXe siècle)[154]
Bourgeois anobli en 1626. Éteinte en 1810[154]. Achat de la seigneurie d'Hauteville en 1724[155], fait comtes de Hauteville sur Rumilly en 1775[156] ; Seigneurs de Le Mollard, Truaz ; coseigneur de La Bastie Dardel
Famille de Pingon

D'azur à une fasce d'or.[Foras 132] ou De geule à trois gerbes d'or.[157].

Devise : Soli Deo Gloria

Branche cadette :

  • Pingon-Cusy : d'azur à une fasce d'or, flanquée de deux pointes d'argent appointées vers la fasce. (branche cadette)[Foras 132]
Éteinte en 1819[Foras 132]. Comtes de Sallenôves (par mariage) et de Pingon ; barons de Cusy ; Seigneurs de Prémeyzel, de Prangin en Bugey, de Savigny, de Salins et de Marlioz (par mariage)[Foras 132].
Famille Pobel
De sinople, à la bande d'or, chargée de trois coquilles de sable[Borel 19].
Apparaît vers le XVIe siècle. Originaire de Bonneville (Faucigny). Comtes de Saint-Alban (achat du château en 1584, érigé en baronnie en 1598, puis en comté en 1608[158]) ; barons de La Pierre (ou des Pierres en pays de Gex en 1654), de Châteauneuf ; seigneurs de Anières, Anuys, Ayse, Boisy, Chignin, Collonges, La Croix, Farges (1565), Le Molard, Péron (1654), Pontchy, Pougny, Pressy, Saint-Étienne, Saxel ; coseigneur de La Colliette.
bande ondée Famille Du Pont

D'azur à la bande ondée d'argent.[159]

Apparaît vers le XIIIe siècle. Disparition au XVIIe siècle[160]. Originaire de Pontamafrey (Maurienne) où les premiers membres surveillaient le pont sur l'Arc, hommes-liges des vicomtes de La Chambre[160]. Possessions d'une quarantaine de maisons fortes au XVIe siècle, entre Saint-Michel-de-Maurienne et Myans[161]. Seigneurs de Burgin (Sainte-Marie-de-Cuines), Combremont (pays de Vaud), Montarlot (Saint-Etienne-de-Cuines), Myans, Saint-Michel, Siens (?), Villaret (Le Châtel), Vorgerey (?)

R[modifier | modifier le code]

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Blason Nom de famille, blasonnement et devise Périodes Possessions
Famille de La Ravoire, La Ravoyre, Ravoyria, Ravoria[162]

Palé de six pièces d'argent et de gueules, à la bande d'azur brochant sur le tout.[Foras 133]

Branches[162]
  • de Montmélian ;
  • de Saint-de-Jean-de-la-Porte ;
  • de Saint-Alban-Leysse ;
  • de Passy-Chamonix.

Selon Félix Bernard, « les La Ravoire de Montmélian seraient, un rameau issu des Miolans »[163].

Les documents anciens favorisent la confusion entre les familles des Ravoire (Montmélian), des Rivoire (Dauphiné) et des Rovéréa (Chablais) puisqu'ils retranscrivent leurs noms de la « même manière et en une douzaine de formes différentes »[164]. Par ailleurs, Foras indique d'autres familles homonymes moins importantes, avec les Ravoire, Ravoyre et Ravoire de Queige[Foras 133],[Foras 134].

Remonterait au XIIe siècle[162],[165]. Eteinte au XVIIIe siècle[162]. Chevaliers originaires La Chavanne et Planaise (à proximité de Montmélian, en Savoie Propre)[162],[166] (peut-être issue de la maison de Miolans[162],[167]). Barons de Charansonnay ; seigneurs Châteaubochard, la Colliette, la Croix, Les Marches, Mollard, La Ravoire, Saint Alban, Silans, Tresserve ; coseigneurs de Cavallerleone, Escrivieux, Massigneu.
Famille de Reydet, Reydet de Vulpillières

D'azur, à la fasce d'or, accompagnée en chef de deux étoiles du même et en pointe d'un croissant d'argent.[Foras 135],[168]

Louis de Reydet, notaire de la Chambre apostolique anobli au XVe siècle[169]. Comtes de Vulpillieres, de Choisy et de La Balme. Barons de Grilly. Seigneurs de Manigod, de Rogemont, de Montmirel, de Pressy, de Pymont , d'Hauteville, de La Croix d'Aiguebelle, de Lermineux (ou d'Hermineux) , d'Annieres , de Balmont (ou Belmont)[Foras 135].
Famille de Riddes (De Rida)

