Josiane Balasko

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Josiane Balasko
Description de cette image, également commentée ci-après
Josiane Balasko en février 2020.
Nom de naissance Josiane Balašković
Naissance (73 ans)
Paris 9e (France)
Nationalité française
Profession Actrice
Réalisatrice
Scénariste
Romancière
Dialoguiste
Costumière
Films notables voir filmographie.

Josiane Balašković, dite Josiane Balasko, née le à Paris 9e, est une actrice et réalisatrice française, également scénariste, romancière, dialoguiste et costumière.

Elle est l'un des membres de la troupe du Splendid. Au cours de sa carrière, elle est récompensée par trois César : celui du meilleur scénario original ou adaptation pour Gazon maudit en 1996 puis deux César d'honneur en 2000 et 2021.

Elle a également été nommée aux César de la meilleure actrice pour Trop belle pour toi (1989) et Tout le monde n'a pas eu la chance d'avoir des parents communistes (1993), puis pour le polar Cette femme-là (2003)[1].

Biographie[modifier | modifier le code]

Enfance et formation[modifier | modifier le code]

Fille d'Ivan Balašković (1903-1964), un Croate né à Tordinci (en Croatie alors en Autriche-Hongrie), et de Fernande Gattechaut (16/06/1911-20/03/1999)[2], née à Nice[3], Josiane Balasko grandit dans un milieu modeste. Elle vit avec ses parents, son frère aîné et ses grands-parents dans trois chambres de bonne séparées, avec eau sur le palier[4]. Son père est veilleur de nuit. Elle est baptisée catholique le [5].

En mai 1954, ses parents quittent Paris pour tenir un restaurant pour ouvriers à Saint-Quentin[6]. En 1956, ils retournent à Paris, dans le 10e arrondissement, pour y tenir un restaurant plus grand[7].

À l'âge de huit ans, elle souffre de rhumatismes articulaires qui l'obligent, outre ses deux piqûres journalières de cortisone, à être alitée pendant six mois et à ne pas sortir de chez elle pendant un an, elle s'occupe en dessinant[8].

Son père meurt d'un cancer du poumon alors qu'elle a quatorze ans, elle est alors élevée par sa mère et sa grand-mère à Neuilly-en-Thelle, une petite ville de l'Oise[9] où sa mère a acheté une auberge[10]. Juste avant la mort de son père, elle avait appris qu'elle avait un demi-frère en Yougoslavie. Elle passera désormais ses vacances familiales dans ce pays, puisant dans cette histoire l'inspiration de son film Demi-sœur[11].

Elle suit d'abord des cours de dessin à l'École des arts graphiques, mais échoue à l'examen d'entrée à l'École nationale supérieure des arts décoratifs[12]. Elle découvre sa vocation lorsqu'une amie l'emmène dans un de ses cours de théâtre de Tania Balachova. Elle décide alors de les suivre également[13] et devient caissière au Théâtre de Poche où elle joue également[14]. Après le décès de sa grand-mère et en froid avec sa mère, la jeune femme de vingt ans trouve refuge chez la comédienne Douchka[15].

Révélation comique (années 1980)[modifier | modifier le code]

Alors qu'elle est en tournée en province avec une troupe de théâtre pour enfants et qu'elle s'ennuie le soir dans sa chambre d'hôtel, Josiane Balasko écrit, à vingt-deux ans, son premier scénario, Quand je serai grande, je serai paranoïaque[16], qu'elle interprète avec une autre actrice prénommée Maryse au café-théâtre de l'Odéon[17].

En 1976, elle rejoint la troupe du Splendid où elle remplace Valérie Mairesse dans Le pot de terre contre le pot de vin puis y joue dans Ginette Lacaze[18]. Dans sa jeunesse, elle joue principalement des rôles d'anti sex-symbol. Elle côtoie dans la troupe du Splendid Gérard Jugnot, Marie-Anne Chazel, Thierry Lhermitte, Christian Clavier, Bruno Moynot et Michel Blanc. Elle est souvent cantonnée aux rôles de bonne copine à problèmes ou de jeune femme complexée.

En 1985, elle passe pour la première fois à la réalisation en signant la comédie acide Sac de nœuds, dont elle partage l'affiche avec Isabelle Huppert. Dans sa deuxième réalisation en 1987, la comédie policière Les Keufs, elle forme un tandem d'inspecteurs avec l'acteur ivoirien Isaac de Bankolé.

