En hommage à Stéphane Panizzoli

Stéphane Panizzoli est ancré à jamais dans la vie du quartier Pasteur.

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A. P. Publié le 17/01/2019 à 15:59, mis à jour le 17/01/2019 à 16:00
« C’est important que le lieu renvoie à une personnalité essentielle de l’histoire de cette section », se réjouit Nicolas Bouyssou, l’actuel responsable de la section pétanque.
« C’est important que le lieu renvoie à une personnalité essentielle de l’histoire de cette section », se réjouit Nicolas Bouyssou, l’actuel responsable de la section pétanque. Ville de Nice

Stéphane Panizzoli est ancré à jamais dans la vie du quartier Pasteur. Près de quatre ans après son tragique décès en mai 2015, son nom est officiellement lié à la section pétanque de l’association Paje qu’il a lui-même créée. Le clos Larboullet inauguré en février 2015 a été rebaptisé hier Stéphane-Panizzoli.

Devant deux cents personnes, Christian Estrosi a rendu hommage au président de l’association de 2010 à 2015 décédé à 49 ans. « Nous le savons tous, la pétanque est importante dans le tissu social. Stéphane était venu me voir avec la générosité pour les autres qu’on lui connaissait et avec la conviction de l’importance de ce lieu, a salué le maire. C’est depuis devenu une institution du quartier. » Le tout sous les yeux d’adhérents du club, de proches, mais surtout de sa maman, Michèle, de son papa, Pierre. « C’est une fierté pour nous de voir que ce lieu porte son nom, d’avoir une part de lui dans l’éternité. Une fierté d’avoir Stéphane comme fils, d’avoir vu la leçon de vie qu’il nous a donnée », livre son papa.

Alors que c’était le projet de cet homme engagé, il n’a pu assister qu’aux premiers mois de sa section bouliste. De son bébé. L’ancien président de la section lutte du Cavigal avait la volonté d’offrir à l’association un clos de boules à Nice-Est.

« Créer du lien entre les personnes, c’était les valeurs de Stéphane. Il a porté ce projet convaincu de son utilité sociale. La preuve, ici on ne fait pas de compétition », argumente Faouzi Lachelak, directeur de Paje. Ainsi les soixante-dix adhérents et habitués du clos de boules penseront encore et encore au créateur de ce lieu convivial.

Lucas Bath, 12 ans, le plus jeune licencié du clos, en doublette avec Frédéric, son papa.
Lucas Bath, 12 ans, le plus jeune licencié du clos, en doublette avec Frédéric, son papa. A. P..

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