Azur à la tour d'or senestré d'un pan de mur de même et crénelé comme la tour ouvert d'un portique sur lequel est une étoile d'or.[Foras 136],[170]

Branches[171]
  • Riddes de Belletour
  • Riddes de Charbonnière
XVIe siècle Originaire de Riddes (Valais), installée à Flumet (v. 1560)[171],[172],[173], héritiers de la famille de Salins en 1607[25]. Seigneurs de Bellecombe, Belletour, Bellevarde, Blay, Charbonnière, La Croix, Le Rosey, Saint Paul, Saint Thomas des Esserts, la Val de Bozel, la Val des Clets[Foras 136]. Châtelains en Haute Faucigny sur 4 générations (Bonneville, Beaufort, Flumet, Charousse, etc.)[174]
Famille de Rivoire (ou Rivoire de la Bâtie)

D'or, à trois (chênes) arrachés de sinople, rangés[175].

Fascé d'argent et de gueules, de 6 pièces, à la bande de France. La bande, chargée d'abord de fleurs de lys sans nombre, subit plus tard la réduction au nombre de trois, qu'avait adopté la maison royale. (après réunion du Dauphiné à la France)[175]
Fascé d'argent et de gueules de six pièces, a la bande d'azur chargée de trois fleurs de lis d'or. (Foras)[Foras 137]

L'auteur C. Mulleur indique quant à lui : D'or au chevron d'azur, chargé en chef d'un soleil d'or et en pointe de deux croissants d'argent[Foras 137],[176].

Mentionnée au XIIe siècle[175]. Chevaliers originaires du Dauphiné. Seigneur de La Bâtie Montgascon, Domessin, Lay, Pancalieri, Pont de Beauvoisin, Rochefort ; coseigneurs de Balmont, Cervens, Faverges, Pierre-Châtel, Rochefort[Foras 137].
Famille de Rochette

D'azur à un chef-pal du champ bordé d'or et chargé de cinq étoiles du même posées en tau(à confirmer).[Foras 138],[177]

Alliance avec les La Croix, seigneur de Scionzier, donnant naissance aux La Croix de La Rochette.

Chevaliers originaires du Chablais. Comtes de Arâches, La Croix, Scionzier (1699) ; barons de Beaufort, Donjon, Salagine (par mariage, 1675)[178], Villard, Burdignin, Cohendier et Villard (1684) ; seigneurs de Bourgeal, Hermineur, La Forest, Mont Saconnex, Saint Sigismond, Vougy[Foras 138].
Famille de La Rochette (Roccetta, Rochete, Rocchetta)

D’azur à trois rocs ou roquets d’échiquier, alias, fers de lance) d’or.[Foras 139]

Les La Rochette du Dauphiné portaient d'or, à trois rocs d'échiquier de sable[179]

Première mention au XIIe siècle — Éteinte au XVIe siècle[180]. Originaire de La Rochette (Savoie Propre). La branche principale s'éteint au plus tard au début du XVe siècle, une branche, dite La Rochette d'Alby, s'installe au XIIIe siècle en Albanais (Geenvois) et forme 3 rameaux, le dernier éteints au début du XVIe siècle[180]. La branche genevoise porte les titres de seigneurs de Pierrecharve, de Rougemont et de La Pesse[180].
Famille de Rolland, Roland, dite d'Alby ou de Marigny

D'azur à l'épée d'argent en pal la pointe en haut[Foras 140],[Jougla 16]

À distinguer des familles[181]. :

  • Rolland de la Biolle, de Mouxy et de Villard-Sallet, anoblie en 1564, portant d'azur au griffon contourné et couronné d'or)[Jougla 16].
  • Rolland de Versonnex, anoblie en 1621, portant d'azur au chevron d'or chargé d'un autre chevron de gueules accompagné de deux étoiles d'or en chef et d'un croissant du même en pointe.)[Jougla 16].
Mentionnée en 1504[181], anoblie par LP [Jougla 16]. Originaire d'Alby (Albanais-Comté de Genève). Seigneurs d’Alby, de Marigny[Foras 140].
Famille de Rovorée, Ravorée, Rovérée, Rovéréa

De gueules à la bande d'argent.[Foras 141]

Attestée depuis le XIe siècle[Foras 141],[182]. Chevaliers originaires du Chablais savoyard. Considérés parfois comme cadets de la maison de Faucigny. Barons de Brissogne ; seigneurs d'Avully, Bonneveaux, Cervens, Le Crest, Corsinge, Montbuiron, La Rovorée, La Val d'Aulps, Vailly, Urtières, Yvoire[Foras 141].