Comme actrice, c'est en 1989 que, grâce à Bertrand Blier, elle quitte le registre de faire-valoir pour incarner, dans Trop belle pour toi, la maîtresse d'un riche agent commercial – le rôle est tenu par Gérard Depardieu – qui a pour épouse une très belle femme, en l'occurrence Carole Bouquet. Son interprétation lui vaut sa première nomination au César de la meilleure actrice.

Reconnaissance critique (années 1990)[modifier | modifier le code]

Elle revient à la comédie noire comme réalisatrice en 1991 avec Ma vie est un enfer, où elle joue une trentenaire dépressive face à Daniel Auteuil. Mais c'est en 1993 qu'elle décroche sa seconde nomination au César de la meilleure actrice, grâce au rôle principal de la comédie Tout le monde n'a pas eu la chance d'avoir des parents communistes, de Jean-Jacques Zilbermann.

Elle enchaîne avec un autre succès, en 1995, cette fois comme actrice, scénariste et cinéaste. Elle se confronte au sujet de l'homosexualité féminine en incarnant une lesbienne dans la comédie Gazon maudit avec Alain Chabat en 1995. Elle est récompensée par le César du meilleur scénario en 1996 (partagé avec Telsche Boorman et Patrick Aubrée). Le film est aussi nommé dans les catégories meilleur film, meilleur acteur et meilleur acteur dans un second rôle.

Elle s'offre alors des premiers rôles dans des comédies fidèles : en 1997, elle tient le rôle-titre de la comédie Arlette, sous la direction de Claude Zidi. L'année suivante, elle livre sa cinquième réalisation, la comédie Un grand cri d'amour, qui l'oppose cette fois à Richard Berry. En 1999, elle mène la comédie d'aventure Le Fils du Français, de Gérard Lauzier. En 2001, elle partage l'affiche de Un crime au paradis, de Jean Becker, avec Jacques Villeret. Elle essuie cependant un flop critique et commercial cette même année, la comédie Absolument fabuleux, adaptation de la série télévisée anglaise Absolutely Fabulous dont elle partage l'affiche avec Nathalie Baye.

Les années 2000 vont lui permettre de sortir du registre comique.

Passage au registre dramatique (années 2000)[modifier | modifier le code]

L'actrice avec son César d'honneur aux côtés de Daniel Auteuil, Catherine Deneuve et Karin Viard aux Césars, en 2000.

La décennie débute avec la remise d'un César d'honneur en 2000, saluant l'ensemble de sa carrière[19].

En 2003, elle impressionne en tête d'affiche du polar Cette femme-là, réalisé par Guillaume Nicloux. Sa performance en enquêtrice lui vaut sa troisième nomination au César de la meilleure actrice.

Deux ans plus tard, elle adapte sa propre pièce de théâtre au cinéma, L'Ex-femme de ma vie, dont elle partage l'affiche avec Thierry Lhermitte et Karin Viard. La même année, elle poursuit dans un registre dramatique en jouant Marguerite Duras dans le drame historique J'ai vu tuer Ben Barka, mené par Charles Berling. Mais surtout, elle retrouve la bande du Splendid pour Les Bronzés 3 : Amis pour la vie, dernier chapitre de la trilogie, toujours sous la direction de Patrice Leconte.

En 2008, c'est comme réalisatrice qu'elle se lance dans le drame : avec son septième film, Cliente, elle dirige Nathalie Baye et se confronte à un sujet rarement traité au cinéma, celui de la prostitution masculine. L'année suivante, elle joue le rôle-titre de la comédie dramatique Le Hérisson, réalisée par Mona Achache.

Seconds rôles (années 2010 et suivantes)[modifier | modifier le code]

Josiane Balasko en , au théâtre de Namur.

À partir de la décennie 2010, elle va se voir confier surtout des seconds rôles dans des comédies, parfois dramatiques : en 2011 dans la comédie Beur sur la ville, de Djamel Bensalah puis Un heureux événement, de Rémi Bezançon. En 2012, elle joue la mère revêche de Mathilde Seigner et Marina Foïs dans Maman d'Alexandra Leclère. Puis en 2013, elle apparaît dans Les Gazelles, de Mona Achache.

Retour aux premiers rôles en 2012 pour la comédie dramatique Mes héros, d'Éric Besnard, aux côtés de Gérard Jugnot. C'est avec Michel Blanc qu'elle aborde ensuite le sujet du handicap mental avec le drame Demi-sœur, dont elle est également la réalisatrice.

