Michel Hazanavicius

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Michel Hazanavicius
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Michel Hazanavicius lors de la 42e cérémonie des César en 2017.
Naissance (57 ans)
Paris (France)
Nationalité Drapeau de la France Française
Profession Réalisateur, scénariste, acteur
Films notables La Classe américaine
OSS 117 : Le Caire, nid d'espions
OSS 117 : Rio ne répond plus
The Artist

Michel Hazanavicius [miʃɛl azanavisjys][1] Écouter, né le à Paris, est un réalisateur, scénariste, producteur, monteur et acteur français.

Il est connu du grand public pour la réalisation de deux parodies de film d'espionnage avec Jean Dujardin : OSS 117 : Le Caire, nid d'espions et OSS 117 : Rio ne répond plus, puis pour celle du film romantique muet en noir et blanc The Artist, interprété par Jean Dujardin et Bérénice Bejo. Ce dernier a remporté plus de cent récompenses en 2012[2] incluant le British Academy Film Award du meilleur film, du meilleur scénario et de la meilleure réalisation, le César du meilleur film et celui de la meilleure réalisation, ainsi que les Oscars du meilleur film, de la meilleure réalisation et celui du meilleur acteur pour Jean Dujardin.

Le , il est nommé président du conseil d’administration de la Fémis, l'École nationale supérieure des métiers de l'image et du son[3].

Biographie[modifier | modifier le code]

Enfance et formation[modifier | modifier le code]

Michel Hazanavicius naît au sein d'une famille d'origine lituanienne et polonaise et d'identité juive[4]. Ses grands-parents s'installent en France dans les années 1920. C'est son père qui travaille dans l'informatique et sa mère documentaliste, qui lui donnent, jeune, le goût du cinéma[5]. De 9 à 13 ans, il pratique le football au Paris FC ; son frère Serge Hazanavicius était persuadé qu'il aurait pu faire une carrière professionnelle, mais Michel Hazanavicius déclare qu'il n'avait pas assez « la niaque »[6].

Il étudie à l'école nationale supérieure d'arts de Paris-Cergy (ENSAPC)[7].

Vie privée[modifier | modifier le code]

Michel Hazanavicius est le frère cadet de l'acteur Serge Hazanavicius.

Il partage sa vie avec l'actrice Bérénice Bejo avec qui il a deux enfants nés en juin 2008 et en septembre 2011[8].

Michel Hazanavicius et Bérénice Bejo en février 2014.

Il a également deux filles d´une précédente relation avec la réalisatrice Virginie Lovisone, Fantine et Simone Hazanavicius, actrice.

Carrière[modifier | modifier le code]

Il commence sa carrière à la télévision en 1988. Il collabore sur Canal+ à divers programmes dont des sketchs des Nuls. Sa contribution y est essentiellement scénaristique. L'auteur passe à la réalisation des sketchs en 1992. Suivent des spots publicitaires pour plusieurs marques dont Reebok, Bouygues Telecom… En 1993, il co-réalise avec Dominique Mezerette La Classe américaine : Le Grand Détournement, montage d'extraits de films cinématographiques avec des acteurs connus dont les dialogues sont détournés, dans la même veine que Lily la tigresse. Il y pose déjà les bases de son style futur : citations visuelles, pastiche cinéphile et références, entre hommage et ironie, à l'histoire du septième art.

Au cinéma, la carrière de Michel Hazanavicius démarre en 1997 par un court-métrage, Échec au capital. Il prend aussi part aux projets solo de ses anciens compagnons des Nuls. Il coécrit ainsi le scénario de Delphine 1, Yvan 0 de Dominique Farrugia et y fait une apparition en tant que Régis, le « con » de la troupe. Il apparaît aussi dans le film d'Alain Chabat Didier. Son nom est d'ailleurs repris pour faire passer Didier pour un footballeur lituanien. Enfin, on l'aperçoit furtivement dans le film La Cité de la peur, écrit par le trio comique composé de Chantal Lauby, Dominique Farrugia et Alain Chabat.