S[modifier | modifier le code]

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Blason Nom de famille, blasonnement et devise Périodes Possessions
Famille de Sacconay (Sacconeto), Saconney, Sachonay, Sacconay, Sacconex

De sable, à trois étoiles d'argent, au chef du même chargé d'un lion issant de gueules.[Foras 142],[Borel 20],[183]

Apparaît au XIIIe siècle. Seigneurs de Saconnex (Le Grand-Saconnex- Comté de Genève). Seigneurs d'Albeterre, La Bâtie Dardel, Bruel, Bursinel, Le Châtelard, Corsier, Ogny, Prat, Pregny, Rouz, Sacconex, Truaz, Vernier, Vesancy[Foras 142].
Famille de Saint-Jeoire

D'or au sautoir de sable.[Foras 143]

Mentionnée XIIe siècle. Originaire du Faucigny. Barons de Saint-Jeoire, de Féterne et d'Hermance ; Seigneurs d'Aléry, Beaucroissant, La Chapelle-Marin (1518-avt. 1607)[184], Les Ferrières, La Ravoire, Rovorée, Turchet, Yvoire[Foras 143].
Famille du Saix (de Saxo), parfois Dessaix

D'azur à trois bandes d'or ou écartelé d'or et de gueules.[185]

Ce nom étant commun dans la région, plusieurs familles ont porté ce nom, les Desaix (famille noble d'Auvergne), les Dessaix (famille non noble de Savoie), les Du Saix (Bresse), les Dussaix et les Dessaix (Faucigny)[186].

Cimier : Un globe chargé d'une écartelure semblable.
Supports : deux lions de gueules, armés d'or.
Devise : NON MOBILE SAXUM[185]

Branches
  • plusieurs savoyardes (cf. Guichenon)
  • branche suisse
Mentionnée vers le XIVe siècle — Branche suisse éteinte fin du XVe siècle[185]. Originaire de Bresse. Seigneur de Annet, Marignier, Montfalcon, Passeirier, Pontchy, Roche, Saix.
Blason Famille de Sales Famille de Sales

D’azur à deux fasces d’or surfascsées de gueules, accompagnées d’un croissant d’or en chef et de deux étoiles à six rayons, aussi d’or, posées l’une an abîme et l’autre en pointe.[Foras 144]
D'azur, à deux fasces d'or, chargées chacune d'une autre fasce de gueules, accompagnées d'un croissant d'or en chef et de deux étoiles à six rais d'or en cœur et en pointe.[Borel 21]

Couronne de marquis ou heaume de front à cinq grilles.
Cimier : Hercule avec une massue sur l'épaule droite. Tenants : deux sauvages ceints et couronnés de feuilles de peuplier, armés de massues abattues.
Devise : Nec plus nec minus ou Ny plus ny moins[Foras 144]
Cri d'armes : Mamours ! Mamours[187]

Remonterait au XIe siècle. Barons (1613), puis comtes (1632) puis marquis de Sales (1665)[188], originaires de La Roche-sur-Foron (Comté de Genève). Marquis de Trésum (achat en 1698) ; comtes de Duingt et de Châteauvieux (par achat en 1681[189]) ; barons de Couvette, Richemont, Thorens, La Thuile, Sales[Foras 144].
Famille de Sallenove, Sallenôves, Salanova ou Aula nova[190],[191]

Palé d'argent et de gueules de six pièces à la bande d'or, brochante sur le tout. ou Palé d'argent et de gueules de six pièces à la bande de gueules, brochante sur le tout.[Foras 145]

Devise: A VIRTUTE VIRI

Branches
  • En 1239, la branche aînée conserve le nom de Sallenove et la cadette prend celui de Viry[190]
  • Sallenôves de Viry ou Viry-Sallenove (XIIe siècle)
Mentionnée vers 1142[190] (issu de la famille de Chaumont tout comme la famille de Vidomne de Chaumont[192]). Coseigneur de Chaumont (1275)[190], Ternier ; barons de Sallenôve[Foras 145].
Famille de Sallier (Saillet), Sallier de La Tour