En 2015, elle fait partie du casting choral de la comédie populaire Le Grand Partage, d'Alexandra Leclère. L'année suivante, dans Joséphine s'arrondit, elle joue le rôle de la mère de l'héroïne, incarnée par sa propre fille, Marilou Berry.

En 2016, elle connaît un nouveau succès comique populaire en incarnant une mère à la fois touchante et énervante dans Retour chez ma mère, d'Éric Lavaine. Cette fois, Alexandra Lamy et Mathilde Seigner jouent ses filles. En 2019, elle figure au casting de la comédie populaire All Inclusive, de Fabien Onteniente.

Parallèlement à ces comédies, elle apparait dans des drames : en 2017, Un beau soleil intérieur, de Claire Denis, porté par Juliette Binoche ; en 2018, Volontaire, d'Hélène Fillières mais aussi le très médiatisé Grâce à Dieu, de François Ozon ; et en 2019 le thriller historique L'Intervention, de Fred Grivois.

Engagements[modifier | modifier le code]

Josiane Balasko est membre des Enfoirés (l'association caritative fondée par Coluche). En 2015, elle dénonce un engagement confortable des artistes au sein des Enfoirés, affirmant : « On ne risque pas de se faire charger par les CRS, ce qui est quand même confortable. C'est pas comparable. Quand on me dit : “Vous vous engagez, auprès des Restos”, je dis : “Non, on s'amuse gentiment”[20]. »

Par ailleurs en 2006, à la suite de l'expulsion d'un squat au Crous de Cachan, elle soutient la cause des 1000 de Cachan[21]. Elle défend en 2009, aux côtés de Carole Bouquet notamment, les familles africaines de la rue de la Banque à Paris et, en 2010, les sans-papiers de la rue du Regard.

Entre 2008 et 2011 elle se trouve régulièrement dans les cortèges de l'association Droit au logement[20].

Lors de l'élection présidentielle de 2012, elle soutient le candidat François Hollande[22] et est présente le sur la place de la Bastille pour fêter sa victoire. En 2017, elle soutient les candidats du Parti communiste français aux élections législatives[23].

En , à la suite de la démission de Nicolas Hulot, elle signe avec Juliette Binoche la tribune contre le réchauffement climatique intitulée « Le plus grand défi de l'histoire de l'humanité », qui paraît en une du journal Le Monde, avec pour titre L'appel de 200 personnalités pour sauver la planète[24].

Lors des élections européennes de 2019, elle annonce dans les colonnes de L'Humanité son soutien à la liste du Parti communiste français, « Pour l'Europe des gens, contre l'Europe de l'argent », menée par Ian Brossat[25]. Elle justifie cette position par « les valeurs populaires, jamais populistes » qu'elle dit avoir pu voir chez les adhérents de ce parti[26],[27]. Elle prête sa voix au clip de campagne[28].

Vie privée[modifier | modifier le code]

George Aguilar et Josiane Balasko en mars 2019

De 1974 à 1981, Josiane Balasko est la compagne de Bruno Moynot (membre de la troupe du Splendid, comme elle)[29].

D'une deuxième union avec le sculpteur Philippe Berry (1956-2019), frère du comédien Richard Berry, elle a une fille, Marilou Berry[30], née le à Paris, elle-même actrice, et un fils adopté, Rudy Berry, né en 1988.

Divorcée de Philippe Berry en 1999, elle se remarie avec l'acteur américain George Aguilar en 2003[31], qu'elle a rencontré sur le plateau du Fils du Français en 1999.

Filmographie[modifier | modifier le code]

Actrice[modifier | modifier le code]

Cinéma[modifier | modifier le code]

Années 1970[modifier | modifier le code]
Années 1980[modifier | modifier le code]
Années 1990[modifier | modifier le code]
Années 2000[modifier | modifier le code]
Années 2010[modifier | modifier le code]
Années 2020[modifier | modifier le code]
Télévision[modifier | modifier le code]
Doublage[modifier | modifier le code]

Réalisatrice[modifier | modifier le code]

Scénariste[modifier | modifier le code]

Créatrice de costumes[modifier | modifier le code]

Box-office des films réalisés par Josiane Balasko[modifier | modifier le code]

Fréquentation des films de Josiane Balasko ayant attiré au moins un million de spectateurs en France.
Films Années France (entrées)
1 Gazon maudit 1995 3 990 094
2 Ma vie est un enfer 1991 1 170 523
3 Les Keufs 1987 1 071 467

Théâtre[modifier | modifier le code]

Publications[modifier | modifier le code]