Puis vient la réalisation du long métrage Mes amis dans lequel il dirige son frère Serge Hazanavicius. Il s'agit d'une satire virulente de la production télévisuelle française, notamment des sitcoms AB[9],[10]. Il participe également en 2004 à l'écriture des Dalton, adapté de la bande dessinée Lucky Luke, réalisé par Philippe Haïm. Le film est largement éreinté par la critique, Hazanavicius reconnaît que le film est raté mais indique que son scénario fut déformé par Haïm[11]. Il met ensuite en scène, en 2005, le spectacle humoristique d'Éric et Ramzy intitulé Érickéramzy, tout en lançant un projet de film sur l'histoire des frères Guérini, deux figures du grand banditisme marseillais, avec Jean Dujardin et Albert Dupontel en vedette. Le producteur, Farid Lahouassa, ne rassemble pas les fonds nécessaires et ils préfèrent abandonner le projet[12].

Michel Hazanavicius crée en 2002 la société de production La Classe américaine dont le nom provient de son premier téléfilm devenu culte. La société a notamment produit des œuvres télévisuelles dont le documentaire Tuez-les tous ! (2004) ou cinématographiques comme Le Redoutable (2016), produit en partenariat avec une nouvelle société, Les Compagnons du cinéma créée en 2016 avec Florence Gastaud et Riad Sattouf.

En 2005, Michel Hazanavicius est contacté par les frères producteurs Altmayer pour la réalisation du diptyque OSS 117. Avec OSS 117 : Le Caire, nid d'espions (2006), le réalisateur obtient un immense succès critique[13] et public (plus de deux millions d'entrées). Le film est librement inspiré du célèbre personnage des romans de Jean Bruce en pastichant notamment les premiers James Bond, avec Sean Connery[14]. Le deuxième long métrage, OSS 117 : Rio ne répond plus (2009), est réalisé dans la même veine. Il totalise deux millions et demi d'entrées.

Michel Hazanavicius, couronné meilleur réalisateur pour The Artist à la 37e cérémonie des César.

Confirmation commerciale[modifier | modifier le code]

À l'automne 2010, il réalise un film muet en noir et blanc : The Artist, inspiré du cinéma américain non sonore des années 1920 et 1930 (celui entre autres de William A. Wellman et de Charlie Chaplin) qu'il pastiche autant qu'il célèbre. Le film narre la déchéance de George Valentin (interprété par Jean Dujardin), acteur phare du muet confronté à l'arrivée du cinéma parlant le rendant désuet et qui voit contrarié son amour naissant pour une étoile montante : Peppy Miller (Bérénice Bejo).

Les débuts sont laborieux : Jean Dujardin, hésitant, refuse le rôle avant de se raviser[15] et peu de chaînes de télévision sont prêtes à s'engager sur un film muet et en noir et blanc. Par ailleurs, l'avance sur recettes n'est pas allouée au projet par le CNC[16]. L'arrivée du producteur Thomas Langmann et de sa société indépendante La Petite Reine débloque la situation : ils mobilisent Studio 37 (Orange), France 3 Cinéma, Canal+ et la Warner France pour la distribution française[17].

L'équipe de The Artist au festival de Cannes. De gauche à droite : Le compositeur Ludovic Bource, le réalisateur Michel Hazanavicius, les acteurs Missi Pyle, Bérénice Bejo et Jean Dujardin, le directeur de la photographie Guillaume Schiffman, le producteur Thomas Langmann.

The Artist est sélectionné au festival de Cannes 2011. Il y reçoit un excellent accueil et vaut à son acteur principal Jean Dujardin le prix d'interprétation masculine. Lors du festival, le film est acheté par des distributeurs du monde entier, notamment par la Weinstein Company qui lance sa carrière américaine et son intense campagne de promotion en vue des Oscars du cinéma 2012[18].

Les critiques de la presse américaine sont enthousiastes pour ce film[19].

Grâce à cette œuvre qui fut dix fois nommée (record historique pour un film français), le réalisateur est rapidement apparu comme un prétendant sérieux aux Oscars où la majorité des bookmakers le donnaient gagnant à la suite de l'obtention du Directors Guild of America Award de la meilleure réalisation pour un film et de nombreux prix lors de la cérémonie des Golden Globes à Los Angeles et des BAFTA à Londres[20],[21].

En , Hazanavicius est chargé de la réalisation d'un sketch du film Les Infidèles, écrit et produit en partie par Jean Dujardin.

Le , Michel Hazanavicius se voit décerner le César de la meilleure réalisation pour The Artist qui obtient cinq autres trophées dont celui du meilleur film et de la meilleure actrice pour Bérénice Bejo.