Parti de sable et de sinople au cheval nu, gai, d'argent.[Foras 146],[193]

Devise : Post funera lætor[Foras 146]

Branche
  • Sallier de la Tour Corio (Italie)
Anoblissement vers la fin de décembre 1634[Foras 146] ou le début de 1635[194]. À la Révolution française, installation en Italie. Mariage d'Humbert Sallier avec Françoise de Gilly permet d'obtenir les terres et les droits des familles de Gilly, de Serraval et de Bertrand de la Pérouse, dont le Tournon (1596)[195]. Marquis de Cordon (1700)[196] ; Comtes de Boringes ; Barons de Bourdeaux, Chevron (par achat en 1755), Combloux, Gilly. Duc de Corio.
Famille de Salteur (Sartoris)

De gueules, à une bande échiquier d'or et d'azur de trois traits, accompagnée de deux étoiles d'or (ou d'argent).[Foras 147],[Borel 22] (parfois de deux tires et l'échiqueté d'argent et d'azur.)[Foras 147]

Devise: FIDES ET OFFICIUM[Foras 147]

Branches[Foras 147]
  • Salteur de la Serraz : De gueules à la bande échiquetée de trois tires d’or et d'azur accompagnée de deux étoiles d'argent.
  • Salteur La Salle : de quelle à la bande échiquetée de trois livres d’azur et d'or accompagnée de deux étoiles d’argent.
Apparaît au XVIe siècle Bourgeois originaires de Rumilly[197]. Sénateur de Savoie anobli. Marquis de Samoëns (1699), La Serraz (1755), comtes de Saint-Pierre-de-Soucy ; seigneurs de Châtel de Culoz, Curtilles, Landaize, Molettes, Montprovens, La Salle, Villette[Foras 147].
Famille de Serraval

Palé de six pièces d'or, d'azur et de gueules.[198]
Foras indique « armoiries inconnues »[Foras 148]

Apparition milieu du XIIIe siècle. Disparition au XVIe siècle[Foras 148]. Originaire du comté de Genève et vassale des comtes, mais également hommes-liges des comtes de Savoie[199].
Famille de Seyssel

Gironné d'or et d'azur de huit pièces.[Foras 149],[Borel 22]

Supports : deux griffons (d'or ?)
cimier : un griffon (d'or ?)
Devise : Franc et Léal et Fortifer quod pie[Foras 149].

Fin du XIIe siècle ou début du siècle suivant (filiation)[Foras 149]. Seigneurs de Seyssel (Comté de Savoie). Marquis d'Aix (1575), de La Serraz (1654) ; Comtes de Seyssel ; Vicomte de Novalaise ; Barons de Montfalcon, Montfort[Foras 149].
Famille de Syons (Sion, Sions)

De gueules au cygne d'argent (becqué et patté de sable).[Foras 150]

Mentionnée vers le XIIIe siècle. Éteinte en 1857[Foras 150]. Seigneurs de Syons et de Montagny. Seigneurs et barons de Beauregard, de Creste et de Saint-André, en Genevois. Seigneurs de Vellières, en Bresse[Foras 150].

T à U[modifier | modifier le code]

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Blason Nom de famille, blasonnement et devise Périodes Origines et possessions
Famille de Ternier (anciennement Terny)

D'or à trois pals d'azur.[Foras 151],[200]

Mentionnée depuis le XIIe siècle — Éteinte en 1418[201]. Seigneurs notamment de Château de La Poype, dont ils sont originaires, etc.[Foras 151],[201]. Au XVe siècle, passent à la famille de Montchenu[201]
Famille de Thiollaz (de Thiolla)

De gueules à l'aigle naissante d'argent becquée de sable, accompagnée en chef à dextre de deux étoiles d'or.[Foras 152]

Devise: Post mortem lauda (Loue après la mort)[202]

Remonterait au début du XIVe siècle (inféodation du fief de Thiollaz )[203] Originaire de Thiollaz sur la paroisse de Chaumont (Comté de Genève). Seigneur de Montpont (1801)[Foras 152].
Famille de Thoire (Thoyre)

D'azur, à la bande d'argent.[Foras 153],[204]

Ne pas confondre avec les Thoire de la maison de Thoire-Villars.