  • Le Père Noël est une ordure, Actes Sud - Papiers, (ISBN 2-86943-052-3) - (version théâtre : fin différente du film avec l'explosion de gaz).
  • Cliente, Fayard, 2004. Un artisan marié, ouvrier du bâtiment, se fait gigolo auprès de femmes ayant la cinquantaine ; son but est d'aider son épouse.
  • Parano express, Fayard, 2006 Histoire d'Antoine, trentenaire, une vie normale, bien sous tous rapports. Sa vie bascule lorsqu'une vieille sourde et muette lui donne un billet divinatoire lui annonçant une catastrophe.
  • La nuit sera chaude, Actes Sud, 2011.
  • Jamaiplu, Editions Pygmalion, 2019. Josiane Balasko propose ici un recueil de huit nouvelles fantastiques.

Distinctions[modifier | modifier le code]

Récompenses[modifier | modifier le code]

Nominations et sélections[modifier | modifier le code]

Décorations[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. « Prix et nominations de Josiane Balasko », sur Allociné (consulté le ).
  2. « Fichier des personnes décédées »
  3. Jean-Louis Beaucarnot et Frédéric Dumoulin, Dictionnaire étonnant des célébrités, First Editions, 2015, page 30.
  4. L'Hebdo Cinéma, n°21, semaine du 20 au 26 mars 1985, p.44, interview de Josiane Balasko par Leslie Bedos : "Mes quatre premières années, je les ai passées, entassée avec mes parents, mes grands-parents et mon frère dans trois mansardes avec l'eau sur le palier. On devait sortir pour aller d'une pièce à l'autre."
  5. L'Hebdo Cinéma, n°21, semaine du 20 au 26 mars 1985, p.44, interview de Josiane Balasko par Leslie Bedos : "J'ai aussi un souvenir très précis de mon baptême, j'avais deux ans (avant on avait pas les sous) : j'étais en larmes parce que mes chaussures vernies me faisaient mal... Alors quand le curé a eu la bonne idée de me mettre du sel sur la langue, de rage je lui ai pissé dessus."
  6. L'Hebdo Cinéma, n°21, semaine du 20 au 26 mars 1985, p.44, interview de Josiane Balasko par Leslie Bedos : "On avait déménagé pour Saint-Quentin, près d'une usine. On avait une pièce de 10 m² qui faisait resto, et l'autre un peu plus grande pour nous tous. Ma mère, qui faisait très bien la cuisine, a laissé tomber son boulot de représentante à vélo, pour se lancer dans la restauration. Elle a mis quatre tables et fait publier des tracts que j'ai gardés en souvenir... C'était : "À partir de 12 mai 54, plus besoin de gamelles - plats chauds à emporter - prix modérés", c'était émouvant."
  7. L'Hebdo Cinéma, n°21, semaine du 20 au 26 mars 1985, p.46, interview de Josiane Balasko par Leslie Bedos : "L'année de mes six ans, ils se sont installés dans un plus grand restaurant, entre la gare du Nord et la gare de l'Est. Mon père a quitté son boulot pour aider ma mère qui passait son temps à transpirer devant ses fourneaux à l'heure du coup de feu. Ils avaient une clientèle de postiers, de voyageurs et quelques habitués."
  8. L'Hebdo Cinéma, n°21, semaine du 20 au 26 mars 1985, p.46, interview de Josiane Balasko par Leslie Bedos : "J'ai eu des graves rhumatismes articulaires, on m'a soignée à la cortisone. Je suis restée six mois sans me lever, et un an sans sortir. Les clients venaient aider mes parents à me tenir pour les deux piqûres quotidiennes."
  9. « Josiane Balasko », sur plurielles.fr,
  10. L'Hebdo Cinéma, n°21, semaine du 20 au 26 mars 1985, p.46, interview de Josiane Balasko par Leslie Bedos : "Ma mère, qui est une fonceuse, a acheté une auberge pourrie à 60 bornes de Paris, dans l'Oise, et on s'est installées là-bas. C'était un ancien relais de poste où on faisait noces et banquets. Ces trois femmes seules à la campagne, au départ ça a fait un peu jacasser... Les gens trouvaient ça étrange."
  11. Esther Leneman, « Les petites voix » sur Josiane Balasko, émission sur Europe 1, 24 août 2013.
  12. L'Hebdo Cinéma, n°21, semaine du 20 au 26 mars 1985, p.46, interview de Josiane Balasko par Leslie Bedos : "Recalée à 18 ans aux Arts Déco, y'avait pas de quoi faire l'intéressante..."
