Je lu ce livre car j'avais beaucoup aimé le film qui en a été tiré. Et je peux dire que j'ai apprécié le livre..même si le style est tout à fait différent (et même l'histoire en fait, le film ne reprend que l'idée du livre, rien de plus). le style est simple et on accroche facilement à l'histoire.
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Incapable d'accrocher à l'histoire, j'ai fermé le livre à la page 64. J'imagine que d'autres lecteurs sauront l'apprécier plus que moi.
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On ne vise pas le Goncourt... Notre objectif est de répondre aux attentes de son public. Tout est dans le dossier, les enquêtes du marketing, une synthèse des lettres envoyées à son fan club...
Je veux du travail propre ; pas la peine de rechercher les effets de style : le présent de l'indicatif leur suffit amplement. Sujet, verbe, complément... De l'adjectif à la pelle et une histoire bien linéaire. L'enfance, l'adolescence, les joies et les malheurs d'une star ! La star dans toute sa splendeur... De la paillette à gogo, de la fumée, du rêve. Prenez soin de ménager quelques pincements de cœur. Très important. L'émotion, ça marche toujours. (p.40)
Oh oui, écrivez ce qui arrive à Longrupt. Si je savais écrire, c'est ce que je ferais, mais je n'ai pas la force. Je suis arrivée au bout de mon chemin. Lorsque je me suis installée dans cette ville avec Thomas, il n'y avait rien... On a tout construit avec notre travail. Aujourd'hui ils effacent tout... Quand je partirai il ne restera rien... Ils veulent faire croire qu'il ne s'est jamais rien passé ici et bientôt nous ne serons plus là pour dire le contraire... (p.139)
Ne te base pas sur moi pour juger de l'efficacité de ta campagne de marketing ; je suis une véritable aberration statistique. Je me rassure en me disant que dans les sondages on découvre régulièrement qu'un petit pourcent de la population ne connaît pas le nom du président de la République. (p.32)
Son père est dingue, sa mère s'est butée pratiquement sous ses yeux et elle a débuté sa carrière dans une radio-pirate de la CGT avec une copine alcoolique qui vient de se faire buter ! La voilà l'histoire exemplaire de ta pousseuse de romances... Comment veux-tu que je m'en sorte ? (p.106)
On vous a demandé d'écrire l'histoire de Bianca B., l'histoire de la réussite-éclair dans le show-biz, et pas la saga d'une famille d'immigrés italiens en Lorraine ! C'est l'eau de rose qui doit couler, pas les larmes. (p.73)
Dans le 170e épisode du podcast Le bulleur, on vous présente le parcours de Missak Manouchian, récemment entré au Panthéon, à travers deux bandes dessinées sorties récemment chez Les Arènes BD et Dupuis. Cette semaine aussi, on revient sur l’actualité de la bande dessinée et des sorties avec :
- La sortie de l’album Copenhague que l’on doit au duo Anne-Caroline Pandolfo et Terkel Rijsberg, publié aux éditions Dargaud
- La sortie de l’album Le champ des possibles que l’on doit au scénario de Véro Cazot, au dessin d’Anaïs Bernabé et c’est édité chez Dupuis
- La sortie de l’album L’homme miroir que l’on doit à Simon Lamouret et aux éditions Sarbacane
- La sortie de l’album The Velvet underground, dans l’effervescence de la Warhol factory que l’on doit à Koren Shadmi et aux éditions La boite à bulles
- La sortie de l’album Sept vies à vivre que l’on doit à Charles Masson et aux éditions Delcourt dans la collection Mirages
- La réédition de l’album Mauvaises herbes que l’on doit à Keum Suk Gendry-Kim et aux éditions Futuropolis
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