Branche cadette
  • Thoire de Pilly
Remonterait au XIe siècle[204] — Éteinte au XIXe siècle[204]. Originaire du Faucigny, branche de la maison de Faucigny[205],[206]. Chevaliers, seigneurs de La Bâtie-Dardel, Bellecombe, Bossy, Brison, Carroz, Château-Blanc-d'Onion, Gravernel, Hauteville, Plagnes, Tour noire de Magland, Sirier, Vivier[Foras 153].

V à Z[modifier | modifier le code]

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Blason Nom de famille, blasonnement et devise Périodes Origines et possessions
Famille de Varax

écartelé de vair et de gueules.[Foras 154]

Devise : OMNIBUS UNUS

Originaire de Saint-Sorlin, de Richemont, en Bresse-Bugey. Comtes de Varx et marquis de Saint-Sorlin (lettres patentes de 1460)[207] ; comtes de Arlod ; seigneurs de Châtel (par mariage en 1559 avec Catherine de Verbos/Verboz[Foras 155]), Mons, Sainte-Hélène-des-Millières, Saxel, Semine, La Vernaz[Foras 154].
Famille de Verboz / Verbouz (Verbou, de Verbos, de Verbosis)

D'azur à la tour crénelée d'argent, maçonnée de sable.[Foras 156]

Apparu au XIIe siècle. Seigneur de Semine. Comté de Genève. Seigneur de Châtel sur les Usses[Foras 156] (inféodé en 1393 par le comte de Genève jusqu'en 1575 où elle passe à la famille de Varax, à la suite du mariage en 1559 entre Jean Philibert de Varax et Catherine Bailland de Verbos)
Famille de Verdon ou Verdun (de)

D'azur au lion d'or ou de sinople au lion d'or.[Foras 157]

Rameau d'une des familles de Chignin (XIIIe siècle)[208]. Seigneur de Chalex, de La Corbière, de Cornillon, de Marthod, de Verdon (Château)[Foras 157].
Blason de Vidomne de Chaumont Famille de Vidomne de Chaumont

Palé d’argent et d’azur au chevron de gueules.[Foras 158]

Branches cadettes
  • Vidomne de Novéry
  • Vidomne de Charmoisy
Mentionnée dès le XIIe siècle[209]. Issu de la famille de Chaumont Comté de Genève. Barons de Couvette ; seigneurs de Anthy, La Chapelle, Charmoisy, Durzilly, Epagny, Folliet, Lausenette, Marclaz (par mariage en 1515, puis passe à la maison des Maréschal), Montségur, La Motte, Novery, Villy (acheté 1397) ; coseigneurs de Cormand[Foras 158].
Famille Vignet

D'argent, à deux fasces de sable chargées la première de deux raisins d'or, la seconde de même.[Foras 159]

Devise : Droit chemin. Bon chemin[Foras 159]

Mention au XVIIe siècle. Noblesse au XIXe siècle[Foras 159]. Originaire du Chablais, famille bourgeoise de Thonon. Barons des Étoles (par achat 1757) et de Montgex (1789)[Foras 159]. Titre de comte par L.P. du , et de baron par L.P. du [Foras 159].
Blason Villars Famille de Villars

Bandé d'or et de gueules de six pièces.[210]

  • Devise : Villars ![210]

Devient Thoire-Villars par mariage, vers 1188, de l'héritière Agnès de Villars avec Étienne de Thoire[210].

Attestée par archive à partir de 940. Originaire de Villars (Dombes). Contrôle de la majeure partie des seigneuries du haut-Bugey et des Dombes. Comte d'Avelin (jusqu'en 1389), de Beaufort (1394) et de Genève (1394) ; Seigneurs puis barons de Villars, d'Aubonneetc.. Vente des droits en 1401 au duc de Savoie.
Famille de Viry

Palé d'argent et d'azur[Foras 145].

On trouve aussi Palé d'argent et de gueules (alias d'azur), à la bande de gueules, brochante sur le tout.

Les noms de Viry et de Sallenove sont portés indistinctement jusqu'en 1239 où Hugues II de Viry partage la branche entre ces trois fils[190],[191].

Devise : A VIRTUTE VIRI[211].

Branches
  • Viry
  • Viry-Pimont
Remonterait au XIe siècle — Issue de la famille de Sallenove[190],[191] — Seconde moitié du XVIe siècle, reprise par une branche cadette des biens de la branche aînée, ruinée[191]. Seigneurs, comtes de Viry (Comté de Genève). barons de Ternier, etc.[Foras 145].