  13. L'Hebdo Cinéma, n°21, semaine du 20 au 26 mars 1985, p.46, interview de Josiane Balasko par Leslie Bedos : "J'ai fini par croiser une ancienne copine qui m'a emmenée, moi et mon carton à dessin, au cours de Tania Balachova. Je suis restée."
  14. L'Hebdo Cinéma, n°21, semaine du 20 au 26 mars 1985, p.46, interview de Josiane Balasko par Leslie Bedos : "Pour gagner ma croûte, j'étais caissière au Théâtre de Poche, et j'ai joué une mauvaise pièce pleine de sketches hippies à messages. Une horreur."
  15. Clara Laurent, Josiane Balasko : une vie splendide, Paris, Éditions Tallandier, , 333 p. (ISBN 9791021036512, OCLC 1300915059, lire en ligne).
  16. L'Hebdo Cinéma, no 21, semaine du 20 au 26 mars 1985, p.46, interview de Josiane Balasko par Leslie Bedos : « Je m'ennuyais tellement que, tous les soirs, je tapais dans ma chambre d'hôtel ce que j'avais écrit la veille. Ca a donné Quand je serai grande je serai paranoïaque, ma première pièce ».
  17. L'Hebdo Cinéma, n°21, semaine du 20 au 26 mars 1985, p.46, interview de Josiane Balasko par Leslie Bedos : « Je l'ai jouée, en 74, avec une fille qui s'appelait Maryse au café-théâtre de l'Odéon »
  18. L'Hebdo Cinéma, n°21, semaine du 20 au 26 mars 1985, p. 46, interview de Josiane Balasko par Leslie Bedos : "En 76, j'ai remplacé Valérie Mairesse dans Le Pot de terre contre le pot de vin avec l'équipe du Splendid, et j'ai enchaîné avec Ginette Lacaze avec Miou-Miou, Coluche, Lanvin et Lamotte »
  19. « Vidéos - Académie des Arts et Techniques du Cinéma », sur www.academie-cinema.org (consulté le )
  20. a et b « Josiane Balasko : Les Enfoirés, c'est quand même confortable... », sur www.purepeople.com (consulté le ).
  21. « rtl.fr/actu/deux-ans-apres-les… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  22. « Hollande et Sarkozy, les célébrités à leurs côtés », sur lefigaro.fr,
  23. « Josiane Balasko : « J’ai simplement envie que les gens vivent mieux » », L'Humanité,‎ (lire en ligne, consulté le )
  24. « Le plus grand défi de l’histoire de l’humanité : l’appel de 200 personnalités pour sauver la planète », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le )
  25. « Élections européennes : Josiane Balasko déclare soutenir la liste communiste de Ian Brossat », sur France Info, (consulté le ).
  26. « Européennes : Josiane Balasko appelle à voter pour le communiste Ian Brossat », sur Europe 1 (consulté le )
  27. « L’actrice Josiane Balasko soutient le PCF aux européennes », sur Les Inrocks (consulté le )
  28. Magali Rangin, « Européennes: la comédienne Josiane Balasko soutient le candidat communiste Ian Brossat », sur BFM TV, (consulté le ).
  29. Telestar.fr, « Josiane Balasko : tous les hommes de sa vie [Photos] », Telestar.fr,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. « PHOTO – Marilou Berry pose avec son père, le frère de Richard Berry - Gala », sur Gala.fr (consulté le ).
  31. George Aguilar
  32. Actes Sud-Papiers, 2004 (ISBN 978-2-7427-5192-1)
  33. Actes-Sud Papiers, 1990 (ISBN 978-2-86943-238-3)
  34. Actes Sud-Papiers, 2005 (ISBN 978-2-86943-184-3)
  35. Le catalogue des affiches de l'Association de la Régie Théâtrale
  36. Actes Sud-Papiers, 1997 (ISBN 978-2-7427-0451-4)
  37. Actes Sud-Papiers, 2006 (ISBN 978-2-7427-5820-3)
  38. « Festival International du Film de Comédie de Liège », sur Festival International du Film de Comédie de Liège (consulté le )
  39. Décret du 3 décembre 1994 portant promotion et nomination JO du 4 décembre 1994, page 17183. Ministère de la culture et de la francophonie, « Mme Berry, née Balaskovic, dite Balasko (Josiane), comédienne, auteur, metteur en scène; 24 ans d'activités artistiques. »

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Il existe une catégorie consacrée à ce sujet : Josiane Balasko.

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]