Deux jours plus tard, il entérine les pronostics en recevant l'Oscar de la meilleure réalisation pour The Artist et devient le second réalisateur français, neuf ans après Roman Polanski, à gagner cette récompense[22]. Avec humour, en recevant la récompense, il demanda à remercier trois personnes, mais il congratula trois fois Billy Wilder dont il est un grand admirateur[23]. Par ailleurs, cinq Oscars sont décernés au total à son long métrage dont ceux du meilleur film et du meilleur acteur pour Jean Dujardin.

Depuis 2013[modifier | modifier le code]

En , il rédige une lettre ouverte à François Hollande dans laquelle il critique notamment la réduction du budget du Centre national de la cinématographie (CNC)[24].

L'année suivante, il présente The Search en compétition au Festival de Cannes 2014. Il s'agit d'un remake des Anges marqués de Fred Zinnemann qui prend la guerre de Tchétchénie en toile de fond. Le film est un échec commercial et divise la presse, certaines critiques soutiennent vivement le film, tandis que d'autres sont très virulentes[25],[26],[27].

En 2017, il réalise Le Redoutable, une comédie sur l'histoire passionnelle entre Jean-Luc Godard et Anne Wiazemsky après le tournage de La Chinoise et durant les événements de mai 68[28]. Présenté au Festival de Cannes 2017, le film dévoile notamment le talent de Louis Garrel qui joue Godard[29],[30]. Michel Hazanavicius et Louis Garrel seront d'ailleurs tous deux nommés aux Césars de cette année dans les catégories Meilleure réalisation et Meilleur acteur.

Hazanavicius est président du jury du Festival du cinéma américain de Deauville 2017.

En 2019, il réalise Le Prince oublié, une fantaisie avec Omar Sy et Bérénice Bejo sur l'imagination et l'enfance, qui sort en salle en janvier 2020.

En mai 2020, il publie chez Allary Editions les dialogues complets de son premier film devenu culte : La Classe Américaine. Le livre est un détournement des Classiques Larousse des années 1980 avec un appareil critique et des illustrations originales de Michel Hazanavicius[31],[32]. La même année il préside le jury du 26e Festival du film de Sarajevo.

Il s'essaie ensuite au film d'animation avec La Plus Précieuse des marchandises prévu pour 2022 et adapté d'un conte de Jean-Claude Grumberg. Il débute en parallèle en 2021 le tournage d'un film en prises de vues réelles intitulé Z (comme Z). Il s'agit d'une comédie mêlant film de zombies et métafilm avec notamment Romain Duris[33]. Peu avant sa présentation hors compétition en ouverture du festival de Cannes 2022, le film est rebaptisé Coupez !, en raison de la symbolique de la lettre « Z » dans le conflit russo-ukrainien[34].

Projets[modifier | modifier le code]

Le cinéaste fut impliqué dans plusieurs autres projets, qui lui furent proposés après le succès de The Artist, tels In the Garden of Beasts, un thriller se déroulant avant la Seconde Guerre mondiale[35], Bob the Musical, une comédie musicale de Disney[36] et Will, une comédie[37]. Il a par ailleurs refusé de réaliser le troisième volet d'OSS 117, Alerte Rouge en Afrique Noire en 2021. Il n'était pas convaincu par le scénario et considérait que la production de ce nouveau volet était lancée de façon précipitée[38],[39].

Style et thématiques[modifier | modifier le code]

Grand cinéphile, Hazanavicius est considéré comme un spécialiste de la récupération de film et du pastiche ainsi que du détournement[40]. Selon le journal Le Monde : « Il choisit de s'amuser avec le 7e art, avec le sérieux du très bon élève »[41] ; le JDD : « Il fait les choses sérieusement, sans se prendre au sérieux, jamais »[42] et Allociné : « Une comédie de Michel Hazanavicius se reconnaît entre 1 000 : des clins d’œil cinéphiles, un humour ravageur et des répliques bien senties certes, mais aussi du fond ! »[43].

Le site Bakchich[44] et Positif[45] ont pu y voir une faiblesse, mais la majorité des critiques considèrent Michel Hazanavicius comme l'un des cinéastes français les plus importants[46],[47],[48].

Prises de position[modifier | modifier le code]

Lettre ouverte à l'État islamique[modifier | modifier le code]

À la suite des attentats du 13 novembre 2015, Michel Hazanavicius publie le 17 sur sa page Facebook une lettre ouverte adressée aux Daechois et aux Daechoises, reprise le 18 sur le site du Huffington Post[49].

Défense d'Oleg Sentsov[modifier | modifier le code]

En , il soutient la pétition de la Société des réalisateurs de films qui vise à protéger le réalisateur ukrainien emprisonné Oleg Sentsov[50]. Il est aussi ambassadeur pour la fondation ukrainienne United24[51].