Les communes savoyardes[modifier | modifier le code]

Pour les blasons concernant les communes des deux départements savoyards, consulter les articles suivants :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Mention d'un Humbert d'Arvillard en 1058, avec son fils et son petit-fils ainsi qu'une fille, Oda, à travers une donation pour la fondation d'un prieuré à Domène (Grésivaudan)[22].
  2. Foras fait l'hypothèse qu'il s'agirait probablement d'une seule et même famille[Foras 14]. L'historien Félix Bernard « D'après ces textes, les Apremont et les La Baume ont donc des biens intimement mêlés et même des intérêts identiques. Ils doivent être de la même famille »[27].
  3. Ne pas confondre la famille de La Faverge avec les seigneurs de Faverges (de Fabricâ), originaire du Dauphiné et qui devint la famille de Rébé. Il n'y a aucun lien avec la commune de Faverges où une famille seigneuriale, les de Faverges (Fabricis) possédaient le château.
  4. Aviernoz, Les Ollières et la Grimottière formait une seigneurie érigée en comté en 1699[125].
  5. Une version plus explicite est "écartelé au 1 et 4 d'argent à l'aigle éployée de sable, béqué et membré d'or ; au second et troisième contre-écartelé d'hermine et de gueules." donnée par l'abbé Aubert de Vertot dans son Histoire des chevaliers hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem[132].

Références spécialisées[modifier | modifier le code]

Annuaire de la noblesse de France (1861)

(section « Bibliographie »)

  1. p. 373.
  2. a b et c Borel, p. 374.
  3. pp. 374-375.
  4. pp. 376.
  5. pp. 376-377.
  6. a b c d e et f p. 377.
  7. pp. 158-159.
  8. pp. 378-379 (lire en ligne).
  9. vol. 22, p. 335 (lire en ligne).
  10. a b et c p. 379 (lire en ligne).
  11. a et b Borel, p. 380 (présentation en ligne).
  12. pp. 379-380 (lire en ligne).
  13. pp. 387-388.
  14. p.186-187.
  15. a b c d e et f p. 381.
  16. a et b p. 383.
  17. Borel, p. 384, mais le dessin est inversé.
  18. p. 358.
  19. p. 386-387.
  20. p. 209, 386.
  21. p. 386.
  22. a et b p. 387.
Armorial et nobiliaire de l'ancien duché de Savoie (1863-1910)

(section « Bibliographie »)