Filmographie[modifier | modifier le code]

Réalisateur[modifier | modifier le code]

Longs métrages[modifier | modifier le code]

Prochainement

Télévision[modifier | modifier le code]

Publicités[modifier | modifier le code]

Scénariste[modifier | modifier le code]

Longs-métrages[modifier | modifier le code]

Télévision[modifier | modifier le code]

Producteur[modifier | modifier le code]

Acteur[modifier | modifier le code]

Monteur[modifier | modifier le code]

Box-office[modifier | modifier le code]

Année Titre Nombre d'entrées*
1999 Mes amis 10 535 entrées[53]
2006 OSS 117 : Le Caire, nid d'espions 2 304 430 entrées[54]
2009 OSS 117 : Rio ne répond plus 2 520 877 entrées[55]
2011 The Artist 3 064 827 entrées[56]
2012 Les Infidèles 2 301 045 entrées[57]
2014 The Search 69 936 entrées[58]
2017 Le Redoutable 135 394 entrées[59]
2020 Le Prince oublié 906 812 entrées[60]
2022 Coupez ! 287 939 entrées[61]
Total 11 601 795 entrées[62]

Distinctions[modifier | modifier le code]

Récompenses[modifier | modifier le code]

Nominations et sélections[modifier | modifier le code]

Décoration[modifier | modifier le code]

Le , Michel Hazanavicius est nommé au grade de chevalier dans l'ordre national de la Légion d'honneur[63].