  1. a b et c vol. 1, pp. 12-14 lire en ligne.
  2. a b c et d vol. 1, pp. 15-17 (lire en ligne.
  3. a b c d e f et g vol. 1, pp. 19-21 (lire en ligne).
  4. a b c et d vol.1 pp. 22-36 (lire en ligne).
  5. a b et c vol. 1,pp. 41-43 (lire en ligne).
  6. a et b vol. 1, pp. 46 (lire en ligne).
  7. a b et c vol. 1, pp. 50 (lire en ligne).
  8. a b c et d vol. 1, pp. 51-53 (lire en ligne).
  9. a b c et d vol. 1, pp. 61-64 (lire en ligne).
  10. a b c d et e vol. 1, pp. 68, 70-71 (lire en ligne).
  11. a b c d e et f vol. 1, pp. 73-75 (lire en ligne).
  12. a b et c vol. 1, pp. 79 (lire en ligne).
  13. a et b vol. 1, pp. 92-97 (lire en ligne).
  14. a b c d et e vol. 1, pp. 99-102 (lire en ligne).
  15. a b c et d vol. 1, pp. 103-108 (lire en ligne).
  16. a et b vol. 1, pp. 108-110 (lire en ligne).
  17. a b et c vol. 1, pp. 135-139 (lire en ligne).
  18. a b et c vol. 1, pp. 144-156 (lire en ligne).
  19. a b et c vol. 1, pp. 162-170 (lire en ligne).
  20. a b c et d vol. 1, pp. 171-174 (lire en ligne).
  21. a b et c vol. 1, pp. 189-195 (lire en ligne).
  22. a b c d e f g h et i vol. 1, pp. 211-232 (lire en ligne).
  23. a b et c vol. 1, pp. 233-238 (lire en ligne).
  24. a b c d et e vol. 1, pp. 239-241 (lire en ligne).
  25. a b c et d vol. 1, pp. 247-252 (lire en ligne).
  26. a b c et d vol. 1, p. 266 (présentation en ligne).
  27. a b et c vol. 1, pp. 275-278 (lire en ligne).
  28. vol. 1, p. 278 (lire en ligne).
  29. a et b vol. 1, p. 6 (lire en ligne).
  30. a b c et d vol. 1, pp. 287-294 (lire en ligne).
  31. a b c d et e vol. 1, pp. 299-301 (lire en ligne).
  32. a b c d e et f vol. 1, pp. 302-303 (lire en ligne).
  33. a et b vol. 1, pp. 320-324 (lire en ligne).
  34. a b c d e et f vol. 1, pp. 327-337 (lire en ligne).
  35. a b et c vol. 1, pp. 342-346 (lire en ligne).
  36. a b et c vol. 1, pp. 349-358 (lire en ligne).
  37. a b et c vol. 1, pp. 362-364 (lire en ligne).
  38. a et b vol. 1, pp. 383-391 (lire en ligne).
  39. a b et c vol. 1, pp. 392-398 (lire en ligne).
  40. a b c et d vol. 1, pp. 399-402 (lire en ligne).
  41. a b et c vol. 2, pp. 1-3 (lire en ligne).
  42. a b c d et e vol. 2, pp. 5-31 (lire en ligne).
  43. a b c et d vol. 2, pp. 32-41 (lire en ligne).
  44. a b c et d vol. 2, pp. 42-60 (lire en ligne).
  45. a b c d et e vol. 2, pp. 75-89(lire en ligne).
  46. a b et c vol. 2, pp. 90-98 (lire en ligne).
  47. a b c d et e vol. 2, pp. 99-103 (lire en ligne) et pp. 104-107 (lire en ligne).
  48. vol. 2, pp. 104-107 (lire en ligne).
  49. a b c d et e vol. 2, pp. 123-134 (lire en ligne).
  50. vol. 2, p. 131 (lire en ligne).
  51. vol. 2, pp. 135-141 (lire en ligne).
  52. a b et c vol. 2, pp. 141-147 (lire en ligne).
  53. a b c d et e vol. 2, pp. 153-156 (lire en ligne).
  54. a b c et d vol. 2, pp. 157-163 (lire en ligne).
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  56. a b c d et e vol. 2, pp. 170-178 (lire en ligne).
  57. a b et c vol. 2, pp. 179-184 (lire en ligne).
  58. a b c d e et f vol. 2, pp. 185-193 (lire en ligne).
  59. a b c d et e vol. 2, pp. 195-202 (lire en ligne).
  60. a et b vol. 2, pp. 203-207 (lire en ligne).
  61. a b c d e f et g vol. 2, pp. 218-225 (lire en ligne).
  62. a b et c vol. 2, pp. 231-235 (lire en ligne).
  63. a b c et d vol. 2, pp. 236-241 (lire en ligne).
  64. a b et c vol. 2, pp. 252-255 (lire en ligne).
  65. a b et c vol. 2, pp. 263-265 (lire en ligne).
  66. a b et c vol. 2, pp. 285-293 (lire en ligne).
  67. a b c d et e vol. 3, pp. 337-364 (lire en ligne).
  68. a b c d e f et g vol. 2, pp. 317-354 (lire en ligne).
  69. a b et c vol. 2, pp. 357-359 (lire en ligne).
  70. a b c et d vol. 2, pp. 361-365 (lire en ligne).
  71. a b c d e et f vol. 2, pp. 367-369 (lire en ligne).
  72. a b et c vol. 2, p. 376 (lire en ligne).
  73. a et b vol. 2, pp. 381-382 (lire en ligne).
  74. a b et c vol. 2, pp. 388-398 (lire en ligne).
  75. a b c et d vol. 2, pp. 407-422 (lire en ligne).
  76. a b et c vol. 2, pp. 423-441 (lire en ligne).
  77. a b c et d vol. 3, pp. 17-22 (lire en ligne).
  78. a b c d et e vol. 3, pp. 23-29 (lire en ligne).
  79. Voir au « Supplément ».
  80. a b et c vol. 3, pp. 61-62 (lire en ligne).
  81. a b c et d vol. 3, pp. 63-71 (lire en ligne).
  82. vol. 3, pp. 72-79 (lire en ligne).
  83. vol. 3, pp. 80-83 (lire en ligne).
  84. a b c et d vol.3, pp. 90-108 (lire en ligne).
  85. a b c et d vol. 3, pp. 109-111 (lire en ligne).
  86. a et b vol. 3, pp. 112-119 (lire en ligne).
  87. a et b vol. 3, pp. 120-121 (lire en ligne).
  88. a b c et d vol. 3, pp. 126-133 (lire en ligne).
  89. a b c et d vol. 3, pp. 150-151 (lire en ligne).
  90. a b et c vol. 3, pp. 152-161 (lire en ligne).
  91. a et b vol. 2, p. 324 (lire en ligne).
  92. a b et c vol. 3, p. 167 (lire en ligne).
  93. a b c d e f g h et i vol. 3, pp. 190-195 (lire en ligne).
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Autres références[modifier | modifier le code]

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Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Armoriaux[modifier | modifier le code]

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  • Amédée de Foras, continué par François-Clément de Mareschal de Luciane, Armorial et Nobiliaire de l'Ancien Duché de Savoie, vol. 5, Grenoble, Allier Frères, 1863-1910 (lire en ligne). Volumes consultables sur Gallica
    • Volume 1 : Achard-Chevaliers de l'ordre de... (lire en ligne)
    • Volume 2 : Chevelu (de)- Forestier (lire en ligne)
    • Volume 3 : Fornerat - Menthonay (lire en ligne)
    • Volume 4 : Merande-Portier de Mauriène
    • Volume 5 : Portier de Rumilly - Vulliet
  • Henri Jougla de Morenas et Raoul de Warren, Grand armorial de France : catalogue général des armoiries des familles nobles de France, comprenant les blasons des familles ayant possédé des charges dans le royaume et de celles ayant fait enregistrer leurs armoiries en 1696, de la noblesse de l'Empire, des anoblissements de la Restauration, donnant les tableaux généalogiques de familles confirmées dans leur noblesse entre 1660 et 1830 (sept volumes), Société du Grand armorial de France, 1934-1952 (BNF 34209165). L'ouvrage est composé de sept volumes répartis ainsi :
  • Gustave de Rivoire de La Bâtie, L'armorial de Dauphiné : contenant les armoiries figurées de toutes les familles nobles & notables de cette province, accompagnées de notices généalogiques complétant jusqu'à nos jours les nobiliaires de Chorier et de Guy Allard, Lyon, impr. de L. Perrin, (lire en ligne)

Travaux des sociétés savantes de Savoie[modifier | modifier le code]

Travaux spécifiques[modifier | modifier le code]

Ouvrages sur les communes et les provinces[modifier | modifier le code]

  • Michèle Brocard, Lucien Lagier-Bruno et André Palluel-Guillard, Histoire des communes savoyardes, vol. 1 : Chambéry et ses environs. Le Petit Bugey, Roanne, Éditions Horvath, , 475 p. (ISBN 978-2-7171-0229-1).
  • Michèle Brocard, Lucien Lagier-Bruno, André Palluel-Guillard, Histoire des communes savoyardes : Aix-les-Bains et ses environs - Les Bauges - La Chartreuse - La Combe de Savoie - Montmélian (vol. 2), Roanne, Éditions Horvath, , 463 p. (ISBN 978-2-7171-0310-6).
  • Michèle Brocard, Maurice Messiez-Poche, Pierre Dompnier, Histoire des communes savoyardes : La Maurienne - Chamoux - La Rochette (vol. 3), Roanne, Éditions Horvath, , 558 p. (ISBN 978-2-7171-0289-5).
  • Marius Hudry, Histoire des communes savoyardes : Albertville et son arrondissement (vol. 4), Roanne, Éditions Horvath, , 444 p. (ISBN 978-2-7171-0263-5).
  • Henri Baud, Jean-Yves Mariotte, Histoire des communes savoyardes : Le Chablais, Roanne, Éditions Horvath, , 422 p. (ISBN 978-2-7171-0099-0).
  • Henri Baud, Jean-Yves Mariotte, Alain Guerrier, Histoire des communes savoyardes : Le Faucigny, Roanne, Éditions Horvath, , 619 p. (ISBN 2-7171-0159-4).
  • Henri Baud, Jean-Yves Mariotte, Jean-Bernard Challamel, Alain Guerrier, Histoire des communes savoyardes. Le Genevois et Lac d'Annecy (Tome III), Roanne, Éditions Horvath, , 422 p. (ISBN 2-7171-0200-0).
  • Jean-Louis Grillet, Dictionnaire historique, littéraire et statistique des départements du Mont-Blanc et du Léman, contenant l'histoire ancienne et moderne de la Savoie, vol. 3, t. 2, Chambéry, J.F. Puthod, .

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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