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Article connexe[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Prononciation en français de France standardisé retranscrite selon la norme API.
  2. Fiche sur IMDb: Michel Hazanavicius .
  3. Jean-Baptiste Garat, « Opéra de Paris, Fémis, CNC, Pass Culture... Festival de nominations au ministère de la Culture », Le Figaro,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ).
  4. Il déclare lui-même que son œuvre reflète parfois cette identité juive, notamment pour l'aspect humoristique : (en) George Robinson, « The Artist Director's Nod To Billy Wilder », sur The Jewish Week.
  5. Olivier Bonnard, « Michel Hazanavicius : « J'ai l'impression d'être toujours à la périphérie du marché. » », sur Le Nouvel Observateur,
  6. Julien Rebucci, « Michel Hazanavicius : "J'ai quand même affronté le Barça et Liverpool !" », sur L'Équipe,
  7. Véronique Trouillet, Les métiers du cinéma : des effets spéciaux et des jeux vidéo, éditions L'Étudiant, , 160 p. (ISBN 978-2817606460, lire en ligne).
  8. « Bérénice Bejo a 45 ans : son mari, son rôle de mère et sa route vers le succès » [archive], sur https://amomama.fr/, (consulté le )
  9. « Mes Amis », sur Chronic'art,
  10. « PJREVAT - Michel Hazanavicius Retrospective : Un Homme Très Cathodique (1/2) », analyse poussée du film, commençant à la 9e minute de la vidéo [vidéo], sur Youtube,
  11. « Michel Hazanavicius : "Les Dalton, c'est un de mes boulets" », sur Ozap,
  12. Christophe Carrière, « Ni vus ni connus », Studio Ciné Live n°77,‎ , p. 48
  13. « Retour gagnant pour l'espion OSS 117 », Le Monde, 19 avril 2006.
  14. « "On a évité tout ce qui fait la comédie française" », sur Libération,
  15. Interview de Jean Dujardin, Télérama no 3221 (8 au 14 octobre 2011), p. 24.
  16. Nathalie Silbert, « The Artist, un pur produit du cinéma français », Les Échos, (consulté le ).
  17. (fr) RFI, « La joie de l'équipe du film The Artist après sa consécration aux Oscars », consulté le 28 février 2011.
  18. « Le prix d'interprétation masculine à Jean Dujardin pour "The Artist" », sur Franceinfo, (consulté le )
  19. AlloCine, « Ce que pense la presse US de "The Artist" », sur AlloCiné (consulté le )
  20. « Dix nominations pour The Artist », sur Allociné.fr (consulté le )
  21. « Oscars : Dujardin et The Artist, favoris des bookmakers », sur Le Parisien (consulté le )
  22. « The Artist : ces Français qui, avant eux, ont conquis des Oscars », Le Monde, (consulté le ).
  23. « Michel Hazanavicius : "Billy Wilder n'est pas assez célébré en tant que réalisateur" », sur L'Obs,
  24. Claire Bommelaer, « Michel Hazanavicius critique François Hollande », sur lefigaro.fr,
  25. « The Search : la presse à la recherche de Michel Hazanavicius », sur Le Figaro,
  26. « Festival de Cannes 2014 : le film de Michel Hazanavicius sifflé en fin de projection », sur RTL,
  27. « "The Search" de Michel Hazanavicius : un film touchant et instructif, le pari est réussi », sur leplus.nouvelobs.com (consulté le )
  28. « Ce que l'on sait du Redoutable, le prochain film de Michel Hazanavicius », sur Challenges,
  29. « Le Redoutable », sur Premiere.fr (consulté le )
  30. Paris Match, « Le Redoutable - la critique », sur parismatch.com (consulté le )
  31. Le Figaro, « Michel Hazanavicius, le grand retour de La classe américaine », sur Le Figaro.fr, (consulté le )
  32. Philippe Guedj, « Quand Michel Hazanavicius rembobine : « La Classe américaine » », sur Le Point, (consulté le )
  33. « Michel Hazanavicius : un film de zombies en préparation pour le réalisateur d'OSS 117 », sur Allociné, (consulté le )
  34. « "Z (comme Z)" de Michel Hazanavicius devient "Coupez!" », sur HuffPost, (consulté le )
  35. « Michel Hazanavicius à la réalisation de In the Garden of Beasts ? », sur Allociné,
  36. « Hazanavicius pourrait diriger Tom Cruise dans Bob the Musical », sur Le Figaro,
  37. « Cannes 2014 : Hazanavicius va faire tourner Zach Galifianakis ! », sur Allociné,
  38. « OSS 117 3 : une suite du film ? Jean Dujardin est partant ! », sur L'Internaute,
  39. « OSS 117 : pourquoi Michel Hazanavicius ne répond plus », sur Le Point,
  40. « Michel Hazanavicius : l'escroc qui aimait les détournements en tout genre », sur Le Monde,
  41. « Michel Hazanavicius donne une leçon de cinéma, sur Canal+ », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  42. Le JDD, « Bravo l'artiste! », sur lejdd.fr (consulté le )
  43. AlloCine, « Salvadori, Dupieux, Hazanavicius... Vive la comédie (d'auteur) à la française ! », sur AlloCiné (consulté le )
  44. « The Artist : un film muet qui n'a rien à dire »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur Bakchich,
  45. Emmanuel Raspiengeas, « Cannes 2017 », Positif, Institut Lumière avec Actes Sud, nos 677-678,‎ , p. 94. Le critique déclara « Le film est plaisant mais vain […] Hazanavicius aura toujours besoin d'une forme préexistante pour pouvoir déployer son petit univers d'imitateur ». La revue évalue mieux le film lors de sa sortie en septembre 2017
  46. Etienne Sorin, « Michel Hazanavicius en cours magistral sur Canal + », sur Le Figaro.fr, (consulté le )
  47. « Michel Hazanavicius donne une leçon de cinéma, sur Canal+ », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  48. « Michel Hazanavicius, le réalisateur le plus classe du monde ! », sur RTBF TV, (consulté le )
  49. Michel Hazanavicius, « Daechois, Daechoises », sur Le Huffington Post,
  50. Appel à la libération immédiate d'Oleg Sentsov ! // Société des Réalisateurs de Films, 06.07.2018
  51. (en) « Michel Hazanavicius », sur u24.gov.ua (consulté le )
  52. Laura Lépine, « La Classe américaine souffle ses 30 bougies  », sur festival-lumiere.org,
  53. « Box office de Mes amis », sur JP's Box office (consulté le ).
  54. « Box office de OSS 117 : Le Caire, nid d'espions », sur JP's Box office (consulté le ).
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  56. « Box office de The Artist », sur JP's Box office (consulté le ).
  57. « Box office de Les Infidèles », sur JP's Box office (consulté le ).
  58. « Box office de The Search », sur JP's Box office (consulté le ).
  59. « Box office de Le Redoutable », sur JP's Box office (consulté le ).
  60. « Box office de Le Prince oublié », sur JP's Box office (consulté le ).
  61. « Coupez ! (Final Cut) (2022) - JP Box-Office », sur www.jpbox-office.com (consulté le )
  62. « Box office cumulé de Michel Hazanavicius », sur JP's Box office (consulté le ).
  63. Décret du 13 juillet 2023 portant nomination.